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Demir SÖNMEZ - Page 146

  • Le centenaire du génocide des Arméniens: Vernissage, Concert et Manifestations

    Suisse – Arménie
    La collection Kalfayan, sur le chemin de la mémoire

    Vernissage 16 avril 2015 à 18h30

    Exposition

    17 avril 2015 – 20.09.2015

    Musée des dans le Monde Château de Penthes
    Château de Penthes
    18, chemin de l’Impératrice
    CH – 1292 Pregny-Chambésy

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    Monsieur Rodolphe S. Imhoof, président de la Fondation et Monsieur Anselm Zurfluh, directeur du musée et de l’institut ont le plaisir de vous convier au vernissage de l’exposition Suisse-Arménie, sur le chemin de la mémoire le jeudi 16 avril 2015, placée sous le haut patronage de Son Excellence Monsieur Charles Aznavour, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République d’Arménie en Suisse, représentant permanent auprès des Nations Unies.

    Pour de plus amples informations :

    http://www.penthes.ch/portfolio/vernissage-de-lexposition-suisse-armenie-sur-le-chemin-de-la-memoire/

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    Le 17 avril 2015 à 20h les passionnés de musique classique sont invités à assister à un concert exceptionnel au Victoria Hallde Genève, organisé par l'Association culturelle AVETIS, sous le Haut patronage de l'ambassadeur d'Armenie en Suiss S. E. M. Charles AZNAVOUR. À l'occasion de la 100ème commémoration du Génocide des Arméniens, venez écouter le STABAT MATER de Pergolesi et d’autres chefs-d’œuvre interprétés par l’Orchestre de chambre de Neuchâtel sous la direction de Sergey Ostrovsky et par les deux grandes voix arméniennes de Varduhi Khachatryan (soprano) et de Juliette Galstian (mezzo), en présence et prise de parole de Monsieur Sami Kanaan, Maire de Genève, Monsieur Vahé Gabrache, prèsident de la Fondation ARMENIA, et Madame Hasmik Tolmajyan, Ministre Plénipotentiaire.

    Pour commande billet et plus informations:

    http://billetterie-culture.ville-ge.ch/spectacle?id_spectacle=1676

    http://www.internationaldiplomat.com/geneva-international/diva-international-sur-diva-international/

    http://www.avetis.ch

    Que jamais la mémoire ne s’éteigne

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    Chères amies, chers amis,

    Il y a cent ans, l’Humanité assistait impuissante à la déportation et au massacre des Arménien-ne-s.

    Ce 24 avril 2015, un siècle plus tard, les Arménien-ne-s se réunissent pour commémorer ce crime contre l’Humanité et rappeler à la communauté internationale qu’ils n’ont pas renoncé à tout ce qui fait leur identité: leur langue, leur musique, leur cuisine, leur religion, leur culture...

    Parce que le 24 avril 1915 est un jour qui a changé le destin de tous les Arméniens et toutes les Arméniennes
    Parce que le 24 avril 2015 nous offre l’opportunité exceptionnelle d’être entendus
    Parce que le 24 avril 2015, par votre présence, vous démontrerez que les Arménien-ne-s de Suisse et leurs ami-e-s sont unanimes et déterminé-e-s

    NOUS VOUS INVITONS À PARTICIPER AU GRAND RASSEMBLEMENT DU 24 AVRIL 2015 À BERN
    E

    17:00 - Casinoplatz, Berne - Manifestati
    on
    19:15 - Collégiale de Berne (Berner Münster) - Cérémonie de commémoration: Requiem arménien et Missa de Lumi
    ne
     
    Vous trouverez ci-joint le papillon de la cérémonie.

    Bien cordialement,
     
    Muriel Denzler
    Pour la Commission suisse du centenaire du génocide des Arménien
    s
    032 846 26 12
    076 370 26
    64

    Agenda des manifestations à l'occasion du Centenaire du génocide des Arméniens
    :
    asa-gsa.ch
    www.genocide1915.
    ch

  • Les Ports Francs : un trou noir fiscal ?

    Aujourd’hui,  Ensemble à Gauche a organisé aux Ports Francs une action pour soulever les problèmes posés par l’opacité de ces zones dans la lutte contre l’évasion fiscale. Ces questions, récemment mises au devant de la scène par l’affaire Bouvier/Rybolvev, se posent désormais de manière incontournable.

     

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    En effet, selon Morten Gisselbaek, candidat EàG en Ville de Genève, « Les Ports Francs sont une véritable caverne d’Ali Baba, gorgées d’œuvres d’art, de bouteilles de vin grand cru et autres marchandises stockées sous un statut spécial dépôt franc de douane. Cette pratique vous permet, si l'idée vous vient d'y déposer quelqu'objet que ce soit, de vous faire restituer immédiatement la TVA et d'avoir votre bien déposé dans une sorte de no-mans land fiscal. De là, vous pouvez envoyer ces objets partout dans le monde selon l'évolution du marché, les vendre, les acheter, les revendre, etc, sans qu’un réel contrôle puisse se faire ».

