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Demir SÖNMEZ - Page 482

  • Appel à boycotter les tpg pour mettre un signal fort contre la hausse des tarifs ! 


     

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    Comme pour la Loi sur l'Energie, ce sont encore les plus démunis qui passeront à la caisse.

    L'augmentation des tarifs des TPG se fera davantage ressentir parmi ces couches de la population qu'auprès des habitant-e-s des riches communes.

    ...
C'est pourquoi cette augmentation tarifaire est non seulement anti-écologique mais également anti-sociale.

    Nous, la JSG, allons nous battre jusqu'au 12 décembre pour mobiliser la population genevoise afin de
résister à cette mesure injuste et injustifiable. Nous allons mener une campagne déterminée aux moyens d'actions choques.

    C'est pourquoi, notre premier acte est de lancer un appel à l'ensemble de la population genevoise, aux partis politiques et à toutes autres organisations et associations pour une journée de boycotte des TPG (Journée sans TPG) le vendredi 10 décembre 2010. Un rassemblement sera organisé à la fin de la journée afin de montrer le mécontentement populaire contre la hausse des tarifs des TPG.

     

    Rejoignez l'événement facebook :

    http://www.facebook.com/event.php?eid=147885351909860

     

    Signer la pétition contre la hausse des tarifs tpg:

     

    http://www.ps-geneve.ch/tpg

     

    Cet appel est signé par:

Jeunesse Socialiste Genevoise

    lire communiqué de presse Jeunesse Socialiste Genevoise "Appel au boycott de Tpg ! "

    http://www.js-ge.ch/

     

    Jeunes Vert-e-s Genève

    http://www.jvge.ch/

    lire notre communiqué : 
NON à la hausse injuste des tarifs des TPG !
OUI à un financement assuré par ceux qui congestionnent le trafic en ville !

    http://img28.xooimage.com/files/6/6/2/communiqu-jvg-boy...des-prix-2017135.pdf

     

    Retrouvez les Jeunes Vert-e-s Genève sous :

    http://www.jvge.ch

    Les Verts genevois :

    <http://www.verts-ge.ch/>

    La Décroissance : www.decroissance.ch

    <http://www.decroissance.ch/>

     

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  • Intervention de Rémy Pagani, Conseiller administratif de la Ville de Genève qui soutient les grévistes d’ISS Aviation à l’Aéroport International de Genève (AIG)

    Intervention de Rémy Pagani, Conseiller administratif de la Ville de Genève qui soutient

    les grévistes d’ISS Aviation à l’Aéroport International de Genève (AIG)

     

     

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    Chères amies, chers amis,

    Camarades

    Quoi qu’en disent les employeurs de ISS et le Conseil d’Etat, le problème mis en lumière par cette grève est une opération de sous enchère salariale, organisée sur les plus bas salaires d’un personnel presque exclusivement féminin.

    Deux conventions collectives subsistaient avant la décision unilatérale des responsables de l’entreprise ISS de dénoncer ces contrats collectifs au profit de contrats individuels. La première, issue de la filialisation du groupe Swissair en de multiples entités notamment Swissport, qui elle-même a sous-traité à HASCO puis à ISS, le nettoyage des avions, et la seconde convention qui visait à canaliser le travail effectué par une majorité d’auxiliaires engagés à l’heure pour contourner la première convention collective.

    A terme, en ne reconduisant pas la convention collective de travail cette entreprise tente de soumettre l’ensemble de son personnel aux conditions sociales et salariales les plus basses qu’elle offre, soit la convention collective du nettoyage alors que les conditions de travail du personnel qui nettoie les avions sont autrement plus complexes et astreignantes. Ceci est inacceptable et nous devons nous engager à y mettre un terme, le Conseil administratif avec moi sommes avec vous les grévistes et votre organisation syndicale. Les mesures de «réduction de coûts» par l’entreprise ISS, comme en ont été victimes les salarié-e-s d’ISS à Cointrin, servent à préparer le terrain pour un juteux lancement en bourse d’ISS par ses propriétaires.

    Il faut savoir que la Ville de Genève attribue régulièrement des travaux à l’entreprise ISS en exigeant qu’elle se soumette aux conventions collectives qui régissent les métiers qu’elle fait exercer par le personnel qu’elle emploie, notamment le nettoyage des abris bus pour le Département des constructions et de l’aménagement.

    .

    Pour cette année

     

    2010 : 250'208 CHF (à ce jour) soit environ 500'000 CHF

    2009 : 319'604 CHF

    et plus particulièrement le Département des constructions et de l’aménagement que j’ai l’honneur de présider :

    2010:100'869CHF
    (à ce jour y compris les abris bus représentant 12'057 CHF/mois)

    2009 : 37'107 CHF

     

    Il n’est pas tolérable que nous poursuivions dans la durée nos relations contractuelles avec cette entreprise alors qu’elle pratique, qui plus est dans une régie publique comme l’Aéroport, le dumping salarial.

     

     

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    Notre alternative (PS, Vert, AGT) s’est toujours déclarée opposée à la sous enchère salariale. Le risque que nous prenons c’est de voir des partis politiques populistes s’emparer de cette problématique pour exiger des mesures racistes et xénophobes contre les travailleuses et travailleurs étrangers qui accepteront à terme de travailler à moindre coût. Nous devons donc être intransigeants quant au respect des conventions collectives. C’est une question de positionnement politique décisif en faveur de la protection des travailleuses et travailleurs, qui s’impose indépendamment de cette période pré-électorale.

