Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Droits de l'humaine

  • La marche des jeunes pour la droits de l'homme

    C’est après midi devant la poste Mont-Blanc une cinquantaine de jeunes et ses famille se sont ressemblées  à l’occasion de la journée international des droits de l’homme qui rends hommage au 10 décembre 1948, la date ou la Déclaration universelle des droits de l’homme a été signé.

    Le groupe a marché jusqu’a la place neuve et on lâchait des ballons pour cette hommage, la marche à été organisé par L'Association Internationale des Jeunes pour les Droits de l'Homme (Youth for Human Rights International)

     

    DSC_8323.jpg

    DSC_8324.jpg

    DSC_8326.jpg

    DSC_8328.jpg

    DSC_8342.jpg

    DSC_8404.jpg

    DSC_8409.jpg

    DSC_8413.jpg

    DSC_8448.jpg

    DSC_8466.jpg

    DSC_8510.jpg

    DSC_8545.jpg

    DSC_8547.jpg

    DSC_8549.jpg

    DSC_8558.jpg

    DSC_8567.jpg

    DSC_8589.jpg

    DSC_8597.jpg

    DSC_8614.jpg

    DSC_8620.jpg

    DSC_8624.jpg

    DSC_8626.jpg

    DSC_8652.jpg

    DSC_8658.jpg

    DSC_8663.jpg

    DSC_8673.jpg

    DSC_8659.jpg

  • Les prisonniers politiques kurdes en grève de la faim illimitée

    cezaevi.jpg


    De Diyarbakir à Izmir, des centaines de prisonniers politiques kurdes observent depuis le 12 septembre une grève de la faim dans une quarantaine de prisons pour la libération du chef du PKK Abdullah Ocalan et contre la répression.

    Le 14 octobre, plus de 400 prisonniers et prisonnières politiques kurdes étaient en grève de la faim illimitée. Des milliers d’autres prisonniers du PKK sont entrés en grève de la faim à partir du 15 octobre dans toutes les prisons, a déclaré Deniz Kaya, porte-parole des prisonniers politiques du PKK.

    Le nombre des prisonniers du PKK est estimé à 8 mille personnes, sans compter des milliers d’autres accusés de liens avec le PKK dont des élus, journalistes, intellectuels, étudiants, avocats, syndicalistes, défenseurs des droits de l’humain et des enfants.

    Les grévistes parmi lesquels figurent des femmes âgées et des journalistes réclament la libération d’Ocalan, emprisonné sur l’Ile d’Imrali, qui n’est pas autorisé à rencontrer ses avocats depuis 27 juillet 2011 et la suppression complète des restrictions de l'usage de la langue kurde dans tous les domaines.

    Les prisonniers torturés et menacés

    Refusant de répondre aux revendications des prisonniers comme si rien ne s’était passé, les autorités ont recours à la torture, à l’isolation et aux menaces pour intimider les prisonniers, selon le communiqué. « Si les autorités entendent faire reculer les prisonniers, en les jetant dans des cellules, en recourant à la torture et aux menaces, cela veut dire qu’elles nous connaissent pas encore (…) Nous sommes prêts à payer le prix fort, à affronter la torture, la répression et l’isolation. Faites tout ce qui est en votre pouvoir. »

    « Arrêtez de torturez nos camarades ! Si un de nos camarades tombe en martyre suite à ces traitements, on entrera dans une période où personne ne sera en sécurité, notamment les décideurs et les exécuteurs de tortures » ont averti les prisonniers.

    Les familles des prisonniers ont également annoncé qu’elles entameront une grève de la faim illimitée à partir du 16 octobre pour soutenir les mêmes revendications.

    Préoccupée par la dégradation de la santé des prisonniers, la Fédération des associations d'assistance juridique pour les familles de prisonniers politiques (Tuhad-Fed) a affirmé que le gouvernement AKP, parti islamo-conservateurs du premier ministre Recep Erdogan, sera tenu pour responsable de toutes les conséquences négative.

    « Les revendications des prisonniers politiques sont les nôtres » a déclaré, de son côté, Selahattin Demirtas, le co-président du principal parti kurde BDP, lors du congrès de son parti le 14 octobre à Ankara.

    Entre février et mars 2012, plus de 400 prisonniers politiques et des milliers de kurdes à travers le monde avaient observé une grève de la faim contre la répression et pour la libération d’Ocalan.

    Campagne internationale pour Ocalan

    En outre, une campagne de signature au niveau international a été lancée par l’initiative internationale « Freedom for Abdullah Öcalan and the political prisoners in Turkey ». Parmi les premiers signataires figurent notamment Abdelhak Kachouri, vice-président de la Région Ile de France en charge de la Citoyenneté, Ela Gandhi, petite-fille de Mohandas Karamchand Gandhi, le père de la nation indienne, Gery Adams, président du Sinn Féin, Leyla Zana, députée kurde et prix Sakharov, Immanuel Maurice Wallerstein, sociologue américain, Noam Chomsky, un linguiste et philosophe américain.

    http://www.actukurde.fr/actualites/347/les-prisonniers-politiques-kurdes-en-greve-de-la-faim-illimitee.html

     

    Maison Populaire de Genève

    www.assmp.org