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  • Manifestation pour le Tibet

    Les Communauté Tibétaine de Suisse et du Liechtenstein se sont rassemblé aujourd’hui, le premier rassemblement à eu lieu devant le palais Wilson et le second sur la place des nations, la raison de ses rassemblement est que les Nations Unis doivent envoyer une commission d’enquête indépendante au Tibet maintenant ! Toujours pas d’action concrète de l’ONU !

    « Combien de souffrances supplémentaires doit encore endurer le Tibet ?»

    Les Tibétains et leurs sympathisants se réunissent devant le Palais Wilson et sur la Place des Nations afin d’exprimer leur déception quant au manque concret d’action des Nations Unies tout en espérant un changement d’attitude de leur part. Ils appellent les Nations Unies à prendre des mesures concrètes de suite.

    La situation des droits humains au Tibet s’est dégradée encore plus depuis le début de cette campagne il y a deux ans. Les Tibétains doivent endurer un déni total de leurs droits les plus élémentaires alors que le gouvernement chinois continue à imposer des mesures de répression extrêmes. Au lieu d’entendre les demandes légitimes des protestataires, les autorités chinoises utilisent la force pour les supprimer.
     
    La suppression n'est pas limitée à ceux qui protestent dans la rue. Nous pouvons également attester d'une vague de répression chinoise sur les intellectuels tibétains qui osent exprimer leurs vrais sentiments et aspirations dans une ambiance très oppressive. Depuis 2008, plusieurs écrivains tibétains, des blogueurs, des intellectuels et personnalités culturelles ont été arrêtés.Dans un acte de désespoir ultime, en l'absence d'aide de la communauté internationale et tout espoir, près de 118

    Tibétains se sont immolés - un chiffre dramatique qui explique la réalité.

    Depuis mai 2011, les sections de la Communauté Tibétaine de Suisse et du Liechtenstein ont organisé chaque mois une manifestation pacifique devant les édifices des Nations Unies à Genève et ont soumis divers mémorandums de cas spéciaux les plus urgents concernant la situation dramatique au Tibet, à savoir la suppression de la liberté religieuse, de la liberté d’expression, d’opinion, des droits des femmes, de la langue tibétaine, également de l’utilisation généralisée de la torture, de la sédentarisation forcée des nomades, la situation des prisonniers politiques y compris celle du Panchen Lama, les nombreuses immolations tragiques et la pratique d’un génocide culturel. Enfin, ils demandent la reprise sans délai d’un dialogue entre les envoyés du Dalaï Lama et le gouvernement chinois. Bien que nous apprécions les paroles de préoccupation face à la détérioration de la situation au Tibet prononcées récemment par Son Excellence, Mme Navanethem Pillay, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, nous exigeons des mesures concrètes dès maintenant.

    Nous insistons donc de nouveau auprès des Nations Unies d’intervenir auprès de la Chine afin qu’elle :

    - autorise un accès sans entrave aux médias internationaux, aux diplomates étrangers et aux experts indépendants des Nations Unies dans toutes les régions troubles du Tibet

    - respecte les droits des Tibétains à la liberté de religion, d’expression et de réunion garantis par la Constitution Chinoise

    - garantisse l’égalité des nationalités et celle des langues

    - respecte les droits des femmes tibétaines

    - cesse l’utilisation de la torture, le génocide culturel et la sédentarisation forcée des nomades

    - libère sans conditions préalables tous les prisonniers politiques ainsi que le Panchen Lama

    - entende les demandes légitimes des protestataires

    - mette fin à la soi-disante «rééducation patriotique» dans les monastères et laisse les moines et les nonnes pratiquer librement leur religion;

    - reprenne le dialogue avec les représentants Tibétains afin

     

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  • OIT: les représentants de l'Etat iranien doivent être expulsés. Pour les libertés syndicales en Iran


    Rassemblement à Genève le 13 juin 2013 Place des Nations de 12h à 14h Pour la défense des droits des travailleurs et des libertés syndicales en Iran en Iran, les travailleurs sont privés de libertés essentielles:

    • - le droit de faire grève,
    • - le droit de manifester,
    • - le droit de constituer des organisations syndicales.


    Accusés d'avoir enfreint ces interdictions, des milliers de salariés sont arrêtés,nombre d'entre eux sont jetés en prison et certains condamnés à mort.

    Les organisations syndicales françaises CFDT, CGT, FSU, Solidaires et UNSA appellent les organisations de travailleurs présentes à Genève à l’occasion de la Conférence internationale du travail 2013 à se rassembler Place des Nations pour
    exiger :
     

    • La libération des syndicalistes emprisonnés ;
    • - Le droit de constituer des syndicats indépendants en Iran ;
    • - Une présence dans la délégation iranienne à la Conférence internationale du Travail de l’OIT d’organisations de travailleurs représentant réellement leurs intérêts et non pas de prétendus « syndicalistes » qui ne sont que des complices du régime.


