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Demir SÖNMEZ - Page 145

  • Suisse – Arménie

    La collection Kalfayan, sur le chemin de la mémoire. Partir à la découverte de la culture et des traditions du peuple arménien

    Un voyage envoûtant dans l’histoire de l’Arménie et de ses liens avec la Suisse, à travers plus de 170 témoignages de l’art et de la culture de l’Arménie.


    C’est à travers une exposition d’objets d’art et d’artisanat datant du XIV e au XIX e siècle que le Musée des Suisses dans le Monde souhaite faire découvrir aux Suisses
    et aux Genevois les liens qui unissent leur pays aux Arméniens, de leur révéler l’expression artistique et religieux de ceux-ci autant que leur vigoureuse activité
    commerciale, et de leur faire comprendre l’histoire complexe et parfois difficile d’un pays « européen » au cœur de l’Orient.

    Exposition

    17 avril 2015 – 20.09.2015

    Musée des dans le Monde Château de Penthes
    Château de Penthes
    18, chemin de l’Impératrice
    CH – 1292 Pregny-Chambésy

    Vernissage de la collection Kalfayan, sur le chemin de la mémoire  

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    Discours Madame Hasmik Tolmajyan, Ministre Plénipotentiaire.


    Excellences,

    Révérend Père,

    Monsieur le Président,

    Monsieur le Directeur,

    Mesdames et Messieurs,

    Chers Amis,

    Je voudrais remercier M. Rodolphe Imhoof, Président de la Fondation et M. Anselm Wurfluh, directeur du musée et de l’Institut de Penthes d’avoir accueilli cette belle exposition intitulée « Suisse-Arménie. La Collection Kalfayan, sur le chemin de la mémoire ».

     C’est une exposition chargée de symboles et porteuse de plusieurs messages.

    Elle reflète tout d’abord les relations d’amitié séculaire qui lient les peuples arménien et suisse. Une amitié réaffirmée et renforcée par de multiples preuves de sympathie, de respect et de solidarité que le peuple suisse a témoigné à notre peuple durant les épreuves les plus difficiles de notre histoire. C’est avec une profonde gratitude que l’Arménie se souvient toujours que la Suisse a offert une terre d’accueil aux nombreux Arméniens rescapés du génocide de 1915, ainsi que les opportunités pour leur intégration exemplaire. 

    Cette amitié, unissant nos deux peuples, a nourri également les relations entre nos deux Etats. La Suisse était parmi les premier pays à reconnaître l’indépendance de l’Etat arménien en 1991, et durant les 25 années suivantes, l’Arménie et la Suisse ont noué d’excellentes relations d’amitié renforcées par un dialogue politique intense et de très haut niveau, par une coopération étroite dans tous les domaines aussi bien sur le plan bilatéral que multilatéral.

    A travers cette magnifique collection Kalfayan, le Musée des Suisses dans le monde présente la richesse artistique du peuple arménien situé entre l’Occident et l’Orient, entre l’Europe et l’Asie, au carrefour de différentes cultures, religions et civilisations. 

    Comme son titre l’indique, l’exposition nous engage aussi sur le chemin de la mémoire. A travers ses riches témoins culturels du passé, elle nous rappelle l’importance de la mémoire pour les peuples et pour leur avenir, car les peuple sans mémoires sont des peuples sans avenir.

    Il est hautement symbolique que l’importance de la mémoire et du devoir de mémoire a été souligné encore par Sa Sainteté le Pape François, le 12 avril dernier, à quelques jours de la commémoration du Centenaire du Génocide arménien, dans son message très fort de solidarité et de soutien au peuple arménien,. Qu’il me soit permis de citer les paroles du Souverain Pontife : «Se souvenir est nécessaire, plus encore c’est un devoir, car là où il n’y a plus de mémoire, cela signifie que le mal tient encore la blessure ouverte.

    Chers Amis,

    Je tiens encore à exprimer ma sincère gratitude aux organisateurs de l’exposition, je salue chaleureusement les représentants de la famille Kalfayan ici présents. Je remercie vivement la Fondation Armenia et la Fondation Philipossian pour leur contribution précieuse à l’organisation de l’exposition.

     

    Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour offrir l’opportunité aux Suisses, aux Arméniens et à tous les visiteurs d’admirer les trésors de l’héritage culturel arménien et d’en connaître plus sur un peuple qui leurs est si proche.

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  • Samuel B., Mort en attendant le bus!

    Action d’Ensemble à Gauche contre les baisses de fréquence des TPG …avec Samuel B., usagé en attendant le bus !

     

    C’est sur un banc d’abribus à Bel-Air que les militant·e·s d’Ensemble à Gauche ont découvert ce matin les restes du pauvre Samuel B., usagé en attendant le bus. Par cette action décalée, symbolisant métaphoriquement la « perte » d’un usager TPG, EàG dénonce la menace qui plane sur la fréquentation des TPG suite aux baisses de prestation (baisses de fréquences des bus 3 et 10 et de toutes les lignes de trams) révélées lundi dernier par la RTS. Ces mesures prises par la direction des TPG feront l’objet d’une opposition déterminée.
     
