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Demir SÖNMEZ - Page 310

  • Où est la justice pour le Tibet?

    Lundi après midi sur la place des nations, une vingtaine de tibétains se sont manifesté pour l’ignorance de l’ONU envers les morts brutale et auto-immolations dans leur pays

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    Communiqué de presse 11.02.13

     

     

    99 cas d'auto-immolations au Tibet. Où est la justice pour le Tibet? ONU doit agir maintenant! 

     

    Depuis l’invasion du Tibet en 1950, près de 1'200'000 Tibétains sont décédés de morts violentes. La mise en œuvre de manière oppressante de la politique coloniale de la Chine a conduit à une invasion du Tibet par l’ethnie Han ainsi qu’à des restrictions sur la langue Tibétaine, la religion, la culture, le territoire et les droits à la propriété. Des restrictions sont également appliquées sur la façon d’être des Tibétains. L’existence inhumaine des Tibétains devenant insupportable, des manifestations pacifiques de masse se sont déroulées à Lhasa en 1987 et ont perdurées jusqu’en 2008, année de la souris de Terre, ou elles ont atteint leur 

    paroxysme en touchant les trois régions historiques du Tibet.

     

    A cause de la politique négative de la Chine, consistant à creuser de manière effrénée des mines qui causent des dommages irréversibles à l’écosystème fragile du Tibet, les populations comme les terres sont destinées à être annihilées. Ainsi, en février 2009, le moine Taphe de Ngaba Kirti s’est immolé pour l’amour de son pays et de son peuple, cet acte représentant l’ultime manifestation d’un activisme individuel. Depuis, 99 courageux Tibétains, femmes comme hommes, l’un après l’autre, se sont immolés dans un acte de complet désespoir. Même hors du Tibet, 5 Tibétains, à commencer par Pawo Thubten Ngodup, se sont immolés, exprimant ainsi leur totale solidarité avec leur semblables au Tibet.

     

    Par respect des aspirations profondément ancrées au cœur de ceux qui se sont immolés, ainsi de celles des 1'200'000 Tibétains qui ont péri sous la domination Chinoise, et particulièrement après avoir constaté le manque de liberté et de justice pour les Tibétains au Tibet, nous qui vivons en liberté en exil allons commencer une campagne d’une année devant le Bureau des Nations Unies à Genève dès le 10 décembre 2012, journée des Droits Humains. Au travers de cette campagne qui se tiendra les premier et troisième mercredi de chaque mois, nous allons exprimer les doléances et aspirations des martyrs Tibétains devant les Nations Unies et les gouvernements du monde entier.

     

    Le 11 février 2013 dans le monde entier tous les Tibétains célèbrent le 1er jour de l’ Année 2140 du serpent d’eau. Il s'agit d'un événement très important accompagné de cérémonies et de réjouissances. Toutefois, en raison de la situation tragique au Tibet et en solidarité avec nos compatriotes, l'Administration Centrale Tibétaine ainsi que les Tibétains en Suisse vont simplement observer le cérémonial et non la partie réjouissances de la fête du nouvel an.

     

    En gardant à l’esprit que notre terre natale le Tibet fait également partie du Monde, que nous Tibétains faisons également partie des êtres humains de cette Terre, nous, avec toutes les personnes qui croient en la vérité et en la justice, allons interpeller les Nations Unies ainsi que les gouvernements du monde entier afin qu’ils interviennent pour libérer le Tibet et le peuple Tibétain de la tyrannie et de l’oppression du gouvernement Chinois et ceci depuis plus de soixante ans.

     

    Nous appelons les Nations Unies à immédiatement : 

     

    • examiner et appliquer les résolutions de l’ONU décidées en 1951, 1961 et 1965. 
    • Restaurer la liberté et la paix au Tibet.
    • Faciliter le retour du Dalaï Lama au Tibet, ce qui n’est pas seulement le désir des 1’2000'000 Tibétains qui ont péri au Tibet sous la domination Chinoise au Tibet mais aussi celui demandé ardemment par les immolés et par le peuple Tibétain en général.
    • Exiger la libération de tous les prisonniers politiques Tibétains, surtout celle du 11ème Panchen Lama, Gedun Choekyi Nyima et de Tulku Tenzin Delek, un très respecté maitre Bouddhiste condamné à la prison à vie suite à de fausses allégations.
    • Envoyer d’urgence une mission des Nations Unies indépendante pour visiter et enquêter sur la récente série d’immolations.
    • Pousser la Chine à résoudre la question Tibétaine en engageant des négociations sincères avec les représentants de l’Administration Centrale Tibétaine.