    Ce rassemblement permettras aux représentants syndicaux présents d’exprimer leur solidarité envers les travailleurs et syndicalistes iraniens.
     

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  • Les associations se mouillent pour l’action sociale


    COMMUNIQUÉ  PRESSE

    Les associations se mouillent pour l’action sociale

     

    Afin de bien démarrer la mise en œuvre de la Constitution genevoise, les associations actives dans le champ social se mouillent. Elles se sont mobilisées de concert pour  ancrer dans les principes fondamentaux de notre République et Canton la promotion des droits fondamentaux et les conditions assurant un travail associatif innovant, dans le cadre d’un partenariat efficace avec les services publics. Elles s’organisent maintenant, sous l’égide du Collectif d’associations pour l’action sociale (CAPAS), afin de promouvoir une concrétisation de ces principes constitutionnels.

     

    Ø  Pour permettre à chacun de rencontrer des professionnels présentant leur action,

     

    Ø  Et transmettre des informations au sujet du nouveau collectif « CAPAS ».

    Le CAPAS regroupe une trentaine d’associations offrant des services multiples : accueil d’urgence pour personnes en détresse, conseil et soutien social, psychologique & juridique, activités de réinsertion, intégration de migrants, lutte contre toute forme d’exclusion, et autres.

    L’objectif du CAPAS est de maintenir et de renforcer la qualité de ses interventions assurées par des professionnels travaillant le plus souvent de concert avec nombre de bénévoles. Et d’assurer la meilleure coordination possible entre elles et avec leurs partenaires de l’action publique. Car tout cela ne va pas de soi. En effet, dans un climat de rigueur budgétaire, la réflexion est supplantée par une multiplication de mesures administratives qui risquent d’entraver l’action associative, sans économies réelles à la clé. Le risque majeur est, en retour de boomerang, un effet d’amplification de problèmes sociaux restés sans réponse adéquate et une dégradation du lien social, avec de nombreux coûts humains à la clef.

     


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    Genève, réputée pour sa prospérité, connaît aussi son lot de détresses humaines.
     
    La collectivité peut compter sur l’action d’un secteur associatif dynamique, innovatif et en définitive peu coûteux, pour apporter des réponses appropriées, souvent novatrices et à taille humaine pour nombre de problèmes qui, sans de telles interventions, alourdiraient encore la charge des services publics.
     
    Pour défendre et promouvoir une dynamique associative complémentaire à l’action publique, les associations actives dans ce domaine se sont regroupées sous l’égide du Collectif d’Associations Pour l’Action Sociale (CAPAS). Elles sont une trentaine actuellement, offrant des services multiples : accueil d’urgence pour personnes en détresse, conseil et soutien social, psychologique et juridique, activités de réinsertion, intégration de migrants, lutte contre toute forme d’exclusion…
     
    Les objectifs de leur regroupement sont de maintenir et de renforcer la qualité de leurs interventions assurées par des professionnels travaillant le plus souvent de concert avec nombre de bénévoles. D’assurer également la meilleure coordination possible entre elles et avec leurs partenaires de l’action publique. Car tout cela ne va pas de soi. En effet, dans  un climat de rigueur budgétaire, la réflexion est supplantée par une multiplication de mesures administratives qui risquent d’entraver l’action associative, sans économies réelles à la clé.
     
    Le risque majeur est, en retour de boomerang, un effet d’amplification de problèmes sociaux restés sans réponse adéquate et une dégradation du lien social, avec de nombreux coûts humains à la clef.
     
    Pour défendre les valeurs du partenariat entre actions publique et associative et maintenir la dynamique créatrice de l’action sociale portée par les associations, le CAPAS a veillé à inscrire dans la Constitution genevoise plusieurs principes qui méritent d’être relevés :
     
    Ø Un ancrage dans la promotion des droits fondamentaux, notamment le droit à une « satisfaction des besoins vitaux et personnels » ;

    Ø Une action sociale complétant l’aide individuelle sous forme matérielle ;

    Ø Une collaboration qui reconnaît et valorise la qualité du partenariat entre les associations et les autorités publiques
     
    Maintenant que la mise en œuvre de notre Constitution genevoise est lancée, le CAPAS entend continuer son travail pour assurer, sur Genève, une écoute et un soutien de qualité à toute personne confrontée à des difficultés ou une détresse particulière.
     
    C’est la dignité humaine de notre collectivité qui est en jeu.
     
    Dominique Froidevaux & Judith Saulmier
    Co-président-es du CAPAS

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    DSC_6606.jpgPhotos: Demir SÖNMEZ

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