    « On veut nous faire avaler une potion punitive à la petite cuillère. Après avoir tenté de s’en prendre aux employé·e·s TPG cet hiver, la direction des TPG s’en prend désormais en douce aux usagers·ères, en plusieurs étapes : c’est inacceptable ! », dénonce Pablo Cruchon, candidat EàG au Conseil municipal de la Ville de Genève.

    Un cercle vicieux
    Alors qu’il était possible de faire de ces tarifs abaissés une occasion d’attirer de nouveaux usagers TPG en instaurant un climat positif autour des TPG, la direction de la régie publique et la majorité de droite du Grand Conseil ont préféré jouer un jeu dangereux en adoptant une posture punitive et revancharde.
     
    « On veut punir le peuple d’avoir voté pour des baisses de tarif, or la population n’a jamais voté pour des baisses de prestations ! Cette logique risque d’entraîner un cercle vicieux très négatif. Une baisse des fréquences TPG, ce sont des véhicules davantage bondés. Cela signifie moins de places assises mais aussi une vitesse commerciale plus lente, car il faut faire monter et descendre plus de monde à chaque arrêt. Au final, on risque d’avoir une forte baisse d’usagers et donc de rentrées financières pour les TPG ! C’est perdant-perdant. » explique Pablo Cruchon.
     
    Rémy Pagani, magistrat en Ville de Genève, explique que le Conseil administratif a fait part dans une lettre de son « grand étonnement à propos de ces mesures » et qu’il considère que « les objectifs annoncés visant à diminuer les journées-conducteurs annoncés dans la presse doivent être abandonnés ». De plus, l’exécutif de la Ville de Genève estime que « les 1.8 millions de francs d’économie envisagées doivent être pris en charge par le Conseil d’Etat ».
     
     Il semble d’ailleurs que le Conseil d’Administration des TPG n’a pas validé ces mesures ni le défaut de communication qui l’accompagne. Selon nos informations, il n’y aurait pas eu de vote, mais seulement une note interne.

    Ensemble à Gauche
    Communiqué de presse · 16 avril 2015

     

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  • Carrefour dangereux aux Charmilles : une mobilisation réussie… et une victoire d’étape !

    Ce mercredi 15 avril en fin d’après-midi, environ 80 personnes, dont une quinzaine d’enfants, ont répondu à l’appel d’actif-trafiC et des associations de quartier de St-Jean et des Charmilles en soutien à la pétition déposée il y a un an demandant un réaménagement complet du carrefour.

    Ce carrefour, situé entre l’avenue d’Aïre et le chemin François-Furet est au croisement de plusieurs quartiers (Charmilles / Europe / St-Jean) et à proximité de nombre d’établissements scolaires et péri-scolaires : école primaire et cycle d’orientation de Cayla, école primaire de l’Europe, Maison de Quartier de St-Jean, Pavillon Cayla, ainsi que plusieurs crèches à proximité immédiate. Ce sont donc les usagers les plus vulnérables qui sont en danger ici !

    Brandissant des pancartes demandant qu’on agisse pour davantage de « sécurité sur le chemin de l’école », ou disant « STOP au trafic de transit dans les quartiers », les habitant·e·s, citoyen·ne·s et militant·e·s présents ont pu, à l’occasion d’un petit tour du carrefour, constater sur pièce les nombreux problèmes posés par ce carrefour dangereux : étroitesse extrême du trottoir sur le pont de chemin de fer, feux mal réglés (temps de « rouge » très long, temps de « vert » très court, etc.), vitesse excessive des véhicules motorisés, passages piétons mal placés, etc.

    Mobilisation : une victoire d’étape

    Cette mobilisation est déjà, en soi, une victoire d’étape, puisqu’elle a permis aux habitant·e·s concernés par ces dangers au quotidien de s’approprier à nouveau ce combat et de se rappeler au bon souvenir des autorités. Il semblerait d’ailleurs que les services de la Ville de Genève aient pris des dispositions pour un élargissement du trottoir sur le pont et la mise en place d’aménagements, au moins provisoires… à suivre !

    Les organisateurs·trices du rassemblement ont également interpellé les autorités cantonales, responsables de la gestion du trafic sur les grands axes et de la régulation des feux, en demandant la mise en place d’une « onde verte piétonne » répondant aux besoins des très nombreux piétons qui fréquentent ce carrefour.

    Ce carrefour est un condensé de non-application de l’initiative pour la mobilité douce et de son volet piéton – demandant la création de « traversée piétonnes attractives et sécurisées » - acceptée par le peuple il y a 4 ans et qui n’a toujours pas vu le début de sa mise en œuvre.

    « Cette situation inacceptable, symbolisée ici dans ce carrefour particulièrement dangereux, s’étend en réalité à la majeure partie des quartiers de la Ville, qui n’en peuvent plus du trafic de transit qui les traverse ! » a déclaré Thibault Schneeberger. Plusieurs habitant·e·s de la Jonction, récemment mobilisés autour de « Jonction en douceur », étaient d’ailleurs présents pour témoigner leur soutien. Signe, s’il en fallait, que la mobilisation des quartiers contre les nuisances et dangers du trafic motorisé converge, et va s’amplifier à l’avenir !

    actif-trafiC
    Communiqué de presse, 15 avril 2015
    Contact :    Thibault Schneeberger     079 781 42 36

     

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