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    Photos: Demir SÖNMEZ


  • Genève s'est réveillé sous la neige!

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  • NON à la mercantilisation des services de santé publique !

    Ce matin à 11h00 devant le centre médico-chirurgical des Eaux-Vives 35 syndicalistes se sont rassemblées par la solidarité avec les grévistes licenciés par Providence à Neuchâtel.

    Les manifestants demandent :

    • l’annulation immédiate des licenciements illégaux
    • le maintien de tous les emplois dans le secteur de la santé du canton de Neuchâtel 
    • le respect de la CCT21 dans tous les établissements hospitaliers qui touchent des subventions cantonales 
    • que le Conseil d’Etat de ce canton joue enfin son rôle pour solutionner le conflit

     

    Solidarité avec les grévistes licenciés !
    Toutes et tous ensemble à la manifestation du
    16 février 2013
    10h30 rassemblement à place de la à Neuchâtel !

     

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    En 2012, le groupe de cliniques privées GSMN SA (Genolier) a annoncé son intention de racheter l’exploitation d’un hôpital à Neuchâtel, l’Hôpital de la Providence. En même temps, GSMN SA a exigé que l’Hôpital de la Providence dénonce la Convention collective de travail (CCT 21). Dans le canton de Neuchâtel, c’est cette convention qui règle les conditions de travail de toutes et tous les salarié-e-s du secteur de la santé subventionné parl’Etat.
     
    Ce rachat s’inscrit dans une politique de rentabilité: en effet, le groupe GSMN cherche à s’approprier les prestations hospitalières les plusrentab les (orthopédie, ophtalmologie, dialyse) dans toute la Suisse, laissant au secteur public les prestations les moins rentables.
     
    En même temps, à Neuchâtel, GSMN exige que l’Etat continue de subventionner l’hôpital de la Providence. L’argent public – les impôts –devrait donc servir à enrichir des actionnaires ?

    Une grève légitime
     
    Le personnel de la Providence s’est opposé à ce démantèlement de leurs conditions de travail, il a demandé le respect de leur CCT 21, le maintien des postes de travail et la non-externalisation d’une partie des services (nettoyage, lingerie, restauration).
     
    Afin de faire valoir leurs droits, une trentaine de salarié-e-s se sont mis-e-s en grève depuis le 26 novembre 2012 soutenu-e-s par les syndicats  SSP et SYNA. Malgré les pressions, les menaces
     
    le séquestre de leur tente le 26 décembre, les grévistes n’ont cessé de réclamer une application juste et légitime des droits syndicaux, le maintien de la CCT 21, des postes de travail, la non externalisation de services et le respect de
    l’arrêté cantonal de novembre 2011.

    22 grévistes licencié-e-s
     
    Après une pétition munie de plus 1100 signatures,une multitude d’interventions au Grand conseil, plusieurs manifestations de rue, dont une qui a réuni plus de 1000 personnes le samedi 26 janvier à Neuchâtel, le 31 janvier 2013, l’Hôpital de la Providence a convoqué les grévistes les uns après les autres pour les contraindre à reprendre leur travail, à défaut de quoi ils et elles seraient licencié-e-s. 22 grévistes ont refusé, 22 grévistes ont été licencié-e-s avec
    effet immédiat lundi 4 février 2013.

    Un management peu respectueux des droits des salariés, aussi à Genève !

    Si à Neuchâtel 22 grévistes ont été licenciés, à Genève, le personnel est lui aussi mis sous pression.
     
    Au début de l’année, sans aucune consultation et avec un délai de moins d’une semaine, le personnel a été prié de signer de nouvelles conditions de travail. Genolier a en effet imposé l’introduction d’un treizième salaire… mais en diminuant d’autant les salaires mensuels !
     
    Pour un salaire mensuel de 4'000 francs, c’est ainsi près de 300 francs qu’il manque chaque mois pour payer les factures.

    http://www.cgas.ch/SPIP/spip.php?article2366