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Droits de l'humaine - Page 40

  • IRAN. APPEL À LA GRÂCE POUR UN ÉTUDIANT EN DROIT QUI RISQUE D’ÊTRE EXÉCUTÉ

    APPEL À LA GRÂCE POUR UN ÉTUDIANT EN DROIT QUI RISQUE D’ÊTRE EXÉCUTÉ

     


    APPEL À L’ACTION URGENTE


    L'exécution imminente d'un étudiant en droit kurde, prévue pour le 26 décembre.


    L'avocat de Habibollah Latifi, étudiant en droit à l'Université Azad dans la province au sud ouest d'Elâm, a été informé par les autorités iraniennes que l'exécution de Habibollah Latifi aura lieu le 26 décembre à la prison de Sanandaj, Kurdistan, dans l'ouest de l'Iran.


    La justice doit se faire conformément aux normes internationales pour un procès équitable.


    Maison Populaire de Genève  est inconditionnellement opposé, et dans tous les cas, à la peine de mort, à la torture et toute autre cruelté inhumaine.

    www.assmp.org

    =======================================
    Signez la pétition urgente

     

    http://www.gopetition.com/petition/40470/sign.html

     

    http://www.facebook.com/pages/habib-latifi/293391661034?ref=ts

     

     

    http://www.PetitionOnline.com/habib/petition-sign.html

     

    http://www.amnesty.org/en/library/asset/MDE13/009/2010/en/a6330b0b-92fc-411a-a091-60d99fe45332/mde130092010en.html

     

    HabibullaLetifi.jpg

    Habibollah Latifi

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    IRAN. APPEL À LA GRÂCE POUR UN ÉTUDIANT EN DROIT QUI RISQUE D’ÊTRE EXÉCUTÉ

     

    24 décembre 2010

    Index AI : PRE01/430/2010

    Amnesty International a appelé vendredi 24 décembre les autorités iraniennes à annuler l’exécution imminente d’un étudiant en droit fixée au 26 décembre, et à commuer la peine de mort prononcée à l’encontre de cet homme.

    L’avocat de Habibollah Latifi, étudiant en droit à l’université Azad dans la province d’Ilam (sud-ouest du pays), a été informé par les autorités iraniennes que l’exécution de son client aurait lieu le 26 décembre à la prison de Sanandaj, au Kurdistan iranien (nord-ouest du pays).

    « Nous lançons un appel urgent aux autorités iraniennes afin qu’elles se montrent clémentes en annulant l’exécution de Habibollah Latifi et en commuant la peine de mort prononcée à son encontre, a déclaré Malcolm Smart, directeur du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.

     

    « Nous reconnaissons que les gouvernements ont le devoir de traduire en justice les auteurs présumés d’infractions, mais ils doivent le faire dans le respect des normes internationales d’équité des procès. Amnesty International est opposée en toutes circonstances à la peine capitale qui constitue, selon l’organisation, le châtiment le plus cruel, inhumain et dégradant qui soit. »

     

    Habibollah Latifi a été arrêté le 23 octobre 2007 à Sanandaj, capitale de la province du Kurdistan (nord-ouest de l’Iran). Son procès s’est tenu à huis clos et son avocat n’a pas été autorisé à être présent pour le défendre. Ses proches n’ont pas eu le droit d’assister aux audiences.

     

    Habibollah Latifi a été reconnu coupable de mohareb (inimitié à l’égard de Dieu) par le tribunal révolutionnaire de Sanandaj en raison de son appartenance au Parti pour une vie libre au Kurdistan (PJAK), un groupe armé interdit, et de ses activités pour le compte de cette organisation.

     

    Il a été condamné à mort le 3 juillet 2008 et sa peine a été maintenue par la cour d’appel de Sanandaj le 18 février 2009. 
On ignore si les autorités iraniennes ont informé la famille d’Habibollah Latifi de son exécution.

     

    « Il est évident que Habibollah Latifi n’a pas bénéficié d’un procès équitable au regard des normes internationales, ce qui rend la nouvelle de son exécution imminente d’autant plus terrible », a ajouté Malcolm Smart.

     

    http://www.amnesty.org/fr/fr/for-media/press-releases/clemency-call-kurdish-law-student-facing-execution-iran-2010-12-24

     

  • 10e anniversaire du massacre des prisonniers politiques de Turquie

    HALTE A LA REPRESSION SANGLANTE CONTRE LES PRISONNIERS POLITIQUES !

    10 ans après le massacre, la plupart des militaires tortionnaires et assassins ont bénéficié de la prescription. Les victimes, elles, sont aujourd’hui poursuivies pour s’être opposées à leur mise à mort et au programme de coercition que le régime d’Ankara aidé par les instances européennes a tenté de leur imposer.

    En Turquie, de nombreuses actions sont prévues devant les portes des prisons pour rendre hommage à la résistance héroïque des prisonniers politiques et réclamer que justice leur soit rendue.

