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Manifestation - Page 2

  • Swissport va passer un hiver Chaud

    Environ 400 employés-es de la succursale genevoise de Swissport International ont participé à la manifestation de ce jour qui s’est tenue devant les locaux d’aéroport de Genève.


    À l’unanimité, les manifestants-es ont adopté les points suivants :


    1. Halte à la sous-enchère salariale à Swissport et partout ailleurs !
    2. Nous refusons la baisse de nos salaires et toute autre péjoration de nos conditions de travail !
    3. Nous voulons la suppression de tous les statuts précaires et sous-payés !
    4. Nous nous battrons contre les licenciements !
    5. Nous refusons la disparition de notre convention collective de travail !
    6. Nous défendrons nos délégués-es syndicaux-les contre toute pression et menace !
    7. Nous exigeons le respect des droits fondamentaux chez Swissport : le droit d’expression, de manifestation, de grève et de se syndiquer.
    8. Nous faisons appel à nos collègues de Dnata pour construire une solidarité forte et durable pour l’assistance au sol à l’aéroport de Genève.
    9. Notre lutte ne fait que commencer. On ira jusqu’au bout ! 

     

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  • La fonction publique défend un service de qualité

    Les fonctionnaires protestent de nouveau et descendent à la rue
    Fin d’année prolifique en grèves et mouvements sociales. Hier, devant l’Hôtel de Ville environ un millier de fonctionnaires ont dénoncé les coupes budgétaires prévues en 2015 et qui peuvent engendrer des licenciements, dégraderont les conditions de travail et les prestations publiques. En cette période où les députés se penchent sur les budgets de 2015 ce mouvement de revendication reprendra le 16 décembre au même endroit. Les députés du Grand Conseil qui siégeaient à l'Hôtel-de-Ville ont essuyé sifflets et huées de la part des fonctionnaires et syndicalistes. Le rendez-vous est déjà pris pour le 16 décembre pour une autre action de revendication.

     

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    Réuni en assemblée générale à 3h15 jeudi, le personnel des TPG a accepté de suspendre la grève qu’il avait annoncée pour le 4 décembre. "Sans la mobilisation du 19 novembre, cet accord n'aurait pas été possible", a insisté Vincent Leggiero, président de la section SEV-TPG.


    De son côté, le président du SEV Giorgio Tuti a rappelé que cette mobilisation était exemplaire: "Un exemple pour toute la Suisse".

    L’accord prévoit l’absence de licenciement pour la période 2015-2018, le maintien des mécanismes salariaux statutaires, le maintien des effectifs pour 2015 sur la base de l’effectif en vigueur au 31 décembre 2014. Pour les autres années du contrat de prestations, l’évolution des effectifs sera discutée chaque année. L’entreprise et les syndicats s’engagent à analyser l’offre, les temps de parcours et les horaires de conduite avec pour objectif une adaptation dès avril 2015.

    L’entreprise s’engage aussi à intervenir auprès de la caisse de pension pour que les retraités bénéficient pour les deux prochaines années de 700 fr. en guise de remerciement pour les services accomplis. Pour 2017, l’entreprise s’engage à mettre en place un fonds de solidarité.

    De leur côté, les syndicats s’engagent à négocier un service minimum dès janvier 2015.

     

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    Jeudi après midi devant l’Hôtel de la Ville environs 1000 fonctionnaires et syndicalistes ont manifeste pour défendre le service public.

     

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    Pour voir suite des photos visité mon site ->

    http://www.photographygeneva.com/gallery/tpg-une-belle-victoire-pour-geneve/

     

    http://www.photographygeneva.com/gallery/manifestation-pour-defendre-le-service-public/

  • Manifestation contre le contrat de prestation des TPG

    Près de 400 personnes manifestent contre le contrat de prestation des TPG   

    A l’appel du Syndicat du personnel des transports (SEV), d’ASIP et transfair, 400 personnes ont manifesté jeudi à Genève. Ils demandent le retrait du contrat de prestations 2015-2018 des TPG qui prévoit 131 suppressions de postes, dont 63 licenciements. Après la grève du 19 novembre, le personnel montre une nouvelle fois sa détermination et sa capacité à se mobiliser. Le ministre des Transports Luc Barthassat a été copieusement sifflé.

    Le cortège est parti de la Jonction en direction de l’Hôtel-de-Ville où Luc Barthassat a été copieusement sifflé. Les manifestants ont scandé «Barthassat t'es foutu, les TPG sont dans la rue». Ils ont exigé le retrait du contrat de prestation 2015-2018 qui prévoit la suppression de 131 postes, dont 63 licenciements, ainsi que le gel des mécanismes salariaux et la disparition des acquis des retraités.
    Les employés des TPG, appuyés par d’autres syndicats, dont ceux de la fonction publique ont dénoncé le «le démantèlement du service public».
    Vendredi, les syndicats des TPG rencontrent Luc Barthassat. La suite de la mobilisation dépend de la teneur de cet entrevue.
     
