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Demir SÖNMEZ - Page 330

  • Les jeunes débarquent devant l'Hôtel de Ville!

    Mobilisation pour défendre le planning familial : le premier grain de sable dans le plan de mesures d’économie aux HUG

    Intégrée dans le Plan de mesures d’économies des HUG, les syndicats SSP et SIT ont alerté l’opinion sur le démantèlement programmé du planning familial. Les réseaux de femmes, de jeunes filles ont pris le relai et une motion a été déposée au Grand Conseil, alliant la gauche et la droite. Une centaine de personnes, des femmes, jeunes filles, futures mamans, principalement se sont rassemblées devant le Grand Conseil. Cette mission d’intérêt public, une parmi d’autre, que l’hôpital souhaiterait sortir de son budget, car en monnaie sonnante et trébuchante, ça ne vaut rien ma p’tite dame ! Cette mission en fait est très importante, elle permet de traiter l’urgence psychosociale, avant qu’elle ne devienne un problème médical ou social important et coûteux, mon p’tit monsieur. Ca c’est le meilleur calcul, celui de prévenir plutôt que de guérir, mission première de l’hôpital non ? Cette mobilisation initie le début de toutes les mobilisations à venir dans les HUG contre le plan Performance, soit 75 millions d’économie sur 3 ans, et contre l’attaque de la droite  pour diminuer les prestations du service public en général.

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    Le planning familial menacé !
     Dans le cadre des restrictions budgétaires prévues à l’hôpital cantonal (HUG), les experts mandatés par le gouvernement prévoient de supprimer 2/3 des postes de conseillères au Planning familial. Quand on sait que le planning fait 4000 entretiens par an, sans compter les téléphones et les informations brèves au secrétariat, plus des centaines d’interventions à l’extérieur, cela signifie pratiquement la mort du service.

    Alors que le remboursement de l’avortement est menacé par une initiative fédérale dont le vote aura lieu probablement en 2013, s’attaquer à l’accès à la contraception et aux conseils dont les femmes peuvent avoir besoin serait une décision misogyne et grave de conséquence.

    Comme l’OMS le conseille dans le monde entier, l’information et le conseil sur la contraception, la sexualité et l’accès aux soins ont permis de diminuer le taux d’avortement en Suisse au niveau le plus bas au monde. Cela permet de ne plus avoir de décès liés aux interruptions volontaires de grossesse (IVG) et de préserver au mieux la santé des femmes (mortalité et morbidité). Revenir en arrière là-dessus et retirer aux femmes les plus défavorisées l’accès à l’IVG et l’accès à la contraception, c’est insensé et irresponsable en matière de politique de santé publique.

    Rappelons que dans ce contexte, il n’y a pas de privatisation possible. Les gynécologues sont débordés et ont déjà de la peine à placer leurs urgences, ils ne seront pas en mesure de reprendre le travail des conseillères en planning.

    Veut-on faire en sorte que les femmes jeunes, les femmes disposant de peu ou pas de ressources ne puissent plus contrôler leur fertilité ? Veut-on augmenter les drames en compliquant l’accès aux soins (IVG clandestines, IVG tardives, troubles parents-enfants liés à une parentalité imposée, dons en adoption ?) Faudra-t-il augmenter les foyers d’accueil pour les adolescentes mères ? Voilà de bien piètres économies qui coûteront beaucoup plus cher ailleurs, dans le budget social, tout en détruisant sur le passage la vie de nombreuses femmes et hommes.

    Genève était pionnière dans le domaine en créant en 1965 le premier centre de planning familial. Il y a eu par la suite, en 1981, une loi au niveau fédéral pour l’ouverture de centres similaires dans tous les cantons. Pour faire des économies, faut-il revenir au niveau et à la façon de faire d’il y a 50ans ?

    NON aux restrictions de postes au planning familial !

    NON à l’initiative contre le remboursement de l’IVG !

    Soutien aux travailleuses et aux travailleurs des HUG pour sauver leurs postes de travail et la sécurité des usagères et usagers des services de santé !

    Rassemblement de protestation jeudi 15 novembre dès 18 h 30 devant les canons (rue de l’Hôtel-de-Ville)

    Comité pour l’avortement libre et gratuit

    www.comite-alg.org

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    Communiqué conjoint de la Soupô et de la CUAE : menaces sur le planning familial

    Menaces sur le planning familial

    La CUAE (Conférence Universitaire des Associations d’EtudiantEs) et la Soupô (Association faitière des étudiantes et étudiants des écoles genevoises du postobligatoire) s’inquiètent des coupes budgétaires envisagées par la direction des HUG visant notamment le planning familial. Ce service offre principalement des consultations gratuites et confidentielles en matière de santé sexuelle et de santé reproductive. Créé dans les années soixante, sa naissance s’inscrit dans une période de luttes féministes pour l’autonomie et le libre choix en matière de sexualité. À cet égard, nous réaffirmons que l’accès gratuit à l’information, à la contraception et à l’avortement sont nécessaires pour que les femmes puissent contrôler le plus librement possible leur corps et leurs sexualités.

