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Demir SÖNMEZ - Page 104

  • Manifestation de soutien à Zeinab Jalalian qui est dans le couloir de la mort

    Une trentaine de personnes se sont rassemblées en face du palais Wilson, siège du Haut-Commissariat aux droits de l’homme pour protester contre le régime d'Iran et en soutien aux prisonniers politiques telle que Mme Zeinab Jalalian. Cette dernière est en train de perdre le sens de la vue et on lui refuse des visites médicales pour remédier à sa situation.


    Plusieurs centaines de prisonniers Kurdes sont condamnés à de longues sentences en prison et sont exécutés après avoir subi des traitements inhumains.

    Mme Jalalian souffre de ptérygion et d'une maladie intestinale, et elle peut perdre complètement la vue, mais les gardiens de la prison ont empêché de la transporter à l'hôpital.

    En mars 2008, elle avait été arrêtée par la police à Kermanshah, et elle a subi des interrogatoires, notamment sous la torture. Elle a été condamnée à mort par le tribunal, mais sa peine a été commuée en prison à vie.

    Cette prisonnière politique, qui a passé les huit dernières années en prison, a fait des grèves de la faim à plusieurs reprises en raison des pressions qu'elle subit et parce que les autorités lui refusent un accès aux soins.

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    ©Photography Geneva by Demir SÖNMEZ

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  • Festival du film et forum international sur les droit humains: palmarès et remise des prix

    COMMUNIQUE DE PRESSE - CLOTURE ET PALMARES DE LA 14èME EDITION DU FIFDH

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    Le FIFDH vient de livrer son palmarès au terme d’une édition marquée par un engouement et une mobilisation exceptionnels.

    OUVRONS LE DEBAT ! Ce slogan a porté la 14ème édition du Festival du Film et Forum International sur les Droits Humains (FIFDH), qui s’est définitivement imposé comme l’événement le plus important consacré au cinéma et aux droits humains à travers le monde. Du 4 au 13 mars 2016, dans 37 lieux du Grand Genève, 210 cinéastes et personnalités internationales ont présenté leurs films, participé à des débats publics de haut niveau en parallèle au Conseil des droits de l’homme de l’ONU et rencontré un public passionné lors de séances à guichet fermé.

    DEFENSEUR.E.S DES DROITS HUMAINS ET ARTISTES AU RENDEZ-VOUS

    Grande reconnaissance pour le Festival, le Docteur Denis Mukwege présent au débat « RDC: silence on viole! » à la Comédie de Genève a été reçu par le Haut-Commissaire aux droits de l'homme Zeid Ra’ad al-Hussein au Conseil des droits de l’homme de l’ONU.

    Quelques moments forts de cette édition: Roberto Scarpinato, Procureur général au parquet de Palerme, a demandé la création d’un Tribunal pénal international pour le Mexique, les débats qui ont réuni Zhanna Nemtsova, une année après l’assassinat de son père l’opposant russe Boris Nemtsov, Guy Ryder, Directeur général de l’OIT, le Docteur genevois Didier Pittet, la jeune rappeuse Sonita Alizadeh ou encore, lors du débat autour du terrorisme, Alain Bauer et Deeyah Khan. Sans oublier les interventions par Skype de Robert Badinter, Vandana Shiva, Ensaf Haidar (épouse de Raif Badawi) et la Chinoise Hooligan Sparrow.

    Le FIFDH a programmé cette année 46 films documentaires et de fiction. Il s’est aussi intéressé au financement des documentaires avec l’organisation d’une fenêtre sur Good Pitch avec Britdoc et la Fondation Ford. Le cinéaste Brillante Mendoza a donné une Masterclass exceptionnelle. Nabil Ayouch, Mai Masri, Joachim Lafosse, Amos Gitai, Nanfu Wang, Hemal Trivedi et Gael Garcia Bernal ont partagé leur passion pour le cinéma, leur nécessité de dénoncer les atteintes aux droits humains et leur engagement, aux côtés des cinéastes suisses Frédéric Choffat, Jean-Cosme Delaloye ou encore Richard Dindo, tous co-produits par la RTS.