    Environ 1000 prisonniers politiques dans toutes les prisons turques ont entamé une grève de la faim illimitée le 20 octobre 2000. Après 30 jours, elle est devenue une grève de la faim jusqu’à la mort. Les prisonniers protestaient contre le plan du Gouvernement prévoyant leur transfert forcé dans des prisons à cellule d’isolement dite de « type F » ainsi que contre les tortures, la répression et la législation prétendument « antiterroriste » de l’Etat turc qui bafoue les règles démocratiques minimales.

    Le 19 décembre 2000 à 4h30 le gouvernement turc ordonnait l’attaque de vingt prisons. Elles furent investies par l’armée, les forces spéciales de gendarmerie (10 000 hommes !) en utilisant des bombes à gaz, des fusils d’assaut, des bombes incendiaires ainsi que des bulldozers pour réprimer et massacrer les prisonniers politiques.


    birsen1.jpg

     

    Après l’opération du gouvernement turc, on comptait 28 morts et des centaines des blessés graves. Après cette attaque environ 1500 prisonniers politiques ont été transférés dans des cellules d’isolement de « Type F ».

    122 personnes dont des prisonniers politiques et leurs proches sont mortes dans le cadre de cette grève de la faim et de son soutien, dans et hors des prisons. 600 personnes environ sont soit au bord de la mort, soit dans des états physiques et mentaux gravement détériorées.


    Actuellement la lutte continuent dans les prisons de « Type F » pour protester contre le système d’isolement dans les cellules.

    la torture, la violence et les massacres sont appliqués de manière systématique en Turquie. Ces actes qui bafouent particulièrement les Droits de l’homme se produisent malgré la demande d’adhésion de la Turquie à l’Union Européenne.

    Face à l’urgence de la situation, au refus de négocier du gouvernement turc, à la répression et aux fins de non recevoir qui ont accueilli les tentatives de médiation et d’intervention des organisations de défenses des droits de l’Homme,la Maison Populaire de Genève et Maison du Peuple de Genève appelle tous les démocrates, à se remobiliser pour mettre fin à une situation intolérable !

     

    Maison Populaire de Genève

    www.assmp.org

    Case postale 1141

    1211 Genève1

    Suisse

    Tout don, quel que soit son montant, sera le bienvenu. Il peut

    être versé au compte suivant : BCGe CCP 12 – 1 - 2, numéros

    de compte : 5021.30.88

    IBAN : CH4200788000050213088 (montant étrange)

    SWIFT/BIC : BCGECHGGXXX

    Clearing/CB : 788

  • 10e anniversaire du massacre des prisonniers politiques de Turquie

    HALTE A LA REPRESSION SANGLANTE CONTRE LES PRISONNIERS POLITIQUES !

    10 ans après le massacre, la plupart des militaires tortionnaires et assassins ont bénéficié de la prescription. Les victimes, elles, sont aujourd’hui poursuivies pour s’être opposées à leur mise à mort et au programme de coercition que le régime d’Ankara aidé par les instances européennes a tenté de leur imposer.

    En Turquie, de nombreuses actions sont prévues devant les portes des prisons pour rendre hommage à la résistance héroïque des prisonniers politiques et réclamer que justice leur soit rendue.

    Environ 1000 prisonniers politiques dans toutes les prisons turques ont entamé une grève de la faim illimitée le 20 octobre 2000. Après 30 jours, elle est devenue une grève de la faim jusqu’à la mort. Les prisonniers protestaient contre le plan du Gouvernement prévoyant leur transfert forcé dans des prisons à cellule d’isolement dite de « type F » ainsi que contre les tortures, la répression et la législation prétendument « antiterroriste » de l’Etat turc qui bafoue les règles démocratiques minimales.

    Le 19 décembre 2000 à 4h30 le gouvernement turc ordonnait l’attaque de vingt prisons. Elles furent investies par l’armée, les forces spéciales de gendarmerie (10 000 hommes !) en utilisant des bombes à gaz, des fusils d’assaut, des bombes incendiaires ainsi que des bulldozers pour réprimer et massacrer les prisonniers politiques.


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    Après l’opération du gouvernement turc, on comptait 28 morts et des centaines des blessés graves. Après cette attaque environ 1500 prisonniers politiques ont été transférés dans des cellules d’isolement de « Type F ».

    122 personnes dont des prisonniers politiques et leurs proches sont mortes dans le cadre de cette grève de la faim et de son soutien, dans et hors des prisons. 600 personnes environ sont soit au bord de la mort, soit dans des états physiques et mentaux gravement détériorées.


    Actuellement la lutte continuent dans les prisons de « Type F » pour protester contre le système d’isolement dans les cellules.

    la torture, la violence et les massacres sont appliqués de manière systématique en Turquie. Ces actes qui bafouent particulièrement les Droits de l’homme se produisent malgré la demande d’adhésion de la Turquie à l’Union Européenne.

    Face à l’urgence de la situation, au refus de négocier du gouvernement turc, à la répression et aux fins de non recevoir qui ont accueilli les tentatives de médiation et d’intervention des organisations de défenses des droits de l’Homme,la Maison Populaire de Genève et Maison du Peuple de Genève appelle tous les démocrates, à se remobiliser pour mettre fin à une situation intolérable !

     

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