    Les coupes, imaginées par un cabinet de conseil, traduisent l’emprise grandissante du new public management sur la gestion des services publics. Cette préoccupation constante de rentabilité affecte en premier lieu les personnes les plus précaires et ne peut que renforcer les inégalités dans l’accès aux soins. Cette attaque de la direction des HUG contre les planning familial touchera les femmes, d’autant plus si elles sont jeunes, pauvres ou migrantes. Les étudiantes, et plus largement les personnes en formation, seront donc largement prétéritées.
    Soulignons que l’autonomie des femmes en matière de santé sexuelle et de santé reproductive subit déjà une offensive de la part des milieux conservateurs, telle que l’initiative contre le remboursement de l’avortement. La remise en question des acquis obtenus par les générations précédentes entérine une politique patriarcale et rétrograde.

    La CUAE et la Soupô s’opposent vivement à toute diminution des prestations du planning familial et entendent utiliser tous les moyens nécessaires pour contrer cette mesure.

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    Maison Populaire de Genève

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  • Genève solidaire des grévistes européens !


    Ce matin, répondant à l’appel de la Confédération européenne des syndicats (CES) les syndicats genevois (CGAS) se sont mobilisés pour exprimer la solidarité des travailleurs/-euses suisses avec leurs collègues européens en lutte contre les politiques d’austérité et d’attaques contre les droits des salariés menées sur tout le continent européen pour faire payer « la crise » au travailleurs/-euses.

    Une centaine de personnes se sont d’abord rassemblées dans le quartier des banques avant d’organiser des piquets de Solidarité avec les grévistes européens dans les consulats grecs, portugais, espagnols et italiens.

    La CGAS se réjouit d’avoir contribuée au succès de cette journée historique qui a vu pour la première fois une grève générale des travailleurs/-euses organisée de manière coordonnée au niveau européen.

    La lutte continue ! Venceremos !

     

    14 novembre : Journée européenne d’action et de solidarité - Large mobilisation syndicale pour l’emploi, la solidarité et contre l’austérité

     

    À l’appel de la Confédération européenne des syndicats (CES), une large mobilisation aura lieu dans toute l’Europe le 14 novembre prochain. Cette journée européenne d’action et de solidarité a pour objectif de demander aux dirigeants de montrer leur volonté de s’atteler véritablement à la détérioration de l’emploi et de répondre à l’angoisse sociale grandissante des citoyens européens. L’austérité est une impasse totale qui doit être abandonnée. La protection sociale et les salaires ne peuvent plus être sacrifiés. Il y a urgence sociale, il est temps d’écouter ce qu’ont à dire les citoyens et les travailleurs et de changer de cap.

     

    La journée d’action du 14 novembre prendra différentes formes : des grèves en Espagne, au Portugal, en Grèce et en Italie. Pour la première fois de son histoire, une journée d’action de la CES connaîtra des grèves simultanément dans quatre pays.

    La grève n’est pas le seul moyen d’action de cette journée. Des manifestations auront lieu en France et dans certains pays de l’Est (Pologne, Tchéquie, Slovénie, Roumanie).

    La journée du 14 novembre est également une journée de la solidarité. De nombreux pays mèneront des actions afin de montrer leur solidarité à l’égard des pays qui sont confrontés à la brutalité des mesures d’austérité et à leurs conséquences (Allemagne, Autriche, Luxembourg, Suisse, pays scandinaves, Pays-Bas etc.).

    D’autres actions de sensibilisation, d’information sont prévues. Étant donné la gravité du chômage des jeunes dans certains pays d’Europe, le Comité jeunes de la CES a également rédigé une déclaration :http://www.etuc.org/IMG/pdf/0911201... .

    Une action spécifique aura lieu à Bruxelles : http://www.etuc.org/a/10504

    Une quarantaine d’organisations syndicales issues de 23 pays sont impliqués dans cette journée européenne d’action et de solidarité.