    Dans le cadre du programme pédagogique, 2'224 élèves et 188 enseignants ont assisté à 17 séances avec 41 intervenant.e.s.

    UN FESTIVAL EN PLEIN ESSOR

    Le Festival a noué 40 nouveaux partenariats comme la Fondation Ford, la Déclaration de Berne, l’ISHR, la Cinémathèque suisse, la HEAD-Genève et l’Association des Communes genevoises.

    Pour ouvrir le débat, le FIFDH est sorti de ses murs pour aller à la rencontre de nouveaux publics. Soutenu par 18 communes, il a proposé des projections, des débats et des rencontres dans 37 lieux. Des centres d’hébergement collectif de l’Hospice général à la Maison de la Paix, en passant par le CERN, la Comédie de Genève et le Musée International de la Croix-Rouge, cette volonté de mélanger les publics a été récompensée par des salles pleines et des débats de qualité.

    UN FESTIVAL PLUS CONNECTE QUE JAMAIS

    Le Festival a retransmis en direct sur sa chaîne Youtube tous les débats, qui ont également été tweetés en direct. La page Facebook du Festival a atteint 250’000 personnes en une semaine et a dépassé les 10’000 likes. Une nouvelle application mobile et une plate-forme Instagram ont été lancées avec succès.

    DIMANCHE 13 MARS

    Dimanche 13 mars, dernier jour du Festival, un débat est proposé sur le Sport et les droits humains, qui comptera sur la présence exceptionnelle de Fani Misailidi, Cheffe des affaires publiques de la FIFA. Le dernier débat traitera de l’Erythrée. Amos Gitai présentera son film Le dernier jour d’Yitzakh Rabin à Genève et à la Cinémathèque suisse.

    Le public aura l’occasion de voir ou revoir aux Cinémas du Grütli les films primés dimanche 13 mars.

    Cette 14ème édition est dédiée à l’artiste Leila Alaoui, à qui le festival a rendu un vibrant hommage en présence de Christine Alaoui, sa mère, ainsi que Nabil Canaan, son fiancé, sous les notes de We shall overcome, interprété a cappella par Barbara Hendricks.

    PALMARES OFFICIEL
    SECTION DOCUMENTAIRES DE CREATION

    Le Jury international documentaires de création était présidé par Barbara Hendricks aux côtés de Plantu, Philippe Djian, Ece Temelkuran et Daniel Schweizer.

    GRAND PRIX DE GENEVE (CHF 10'000)
    Offert par le Canton et la Ville de Genève

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    AMONG THE BELIEVERS d’Hemal Trivedi et Mohammed Ali Naqvi

    Un documentaire courageux qui aborde la question de l’intégrisme religieux qui menace la société pakistanaise. Un film qui aborde la complexité de cette question et montre le fossé qui sépare ces deux mondes. Sans juger, il laisse de la place au spectateur et permet de mieux comprendre la complexité de cette société partagée entre Djihad et démocratie. Un film sur deux Islam, le modéré et le radical qui divise le Pakistan, et ses conséquences.

    PRIX GILDA VIEIRA DE MELLO EN HOMMAGE A SON FILS SERGIO VIEIRA DE MELLO (CHF 5'000)

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    Offert par la Fondation Barbara Hendricks pour la Paix et la Réconciliation

    HOOLIGAN SPARROW de Nanfu Wang

    Le film d’une activiste qui avec beaucoup de courage et de conviction suit des protagonistes qui symbolisent la résistance face à l’impunité. Un documentaire engagé et inventif au plus près de Sparrow, une femme admirable qui incarne un des nombreux visages du combat pour les droits humains en Chine.

    PRIX SPECIAL DU JURY (CHF 3’000)

    Offert par la Fondation Barbara Hendricks pour la Paix et la Réconciliation

    A SYRIAN LOVE STORY de Sean McAllister

    La petite histoire dans la grande histoire. Un film de captation qui suit une famille, un couple en exode. En immersion, entre confidence et témoignage, le réalisateur a filmé durant cinq années cette chronique politique et familiale. Une démarche respectueuse de ses protagonistes : un couple qui progressivement se défait à cause de la guerre.