    Communiqué de presse du jeudi 27 novembre 2014
    SEV
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    NON aux coupes dans les prestations
    NON aux licenciements et à la dégradation des conditions de travail
      
     C’est seulement grâce à des conditions de travail décentes et des effectifs suffisants que le personnel TPG peut assurer des prestations correctes à la population. Une semaine après la grève, les usagers·ères et le personnel restent unis et mobilisés contre les coupes prévues. Le Conseil d’Etat veut appliquer de manière punitive et revancharde la baisse des tarifs en coupant dans le budget TPG. Or, la population n’a pas voté pour une baisse de prestations, ni pour des licenciements ! Voici ce que prévoit le projet inacceptable des autorités :
     
    Diminuer les prestations TPG ?
    Pour les usagers, cela signifie :

    • moins de bus et trolleybus dès 19h
    • moins de trams le dimanche et pendant la journée la semaine
    • moins de bus sur les lignes de campagne
    • amputer certaines lignes de bus
    • renoncer à des améliorations sur le réseau

    La fréquentation augmente et le réseau est appelé à se développer (CEVA, etc.). Cette baisse de prestations va à contresens de la politique de ces 15 dernières années et met en danger l’avenir des TPG !

     Supprimer 131 emplois dont 63 licenciements secs ?
    Pour le personnel, cela signifie :

    • étendre encore leurs horaires
    • augmenter la pression sur les employé·e·s
    • mettre en péril la sécurité sur le réseau
    • créer du chômage et de la précarité

    Aujourd’hui déjà, le personnel est en sous-effectif et sous forte pression. Les temps de terminus sont si courts que les conducteurs n’ont souvent même pas le temps d’aller aux WC. La longueur des tranches de conduite est telle que la fatigue s’accumule. Des dizaines d’employé·e·s sont rappelés chaque jour sur leurs congés pour venir travailler ! Au service technique, le manque de personnel ne permet plus de réaliser les entretiens nécessaires. C’est la sécurité des usagers·ères et la santé des employé·e·s qui est en jeu !

    En effet, au lieu d’augmenter les ressources allouées aux TPG, le gouvernement prévoit des coupes importantes dans ce service public pourtant indispensable. Cette mise en oeuvre revancharde et punitive de la baisse des tarifs est inacceptable, c’est pourquoi nous appelons au retrait du contrat de prestation 2015—2018.

     1. Ce contrat de prestation va réduire les prestations à la population
    L’ensemble des usagers·ères va en souffrir et cela va péjorer gravement la mobilité pour la population. Nous voulons, au contraire, continuer d’augmenter l’offre et d’améliorer les prestations des TPG. Cela passe notamment par une refonte globale du réseau et de ses articulations avec le réseau routier en donnant la priorité aux transports publics, mais aussi par le développement de nouvelles lignes utiles à la population.
     
     2. Ce contrat de prestation prévoit 131 pertes d’emploi, dont 63 licenciements
    Le personnel TPG est déjà en sous-effectif depuis des années et travaille sous forte pression. Le développement du réseau s’est jusqu’ici essentiellement fait sur le dos des employé·e·s, dont les horaires ont été sans cesse étendus. Résultat : le personnel est épuisé et le taux d’absentéisme est élevé (7.3 %). C’est révélateur d’un problème grave : la santé des travailleurs·euses est affectée, la sécurité des voyageurs peut l’être également.
     
     3. Ce contrat de prestation prépare une accentuation du chaos
    Dans les faits, l’arrivée du CEVA en 2019, obligera à poursuivre le développement du réseau TPG. Ceci implique nécessairement une augmentation du personnel et de l’enveloppe budgétaire. Ce contrat de prestation va à l’encontre de toute logique et de la volonté populaire maintes fois exprimée.
     
     4. Ces coupes ouvrent la porte à une privatisation des TPG
    Affaiblir les TPG aujourd’hui permettra de justifier une privatisation rampante de ce service public demain. En témoigne un projet de loi du PLR qui vise à doubler la sous-traitance au sein des TPG : c’est-à-dire confier toujours davantage à des entreprises privées la conduite et la maintenance des véhicules. L’expérience, notamment en Angleterre, démontre clairement l’échec total de la privatisation des réseaux de transports publics. La sécurité, les prestations à la population, et les conditions de travail s’en retrouveraient péjorées. C’est inacceptable.
     
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     SEV, SIT, CGAS, UNIA, SSP, Syndicom, Cartel Intersyndical, ATE, actif-trafiC, AVIVO, Association des Jeunes engagés, Assoc. habitant·e·s de la Jonction, Assoc. habitants Pâquis, Parti Socialiste, Les Verts, Ensemble à Gauche  (solidaritéS, DAL, Parti Communiste...), solidaritéS-Groupe Jeunes, Jeunesses Socialistes...

     

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