     
    « Les Ports Francs sont donc une plateforme de commerce, hors contrôle fiscal, qui permet, notamment aux marchands d’art, de transformer leurs objets de collection en un investissement financier important », souligne encore Morten Gisselbaek.
     
    De  ce point de vue, l’affaire Bouvier-Rybolvev, qui représente des transactions à hauteur de 2 milliards, dont 500 millions de bénéfices, pose un certain nombre de questions affirme Rémy Pagani, député au Grand Conseil, au niveau fiscal notamment. « En effet, sur ces 500 millions, il semblerait que 100 millions auraient dû être déclarés au fisc comme gain et ainsi être soumis à l’impôt. Dès lors, il est nécessaire de savoir si ces sommes ont été déclarées et si les impôts leur correspondant ont bel et bien été payés. C’est le sens de mes questions écrites déposées au Grand Conseil. »
     
    Plus largement,  cette affaire soulève des interrogations par rapport au rôle des Ports Francs dans les pratiques d’évasion fiscale. L’Etat qui détient 87% des Ports Francs doit assurer une plus grande transparence et un plus grand contrôle.
     
    Ainsi,  « au moment où l'on a enfin commencé à remettre en cause le secret bancaire, nous demandons que nos autorités cantonales se saisissent sérieusement de cette question et soient, pour une fois à la pointe du combat pour la transparence et l'équité. À l’heure où de nombreuses menaces planent sur les collectivités publiques en matière de rentrées fiscales avec les conséquences que l’on sait sur les prestations sociales et écologiques, il est plus que jamais nécessaire d’optimiser ces rentrées. C’est là le sens de notre message d'aujourd'hui. » conclut Morten Gisselbaek.
     

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    Question écrite urgente – Rémy Pagani – Lundi 13 avril 2015

    Que se passe-t-il dans ces boîtes noires que sont les Ports francs et plus particulièrement à Genève ; aurions-nous affaire à de la soustraction aux obligations fiscales envers la Confédération et le canton ?
    Considérant :

    L’article paru dans la Tribune de Genève du 2 avril 2015 dans lequel on peut notamment lire :
    -       les « confessions » de Tania Rappo agissant comme intermédiaire lors de la vente de tableau entre Yves Bouvier et ces nombreuses sociétés et Dmitri Rybolovlev déclarant "Nous nous sommes rendus aux Ports francs de Genève.... " ;
    -       que Tania Rappo reconnaît avoir reçu des commissions - que certains évaluent à 100 millions - sur les ventes des tableaux de maîtres opérées entre 2003 et 2013 ... transactions atteignant selon le journal un total de 2 milliards d'euros ;

    L’article paru dans le Temps le 4 avril 2015 notamment :

    -       qui fait état de pièces déposées ou saisies par le juge de Monaco chargé d'instruire la plainte contre Yves Bouvier en référence à des échanges d'e-mail entre Yves Bouvier et Dmitri Rybolovlev par l’intermédiaire de son homme d’affaires, il est question de 775'000 euros qui devait être versé en avril 2008 comme "commission" au compte personnel d’Yves Bouvier chez Dresdner Private Banking à Genève relative à la vente du tableau de Picasso de 1899 « la sœur de l’artiste » ;


    -       qu’il a été saisi sur Yves Bouvier lors de son arrestation à Monaco un document à en-tête d’une grande étude d’avocat bien connue à Genève datée du 24 février 2015 relative à la vente d’un tableau de Rothko ;
    -       que ce document établi pour le compte de Blancafor – entité dont le propriétaire n’est autre qu’Yves Bouvier - menacerait la société MEI Invest de poursuite juridique ;


    -       qu’en réponse à la question du juge monégasque cherchant à savoir pour quelles raisons Yves Bouvier utilisait les services d’un avocat « pour, en quelque sorte, écrire entre sociétés vous appartenant, qui plus est pour vous « auto-menacer » de poursuites judiciaires », MEI Invest appartenant également à celui-ci, Yves Bouvier répond «  C’était un moyen de mettre la pression… » ;


    -       que la plus-value estimée de la vente de ce tableau à Dmitri Rybolovlev serait de 60 millions.