    PRIX DU JURY DES JEUNES (CHF 500)
    Offert par la Fondation Eduki

    HOOLIGAN SPARROW de Nanfu Wang

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    Ce film marie avec justesse fond et forme. Il nous a plongé dans un combat contre l’oppression et l’injustice et il nous accompagnera encore longtemps. Malgré des moyens restreints, ce documentaire présente des qualités cinématographiques rares et amène de la beauté là où il n’y en a pas.
    Jury : Léo Bastianelli, Anjali Bhundia, Charlotte Burnand, Aline Favre, Fabian Menor, Asma Lghazaoui

    SECTION FICTION ET DROITS HUMAINS

    Le Jury International Fiction et droits humains était présidé par Nabil Ayouch, aux côtés de Marcela Zamora Chamorro, Aude Py et Philippe Cottier.

    GRAND PRIX FICTION ET DROITS HUMAINS (CHF 10’000)

    Offert par la Fondation Hélène et Victor Barbour

    ZVIZDAN (Soleil de plomb) de Dalibor Matanic

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    Le jury a été touché par la thématique universelle qu’explore le film. L’auteur a une manière très originale de parler de la haine et des moyens de la dépasser. Le parti pris de faire jouer aux acteurs plusieurs rôles est à la fois intriguant et convaincant, et provoque une mise en abîme très réussie. Le jury a été particulièrement sensible à l’ancrage balkanique de l’histoire. La qualité de la réalisation est indéniable, ainsi que l’interprétation des acteurs, notamment l’actrice qui joue les différents rôles de femmes, Tihana Lazovic.

    Mention spéciale à EXPERIMENTER de Michael Almereyda

    Le jury a éprouvé le besoin de souligner par une mention spéciale l’extrême importance du sujet du film de Michael Almereyda. Ce qu’il révèle, malgré une intrigue située dans les années soixante, est indéniablement contemporain et interroge de manière très subtile les fondements de la nature humaine. Les partis pris esthétiques et l’aspect créatif du film ont enthousiasmé le jury.

    PRIX DU JURY DES JEUNES (CHF 500)

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    Offert par les Peace Brigades International

    3000 NUITS de Mai Masri

    Le jury fiction des jeunes a choisi de récompenser un film empreint de poésie malgré la violence de la situation qu’il dénonce. Le conflit israélo-palestinien y est reflété en microcosme, dans une prison de femmes. Avec une caméra brute et spontanée, la réalisatrice nous expose avec force un problème très actuel et nous encourage à refuser de nous soumettre aux abus d’un système autoritaire et injuste. Face aux violations des droits humains, son message est clair : solidarité, résistance !
    Jury : Victor Delétraz, Ceylin Gercekci, Luana Iarocci, Dylan Kummli, Samantha Morris, Emma Tjepkema


    SECTION OMCT
    Décerné par le Jury de l’OMCT, attribué à un.e cinéaste dont le film témoigne de son engagement en faveur des droits humains, pour soutenir l’écriture de son prochain film.

    GRAND PRIX DE L’ORGANISATION MONDIALE CONTRE LA TORTURE (OMCT) (CHF 5'000)

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    VOYAGE EN BARBARIE de Delphine Deloget et Cécile Allegra

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    Ce film donne la parole pour la première fois aux migrants Erythréens qui ont été près de 50’000 dans le désert du Sinaï à subir des sévices dans un but purement économique – crimes pendant longtemps tolérés par le gouvernement égyptien. Il parle de migration, défi central de cette décennie que beaucoup voient comme une menace sociétale. L’usage de la torture (et d’autres formes de maltraitance et d’esclavage) sur les migrants est généralisé et peu documenté. Il se produit non seulement dans le Sinaï mais aussi en Libye et ailleurs sur les parcours les plus fréquemment empruntés par les migrants. C’est aussi un film plein d’espoir qui montre le courage et la résilience incroyable des survivants ainsi que des personnes oeuvrant à distance pour les aider à fuir, à en finir avec l’impunité et à obtenir réparation.