    Nous avons donc décidé d’envoyer une lettre destinée à l’entreprise ISS en l’invitant à maintenir les conventions collectives de travail qui existent à ISS Aviation depuis quinze ans ou, à défaut, de faire appliquer la convention collective de travail de Swissport, qui détient la concession et fait sous-traiter le nettoyage des avions par ISS Aviation

    Nous avons encore décidé d’adresser une lettre destinée au Conseil d’Etat qui est responsable de la politique salariale menée par l’Aéroport International de Genève pour qu’il impose à Monsieur François Longchamp Conseiller d’Etat et président du Conseil d’administration de l’AIG d’inviter Swissport à changer de sous-traitant et de faire appliquer par le repreneur les conditions de la convention collective de travail de Swissport.

    Enfin si dans les 15 jours des mesures ne sont pas prises pour mettre fin à ce conflit de travail d’entamer immédiatement une procédure de désengager de la Ville de ces rapports contractuels avec l’entreprise ISS.

    Il nous faut être déterminé dans cette lutte et nous sommes à vos côtés, non au dumping salarial, non à la xénophobie non au racisme, tous unis nous sommes fort.

     

    Rémy Pagani, Conseiller administratif de la Ville de Genève

    Genève le, 02 août 2010

     

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  • Don't Forget The 6-7 Sept 1955 Pogrom

    Don't Forget The 6-7 Sept 1955 Pogrom

    Today is the 55th anniversary of the beginning of the 6-7 September 1955 Pogrom in Turkey against Greeks and other Non-Muslim minorities. As the propaganda campaign related to the referendum on the new modification of the 1980 Constitution is being turned into a ridiculous circus show, either by the partisans or the opponents of this cosmetic changes, nobody among political leaders reminds this tragedy of the Republican period of Turkey. The Sept. 6-7, 1955 pogrom resulted in many deaths, huge property damage in Istanbul and Izmir, and precipitated the exodus of thousands of Istanbul’s ethnic Greek minority. Below is the extract of an article reported by Yorgo Kirbaki in Athens and  published on September 5, 2010, by the daily Radikal in Turkey:



    On this occasion, one of the Greece's best-selling newspapers, Ta Nea, has marked the date with the distribution of a movie on the events,
    “Pains of Autumn,” made by Turkish film director Tomris Giritlioğlu.

    “We – filmmakers – should work more for the two peoples’ wounds to be healed. For this [to be achieved], four films were made in the scope of Turkish cinema, of which two are mine. Unfortunately we do not see such examples from Greek Cinema. I expect similar works from Greek colleagues who share my artist sensitivity,” said Tomris Giritlioğlu.


    Ta Nea devoted four pages to covering the pogrom, in which it featured memories from Greece’s top-selling crime fiction novelist and screenwriter, Petros Markaris.

    Markaris, who was 18 at the time, spoke about the events at Heybeliada Island, where he was on holiday.

    “The commander of the Marine School on Heybeliada convinced the police chief not to let demonstrators set foot on the island. The police chief pulled his gun and halted the demonstrators when they arrived. I faced total devastation the following day when I went to the Beyoğlu, Fener and Kurtuluş [neighborhoods of Istanbul]. Wherever Greeks lived, that neighborhood’s school and church had been destroyed. It was impossible to walk in Beyoğlu because of the broken glass from shop windows and the rolls of fabric that had been thrown onto the street,” he said.

    “It is wrong to say that all Turks took part in or supported the events. There were Turks who helped their Greek neighbors, who protected and hid them,” he said.

    Reminiscing over some of his friends at the Austrian High School, he remembers being told, “‘Tell your complaints to Greece.’” Another student, however, said, “‘We do not approve of what has been done.’”

    Markaris said he never forgot his literature teacher telling him, “‘Petro, I want you to know, I am ashamed in the name of my people. I am apologizing to you.’ What my then 27-year-old literature teacher said, Turkey repeated 50 years later.”

    The atmosphere in Istanbul had been tense in the lead-up to the pogrom, especially because of Cyprus and demands from some for “Enosis,” or union, with Greece.

    “The word ‘Enosis’ was perceived as a curse by the Turks. The Greeks sensed they would be the scapegoats in this matter. The slogan ‘Speak Turkish, Citizen’ was becoming popular in Istanbul,” he said.

    “They blamed Adnan Menderes [first PM of Turkey in the multi-party era] for the Sep 6-7 events. However, we now understand years later that is not really an accurate reflection of what was happening. The Greek, Armenian and Jewish minorities who dominated trade in Istanbul had been living in fear since the start of World War II. There was an evil person who wanted to ‘reset’ those minorities: İsmet İnönü.”

    Markaris said President İnönü was a fan of the Germans and accused him of intending to emulate the Nazis and cleanse Istanbul of religious minorities.

    “The ‘20th Draw Safeguards’ in 1941, and the ‘Wealth Tax’ in 1942, were implemented in this scope,” Markaris said, in reference to various official policies essentially designed to economically impoverish non-Muslims.

    İnönü, however, was forced to loosen the measures after the Nazis were defeated at Stalingrad, giving religious minorities some time to recover, he said.

    As for Menderes, Markaris said he supported a liberal economy. “He let the minorities take initiative. The same Prime Minister Adnan Menderes, who the Istanbul Greeks saw as a ‘savior,’ left those people to the mercy of the mob.”

    Whether Turkey’s then-prime minister was notified of the pogrom beforehand or not, or whether the attack was a conspiracy from the secret services remains unknown.

    “The Greeks of Istanbul held Greece and Cyprus [responsible] for what happened to them. The generation that experienced those events has no sympathy for Greek Cypriots because of this,” he said.

     

    http://www.info-turk.be/385.htm#Forget

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