    Je pose les questions suivantes :

    En complément à mes questions précédentes (QUE311) :

    -       Yves Bouvier a-t-il déclaré à l’administration fiscale, la « commission » de 750'000 qu’il a réalisé sur la vente du Picasso intitulé « la sœur de l’artiste » en 2008 ?
    -       De manière plus générale, Yves Bouvier a-t-il déclaré et réglé la totalité des impôts sur le revenu et sur la fortune pour toutes les transactions qu’il a faites en son nom, ou au travers des diverses entités off shore dont il est l’ayant droit économique ?
    -       Tania Rappo a-t-elle déclaré et payé la totalité des impôts sur les revenus et sur la fortune pour les commissions perçues sur les transactions entre Yves Bouvier – ou ses entités off shore – et Dimitri Rybolovlev
    -       à quelle date Tania Rappo s’est-elle domiciliée à Monaco ? Son domicile à Monaco n’est-il pas qu’un domicile fictif aux seules fins de se soustraire à ses obligations fiscales à Genève

    Et concernant le Port franc :

    - Ces transactions et changements de propriétaires ont-ils été annoncés à l’administration fédérale et cantonale ?
    - De manière générale, les pratiques révélées par le différend entre Yves Bouvier et Tania Rappo d’une part, et Dimitri Rybolovlev d’autre part ne seraient-elles pas révélatrices de pratiques similaires, par d’autres usagers des Ports Franc de Genève pour se soustraire à leurs obligations fiscales envers la Confédération et le canton ?

    De manière plus générale encore, n’y a-t-il pas lieu de craindre que les Ports francs propriété de la collectivité genevoise, ne soient devenus une grande blanchisseuse d’argent gris, ou pire, d’agent sale ?


    Contacts :

    Morten Gisselbaek                      076 336 34 61
     
    Rémy Pagani                              079 818 96 02
     
    Pablo Cruchon                            079 800 68 73     

    Ensemble à Gauche — Communiqué de presse  Lundi 13 avril 2015

     

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  • Action immeuble vide de la tour-Maîtresse


    Un immeuble de cinq étages laissé vide depuis 6 ans en plein centre-ville !

    Ce matin, des militant·e·s d’Ensemble à Gauche, emmenés par Rémy Pagani, ont déployé des banderoles devant le 8 rue de la Tour-Maîtresse pour dénoncer une situation inacceptable. En plein centre-ville, un immeuble entier est laissé complètement vide depuis 6 ans, malgré une autorisation de construire (pour rénovation) en force depuis mars 2009.

    Cet ancien hôtel « L’Hermitage », haut de cinq étages a en effet subi maints changements de propriétaires et des travaux y ont même été commencés, mais jamais terminés. L’intérieur est presque entièrement démoli et laissé à l’abandon depuis des années ! Une situation incroyable en période de pénurie.
     

    Brigitte Studer, cheffe de groupe Ensemble à Gauche au Conseil municipal s’interroge : « Comment une telle situation est-elle possible ? Comment se fait-il qu’il soit plus rentable de laisser cet immeuble vide plutôt que de l’utiliser ? Cela pose la question du rôle de l’Etat : pour nous l’Etat doit agir proactivement et pas seulement sur dénonciation, comme il le fait depuis la pratique instaurée par Mark Muller. Il faut exiger des propriétaires, en particulier en situation de pénurie, comme c’est le cas actuellement, qu’ils rénovent et remettent en état les locaux vides. »


    Il y a à Genève 108'370 m2 de surface d’activités vacante dont 64% sont des espaces de bureaux (Statistiques DALE, mars 2015). « Dans le même temps, les artisans et petits commerces peinent à payer les loyers prohibitifs des locaux commerciaux en Ville et n’y ont souvent plus accès. Conséquence : nombre de cafés et restaurants populaires ont disparu, alors que c’est leur présence qui rend la Ville vivante ! » dénonce Brigitte Studer
     
    « Mais cette situation n’est pas une fatalité, c’est le résultat d’une politique de la droite qui confie le logement au marché et met ce bien fondamental à la merci de l’offre et de la demande. C’est ce qui permet ce genre de situations scandaleuses. Pour nous, le logement est un droit, pas une marchandise. », conclut-elle.
     
    Pablo Cruchon, permanent politique de solidaritéS et candidat au Conseil municipal Ville de Genève pour Ensemble à Gauche renchérit : « Ensemble à Gauche s’engage à imprimer une autre politique, à demander des comptes aux propriétaires, à traquer les pratiques spéculatives et frauduleuses, à mettre la pression sur l’Etat pour qu’il agisse et à favoriser la construction de logements abordables.

    Notre initiative « Stop à la spéculation : construisons des logements abordables » va dans ce sens. La récolte vient d’ailleurs de démarrer et l’accueil de la population est excellent, preuve, s’il en fallait, que la situation actuelle est intenable. Mais plus encore, il faut une véritable mobilisation de la population pour exiger davantage de logements abordables. Ouvrons les locaux vides, occupons-les, et exigeons des propriétaires qu’ils fassent des projets répondant aux besoins de la population ! », conclut-il.

     

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