    PRIX DU JURY DU CENTRE DE DETENTION DE LA CLAIRIERE

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    SPARTIATES de Nicolas Wadimoff
    Un documentaire qui suit la vie d’un éducateur qui se bat sans relâche, avec la volonté d'aider les jeunes, malgré le fait qu'il n'ait aucun moyen. Il aide les hommes et les femmes, les noirs et les blancs, les petits et les grands. Nous avons aussi aimé l’image et les scènes d’actions, quand on entend plus que la respiration du personnage.

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    <Pour voir la suite des photos >

    http://www.photographygeneva.com/gallery/festival-du-film-et-forum-international-sur-les-droit-humains-palmares-et-remise-des-prix/

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  • Femmes au boulot jusqu'au Tombeau!

    A l'occasion de la Journée internationale pour les droits des femmes plus d’une centaine de femmes et d’hommes ont participé à un défilé parti de la Place Bel-Air pour rejoindre la zone piétonne de la rue de Mont-Blanc avec banderoles et pancartes. Certains étaient déguisés pour pourfendre la loi concernant la retraite à 65 ans pour les femmes. "Femmes au boulot jusqu'au Tombeau", c’est bien dit!

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    Discours d’Amanda Gavilanes

    Mesdames,
    Chères membres du collectif « Egalité et travail pour tous »
    Très chères amies,

    Quelle joie et quel plaisir de nous voir toutes ici réunies en cette journée internationale de LA femme. Je vous souhaite à toutes une bonne fête ! Puissent vos maris vous couvrir de fleurs et vos enfants de beaux dessins. La vaisselle attendra demain.

    Le 8 mars est habituellement le haut lieu des féministes en tout genre qui crient leur révolte contre le système patriarcal. Il était temps que nous aussi nous fassions entendre notre voix. Il était temps que nous aussi nous nous réunissions afin de manifester notre attachement à cette valeur essentielle pour notre société qu’est le travail. Car, voyez-vous, travailler, c’est la santé ! Et ne rien faire, c’est être femme au foyer. Et cela nous ne pouvons plus l’accepter. Pendant trop longtemps, les femmes se sont cachées derrières leur soi-disant tâches éducatives et la mauvaise répartition des tâches domestiques pour justifier leur manque de productivité. Pendant trop longtemps, elles se sont plaintes d’être les victimes d’un système qui les opprime et les asservit. Cela est inacceptable. Il faut que cela cesse. Il faut que nous soyons conscientes que nos enfants ne sont pas la cause de notre malheur. C’est notre manque de réalisme qui l’est.

    A partir de maintenant, ne nous plaignons plus d’être payées moins que les hommes. Quoique nous fassions, nous devons reconnaître que nous nous investissons moins dans nos activités professionnelles car nous sommes toutes des mères avant tout. Il est donc normal que nos maris continuent à ramener le pain quotidien. Cette fameuse double journée dont parlent les féministes, n’existe pas. Une fois rentrée dans nos foyers respectifs, réjouissons-nous d’y trouver nos merveilleuses têtes blondes et de pouvoir avec bonheur et délectation leur préparer leur repas, les aider à faire leurs devoirs et faire la lessive. C’est un privilège que les hommes ne nous voleront pas !

    Il en va de même avec l’âge de la retraite. Que celles qui veulent encore longtemps porter le stigmate d’une retraite prématurée, lèvent la main ! Il est de notre devoir en tant que femmes de soutenir l’effort de notre pays en période de crise. Nous nous sommes battues pour avoir le droit de travailler. On ne nous volera plus une année de dur labeur! On ne nous forcera plus à vivre dans l’oisiveté, mère de tous les vices. Je tiens ici, a remercié tout particulièrement, M. le conseiller fédéral Berset. Lui qui dans son infinie sagesse a finalement accepté d’entendre les appels désespérés des milieux patronaux et économiques, eux qui souhaitaient tant donner aux femmes la place qui leur revient de droit.

    Soyons fières de pouvoir contribuer au redressement et à la pérennisation de notre système de retraite. Ce n’est que dans l’acceptation de nos rôles respectifs dans la société et en embrassant la complémentarité des hommes et des femmes que nous créerons un système plus juste pour tous.

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