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Demir SÖNMEZ - Page 291

  • Manifestation antinucléaires: Mühleberg, exploitation illimitée… jusqu’à la catastrophe? NON


    Ce soir, à l’occasion du jour anniversaire des 27 ans de la catastrophe de Tchernobyl plus deux cent de militant-e-s antinucléaires se sont rassemblés à l'appel de ContrAtom à place Neuve pour protester contre la décision de poursuivre l’exploitation de la centrale de Mühleberg et pour exiger son arrêt immédiat.
     

    Les manifestants ont défilé depuis de la place Neuve jusqu’au Monument national du Jardin anglais.

    TCHERNOBYL, 27 ANS D’UNE CATASTROPHE SANS FIN

    FUKUSHIMA, CATASTROPHE EN COURS…

    Mühleberg, exploitation illimitée… jusqu’à la catastrophe? NON

    Combien faudra-t-il encore de tragiques accidents pour que le lobby nucléaire lâche enfin son os?
    Rien, ou si peu, ne semble avoir été retenu des leçons de l’histoire !

    Après l’accident de Fukushima la Suisse avait pourtant semblé prendre une résolution «historique»: elle allait
    sortir du nucléaire! Or, sur le terrain, on allait bien vite déchanter, notamment avec la saga de la centrale nucléaire
    de Mühleberg…

    Fin 2009, le Département Fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et des communications
    (DETEC) avait en effet accordé une autorisation d’exploitation de Mühleberg illimitée dans le temps, sur demande
    des Forces motrices Bernoises.

    Plus de 100 voisins immédiats de la centrale font alors recours auprès du Tribunal administratif fédéral (TAF).
    Les recourants ont été soutenus par des municipalités dont Genève.

    En mars 2012, le TAF annulait la décision d’exploitation illimitée du DETEC et fixait un délai d’exploitation à fin juin 2013. Sans surprise, les FMB, bientôt suivis du DETEC, font recours auprès du Tribunal Fédéral (TF).

    Contre toute attente, ce 28 mars 2013. le TF autorise les FMB à exploiter de façon illimitée leur centrale nucléaire de Mühleberg. Cette décision annule ainsi celle du TAF.

    Dans la foulée le Tribunal prend position en affirmant que l’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN) serait la seule autorité en charge de la sécurité nucléaire alors même que cet organe de surveillance est bien trop proche du lobby nucléaire, comme l’ont confirmé des affaires récentes.

    Ainsi, ce n’est pas, selon le Tribunal, aux politiques de prendre des décision sur le fait qu’une centrale soit sûre ou non, ce serait aux seuls «experts» du nucléaires que cette tâche incombe !!

    Par cette décision le TF fait manifestement primer les intérêts des FBM sur la protection de la population et de l’environnement, car il est abondamment prouvé que la centrale bernoise, mise en service en 1972, présente
    de graves lacunes sur le plan de la sécurité. Plus de 3 mètres de fissures sur le manteau du réacteur, absence d’une seconde source d’approvisionnement pour le système de refroidissement et une résistance sismique insuffisante.

    Si dans ces conditions on n’arrive même pas à faire cesser l’exploitation de la petite centrale de Mühleberg, la sortie du nucléaire s’avère pour le moins hypothétique, d’autant plus que la stratégie énergétique 2050 élaborée par Doris Leuthard ne prévoit finalement aucune durée fixée d’exploitation pour les centrales.

    Le Conseil fédéral envisage de laisser en service les centrales existantes «aussi longtemps qu’elles sont sûres» ! Avant les catastrophes, les centrales de Tchernobyl et de Fukushima étaient des centrales réputées sûres,selon les experts… On connaît la suite !

    Nous voilà donc encore une fois pris en otage par des apprentis sorciers qui nous incluent, sans notre consentement dans leurs funestes expériences!

    En ce 26 avril 2013, nous protesterons avec la plus ferme énergie contre la décision irresponsable de poursuivre l’exploitation de la vieille centrale de Mühleberg et nous exigerons son arrêt dans les plus brefs délais !

    QUAND LES GOUVERNANTS DÉRAILLENT, LA RÉVOLTE EST UN DEVOIR !

    CONTRATOM, 26 avril 2013

     

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    Photos: Demir SÖNMEZ

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  • Sous-enchère salariale aux HUG, Health on the net (HON): Hell's on the HUG

     

    Aujourd'hui une dizaine de salariés de la fondation HON (basée aux Hôpitaux  universitaires de Genève), avec les syndicats Unia et SSP, ont dénoncé leurs  conditions salariales en tenant un piquet de protestation devant les HUG.


    Des salaires variant entre 1'700 francs et 4'000 francs par mois pour des 

    employés avec des diplômes universitaires, des retards et irrégularités avec le payement des assurances sociales, une situation proprement scandaleuse pour fondation financée qui plus est par des fonds publics.

     

    La direction de HON a refusé jusqu'à présent toute revalorisation salariale et en guise de réponse aux démarches effectuées par certains salariés a licencié partie de ceux-ci

     

    Les salariés de HON réclament donc la réintégration des collègues licenciés et l'application des salaires de leurs collègues de l'hôpital public.

     

    Devant l'impossibilité de négocier avec la direction de HON, les salariés ont parvenir aujourd'hui un courrier à la présidente du Conseil de fondation 

    de HON, Mme Graf-Litscher, conseillère nationale PS et secrétaire syndicale au SEV. En sa qualité de présidente du Conseil de fondation, Mme Graf-Litscher tolère-t-elle à HON une politique salariale alimentant le dumping salarial?

     

    Mme Graf-Litscher tolère-t-elle le licenciement de personnel après que ce dernier essaie de faire valoir ses droits?

     

    D'autre part, le syndicat Unia va saisir la Commission tripartite cantonale sur les mesures d'accompagnement pour dénoncer cette situation et attend des autorités une réaction ferme quant à la poursuite du financement de HON.

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    Photos : Demir SÖNMEZ

     

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  • Etudiant-e-s et travailleurs - euses uni -e- s contre le budget d'austérité!

    Le Cartel intersyndical et les associations d'étudiant-e-s, soutenus par le SSP et la CGAS, ont manifesté dans les rues de Genève le 23 avril. Le cortège, parti de HETS (haute école du travail social) à la rue Pré-Jérôme, a fait une halte à la Place de Neuve, avant de repartir dans les Rues Basses pour arriver devant le SPMi (service de la protection des mineurs). Etudiant-e-s et travailleurs/euses  ont fait part ensemble de leur opposition au projet de budget antisocial qui sera probablement voté le 25 avril, au mépris des besoins de la population. Près d'un millier de personnes ont exprimé leur refus d'augmenter les taxes universitaires (1000 francs !), leur soutien à la lutte des employé-e-s du SPMi qui connaissent des conditions de travail très pénibles depuis des années et  qui refusent de déménager dans des locau! x inadaptés. La coupe linéaire de 2% envisagée ainsi que les diminutions de postes prévues dans l'enseignement et la santé ont aussi été dénoncées et seront combattues

     

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    Photos: Demir SÖNMEZ

     

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