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Demir SÖNMEZ - Page 294

  • Sous-enchère salariale aux HUG, Health on the net (HON): Hell's on the HUG

     

    Aujourd'hui une dizaine de salariés de la fondation HON (basée aux Hôpitaux  universitaires de Genève), avec les syndicats Unia et SSP, ont dénoncé leurs  conditions salariales en tenant un piquet de protestation devant les HUG.


    Des salaires variant entre 1'700 francs et 4'000 francs par mois pour des 

    employés avec des diplômes universitaires, des retards et irrégularités avec le payement des assurances sociales, une situation proprement scandaleuse pour fondation financée qui plus est par des fonds publics.

     

    La direction de HON a refusé jusqu'à présent toute revalorisation salariale et en guise de réponse aux démarches effectuées par certains salariés a licencié partie de ceux-ci

     

    Les salariés de HON réclament donc la réintégration des collègues licenciés et l'application des salaires de leurs collègues de l'hôpital public.

     

    Devant l'impossibilité de négocier avec la direction de HON, les salariés ont parvenir aujourd'hui un courrier à la présidente du Conseil de fondation 

    de HON, Mme Graf-Litscher, conseillère nationale PS et secrétaire syndicale au SEV. En sa qualité de présidente du Conseil de fondation, Mme Graf-Litscher tolère-t-elle à HON une politique salariale alimentant le dumping salarial?

     

    Mme Graf-Litscher tolère-t-elle le licenciement de personnel après que ce dernier essaie de faire valoir ses droits?

     

    D'autre part, le syndicat Unia va saisir la Commission tripartite cantonale sur les mesures d'accompagnement pour dénoncer cette situation et attend des autorités une réaction ferme quant à la poursuite du financement de HON.

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    Photos : Demir SÖNMEZ

     

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  • Etudiant-e-s et travailleurs - euses uni -e- s contre le budget d'austérité!

    Le Cartel intersyndical et les associations d'étudiant-e-s, soutenus par le SSP et la CGAS, ont manifesté dans les rues de Genève le 23 avril. Le cortège, parti de HETS (haute école du travail social) à la rue Pré-Jérôme, a fait une halte à la Place de Neuve, avant de repartir dans les Rues Basses pour arriver devant le SPMi (service de la protection des mineurs). Etudiant-e-s et travailleurs/euses  ont fait part ensemble de leur opposition au projet de budget antisocial qui sera probablement voté le 25 avril, au mépris des besoins de la population. Près d'un millier de personnes ont exprimé leur refus d'augmenter les taxes universitaires (1000 francs !), leur soutien à la lutte des employé-e-s du SPMi qui connaissent des conditions de travail très pénibles depuis des années et  qui refusent de déménager dans des locau! x inadaptés. La coupe linéaire de 2% envisagée ainsi que les diminutions de postes prévues dans l'enseignement et la santé ont aussi été dénoncées et seront combattues

     

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    Photos: Demir SÖNMEZ

     

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  • Appel: le "Processus" doit enterrer le négationnisme avant le 100e anniversaire du génocide

     

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    La Turquie observe depuis des mois un «processus» dont le titre, les objectifs, les perspectives et les moyens d'application subissent fréquemment de nouvelles modifications.

    Un terme immédiat à la souffrance des jeunes tombés, une démocratisation rapide du pays et la reconnaissance de la liberté et de l'égalité des droits pour tous les peuples de la Turquie sont une revendication commune de toutes les forces démocratiques du pays.

    Toutefois, si cette initiative de paix et de démocratisation est menée sous la bannière de la «fraternité islamique», il n'apportera jamais rien d'autre que l'exclusion et l'humiliation de nos peuples appartenant à d'autres origines et croyances qui avaient mis en place de nombreuses civilisations avant la conquête turco-islamique de ces terres et soumis pendant des siècles à des pressions et des discriminations sous les pouvoirs ottoman et républicain.

    C'est la raison pour laquelle, les principaux acteurs du «processus» doivent déclarer qu'ils reconnaissent le génocide de 1915 des Arméniens et des Assyriens dont le 98e anniversaire sera observé demain. En même temps, ils doivent officiellement promettre de rendre les droits usurpés de 1,5 milliard de victimes du génocide et la déportation.

    C'est un devoir envers l'humanité.

    En outre, les principaux acteurs de ce "processus" doivent garantir qu'ils seront, à l'occasion du 100e anniversaire du génocide en 2015, participer de façon constructive dans les campagnes, non seulement en Turquie, mais partout dans le monde, surtout dans les pays où des migrants turcs et les diasporas arménienne, assyrienne, kurde, yézidi et grecque vivent côte à côte.

    A l'occasion du 98e anniversaire de 1915, nous partageons de tout cœur la douleur de nos peuples, victimes du génocide et des déportations, et appelons toutes les forces démocratiques de notre pays à adopter d'ores et déjà une prise de position résolue pour le 100e anniversaire.

    Bruxelles, le 23 avril 2013

    FONDATION INFO-TURK
    http://www.info-turk.b