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Genève, Cette après midi à la place des nations une dizaine de membre d’occupy Geneva ont manifesté pour soutenir les artistes ukranien contre la censure d’une exposition artistique Ukranienne. Il sagit d’une action entre les divers mouvements occupy qui a debuté à Rome et se terminera aux biennales de Berlin.




Le 24 mars, l’action globale « occupy Ukrainian Body » a débuté à Rome. Les activistes d’ ESC en Italie, Occupy Geneva de Suisse, et de Political Critique de pologne, on mené un court rassemblement de protestation contre la censure devant l’ambassade d’Ukraine à Rome pour soutenir le « visual cultur research center » de Kyiv-Mohyla Academy et son exposition « Ukrainian body ». Tout deux ont été fermés par l’administration universitaire d’Ukraine.
Les militants ont fait appel au respect de la liberté d’expression dans l’art et la politique, et demandé que le centre puisse reprendre ses activités culturel et ré-ouvrir l’exposition injustement censurée.
L’action occupy ukrainian body, luttons contre la censure (occupy Ukrainian body, fight against censorship) mené par les mouvement occupy, continuera son périple dans d’autre pays, pour exprimer ainsi un élan de solidarité envers un art contemporain socialement et politiquement engagé, et soutenir la ré-ouverture des institutions bâillonnées.
La banderole crée à Rome lors de la première action devrait donc voyager de ville en ville pour enfin arriver aux Biennales de Berlin dont le thème cette année sera « what can art do for real politic? ».
http://art-leaks.org/2012/03/29/global-action-occupy-ukrainian-body-fight-censorship/
Traduction de la vidéo ci-dessous:
« Ceci est une action contre la censure en Ukraine! Le gouvernement Ukrainien a fermé l’institut « visual cultur rechearch », l’exposition ayant été considérée comme pornographique. Cette exposition était l’expression du travail de 17 artistes, suite à cela le gouvernement a renvoyé les responsable de cette exposition et ainsi censuré les idées et messages émanants de ces 17 artistes. En soutient et en solidarité avec nos camarades touchés par cette politique de censure, nous, activistes de Suisse, de Pologne, d’Ukraine, et d’Italie manifestons contre la censure de la liberté d’expression! »
Maison Populaire de Genève
www.assmp.org
31 maires kurdes emprisonnés
Un autre maire du principal parti kurde BDP a été emprisonné jeudi 5 avril par le régime turc pour soutien à « une organisation terroriste », un prétexte bien commode, portant à 31 le nombre des maires incarcérés.

Ferit Celik, maire de Karliova, dans la province de Bingol, a été interpellé jeudi matin lors d’une décente de la police chez lui et placé en détention après avoir comparu devant un tribunal de Bingol. Un membre du conseil municipal et un dirigeant local du BDP ont également été placés en détention pour les mêmes accusations.
Une ville sans élus
Le 8 mars dernier, Aydin Budak, le maire de Cizre, dans la province de Sirnak, avait été destitué de ses fonctions par les autorités turques, après avoir été condamné à 2,6 ans de prison dans l’affaire KCK.
Tous les maires BDP de Sirnak ont été emprisonnés ou destitués de leurs fonctions. Il s’agit d’une ville sans maire ni élus locaux, sauf un député BDP qui reste toujours dehors, alors que deux autres députés, cinq maires et deux anciens maires de cette ville sont actuellement en prison.
31 maires et six députés en prison
Au total, 31 maires sur 98 et six députés BDP se trouvent actuellement derrière les barreaux, a-t-on appris auprès de la commission juridique du parti kurde. Des mandats d’arrêts ont été lancés contre deux autres maires. Cela qui signifie qu’au moins 34 maires ont été écartés de leurs fonctions.
A l’approche des élections municipales de 2013, le régime AKP montre bien son intention de réprimer les principaux interlocuteurs de la question kurde, par les moyens les plus brutaux. Les maires kurdes sont systématiquement visés et leurs projets refusés, afin de les décrédibiliser et rendre inefficaces.
Près de 7 000 membres actifs du parti kurde BDP sont aujourd’hui en prison dans le cadre dans l’affaire KCK, lancée en avril 2009, quelques semaines après le succès historique du parti kurde lors des élections municipales, sans compter des milliers d’autres qui ont été arrêtés sous prétexte lutter contre le « terrorisme ». Chaque semaine, des dizaines de personnes s’ajoutent à cette liste.
http://www.actukurde.fr/actualites/kurdistan/671-31-maires-kurdes-emprisonnés.html
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