    « À semer l’austérité, on récolte la récession, l’augmentation de la pauvreté et l’angoisse sociale » a déclaré Bernadette Ségol, secrétaire générale de la CES. « Dans certains pays, l’exaspération atteint son comble. Des solutions urgentes doivent être prises pour relancer l’économie et non l’asphyxier par l’austérité. Les dirigeants européens ont tort de ne pas écouter la colère de ceux qui défilent dans la rue. La Troïka ne peut plus se comporter de façon aussi arrogante et brutale avec les pays en difficulté. L’urgence, c’est l’emploi, la justice sociale et fiscale et ne plus s’attaquer aux salaires, à la protection sociale et aux services publics. La CES demande un contrat social pour l’Europe avec un vrai dialogue social, une politique économique favorisant des emplois de qualité, une solidarité économique entre les pays européens. Il faut changer de cap sans attendre  ».

    http://www.etuc.org/a/10547

     

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    Maison Populaire de Genève

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  • Rassemblement contre “sommet des spéculateurs”

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    Entre cinquante et septante personnes ont répondu à l'appel du "collectif contre le trading sur les matières premières agricoles" à participer à une action symbolique au cœur du quartier des banques de Genève. Entre le 13 et le 15 novembre, une réunion internationale "global grain geneva" se tient à l intercontinental à Genève; son objectif, trouver des produits les plus intéressants pour spéculer sur le dos des paysans
     
    Vue à 360° depuis le Pont de l'Ile: Leumi Private Bank, Safra, BNP-Paribas (principal sponsor de la rencontre internationale "Global grain geneva"), Crédit Agricole, UBS, Crédit Suisse, Lloyds TSB, Banque cantonale, ...

    Plusieurs prises de parole: Uniterre, jeunesse socialiste suisse, groupe écosocialiste de solidaritéS, plateforme pour une agriculture socialement durable. Tour à tour ils ont dénoncé la privatisation du secteur agricole et alimentaire, la confiscation des biens de première nécessité par des spéculateurs n'ayant jamais eu en main le moindre grain de riz ou de blé. "98% des transactions sont purement spéculatives" a-t-on entendu. 30% des transactions sur ces produits passent par Genève alors que plus de 900'000 personnes souffrent de la faim à travers le monde. "C'est de l'argent sale avec lequel ces spéculateurs et la Suisse font leur beurre. Il se fait au détriment des paysans du sud, des populations rurales de ces régions mais aussi de la paysannerie d'ici qui se trouve de plus en plus otage de l'agroindustrie. Il est urgent de se réapproprier notre agriculture et notre alimentation. Il faut s'engager pour la souveraineté alimentaire et une action concrète et de signer l'initiative populaire contre la spéculation sur les denrées alimentaires" a plaidé Uniterre.

    "La spéculation sur les denrées alimentaires pousse les populations à l'exode. D'abord vers les villes des pays du sud, puis vers nos contrées où ces migrant-e-s se retrouvent souvent travailleurs sans droit de l'agriculture industrielle européenne. A part les spécultateurs qui font, pour les plus "malins", des bénéfices scandaleux", personne ne bénéficie de ces pratiques".

    http://www.uniterre.ch/index.php/fr/dossiers/souverainete-alimentaire/452-action-contre-les-traders-geneve

     

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    Discours  de François Clément  au nom Jeuneuse Socialiste Suisse


    "Aujourd’hui, au 21eme siècle, prés d’un milliard de personnes ne mangent pas à leurs faims. Cela représente environs une personne sur sept. Mais, cette situation n’est pas une fatalité. Ce n’est pas un malheur qui doit éternellement accabler l’homme et contre le quel on ne peut rien faire. Car ce fléau est fait de mains d’hommes. Il est construit par nous. Et les pénuries sont artificielles. Car, l’humanité produit suffisamment d’aliment pour nourrir toute sa population.

    Ce sont nos banques, nos caisses de pensions, nos hedgfund qui spéculent sur ces matières et crées ces pénuries. LA banque mondial l’a reconnu : la crise alimentaire de 2007/2008 c’est la spéculation. La CNUCED l’a aussi dit : la crise alimentaire, c’est la spéculation.

    Sachant que nous détenons 30% de ce marché. Que nous sommes les leaders mondiaux dans le domaine. Il est temps d’y mettre fin, chez nous.
    Car cette spéculation affame les plus pauvre, les plus faibles. Les pays du tiers monde qui ne disposent pas de nos réserves alimentaires. Les gens qui ne bénéficient pas de notre sécurité. Des petits paysans qui ne peuvent pas se protéger.

    La jeunesse socialiste, vous le savez peut-être, a lancé une nouvelle initiative. Elle s’intitule, stop à la spéculation sur les biens alimentaires » et vise à stopper ce commerce de la mort. Car il vas à l’encontre de nos valeurs, des valeurs suisse de respect de la vie, de respecte du travail utile et bénéfique à tous.

    Et nous vous invitons à faire signer cette initiative, à en parler autour de vous et à agir contre ce marché immoral." François Clément, 13.10.12, Genève

    Pour signez  “L'initiative stop à la spéculation”
     http://www.juso.ch/fr/stop-speculation

    Clément François
    Campa Team JSS/JUSO

     

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    Maison Populaire de Genève

    www.assmp.org