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Demir SÖNMEZ - Page 31

  • Des milliers de militants de l'Etat islamique seront jugés par un tribunal international

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    "Tout comme nous nous sommes acquittés de notre responsabilité à l’égard de l’humanité, le monde doit aussi s’acquitter de sa responsabilité. Notre lutte continuera jusqu'à ce que les droits des Kurdes et des autres sociétés soient acceptés". Nûri Mehmûd  

    Je me suis rendu à Rojava (Kurdistan du Sud) et entretenu avec M. Nûri Mehmûd, porte-parole du YPG (Yekîneyên Parastina Gel – Brigades de Protection du Peuple) à propos de l'avenir des prisonniers de guerre d'origines suisses et européennes qui ont combattu dans les rangs de djihadistes. Lors de mon entretien, je lui ai demandé comment il voyait le jugement de ces prisonniers détenus par le YPG : « selon vous, où, comment, par qui, avec quelles lois et par quel tribunal ces prisonniers de guerre pourraient être jugés équitablement ? » 

    J'ai eu un entretien de 35 minutes avec M. Nûri Mehmûd du 17 mars 2019 à Qamichli  au Rojawa (Syrie). Enregistrement vidéo disponible. Si cela vous intéresse, j'attends vos suggestions. 

    Nûri Mehmûd a répondu aux questions suivante :

    Combien de prisonniers de guerre et combien de leurs familles sont détenus dans des camps ? Ensemble, ces derniers représentent combien de nationalités 

    Les États d'origines de ces prisonniers de guerre ont-ils fait des démarches auprès de vous ? Si oui, lesquelles ?

    Combien d'États sont intervenus jusqu'ici pour récupérer leurs ressortissants ?

    Comme vous le savez, plusieurs États ne souhaitent pas récupérer leurs ressortissants détenus ici. Cela est devenu une crise internationale. C'est très grave. Ainsi, certains États ont totalement abandonné leurs ressortissants. Comment analysez-vous cette situation ? Avez vous des projets pour surmonter cette crise ?

    Il y a des allégations sérieuses sur la commission des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité à l'égard des prisonniers de guerre que vous détenez. À votre avis, où, comment, par qui, avec quelles lois et par quel tribunal ces prisonniers de guerre pourraient être jugés équitablement ? Pourriez-vous partager avec nous votre analyse et propositions sur ce sujet ?

    Vous détenez des prisonniers de guerre. De ce fait, ces derniers ont des droits, conformément au droit international humanitaire. Pour le moment, c'est vous qui assurez leurs besoins essentiels (logement, alimentation, soin de santé, communication, etc.). Cela représente des dépenses importantes. Comment faites-vous pour couvrir ces dépenses ? À ce propos, recevez-vous des soutiens financiers des institutions internationales ? Ou, avez-vous solliciter le soutien de la Croix-Rouge ou le Croissant-Rouge ? 

    Parmi les prisonniers de guerre que vous détenez figurent des citoyens suisses. Il y a d'intenses débats dans les médias suisses sur le sort de ces derniers. L'opinion publique suisse semble être plutôt contre la venue de ces personnes en Suisse. Est-ce que les autorités suisses, de  manière directe ou indirecte, sont intervenues auprès de vous concernant ces prisonniers de guerre ? Ou bien, vous-même, êtes-vous intervenu auprès du gouvernement suisse ? Quel est votre avis et quelles sont vos propositions concernant le sort des ressortissants suisses détenus ici ?

    Une dernière question. La Suisse est un État neutre et le Canton de Genève abrite non seulement le siège européen de l'ONU mais aussi le siège de la Croix-Rouge internationale et plus de 500 ONG. Tenant compte de ces éléments, selon vous, quel rôle pourrait jouer la Suisse et le Canton de Genève en particulier sur le sort des prisonniers de guerre qui concernent plusieurs États.

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    Photos:Ersin Çaksu

     

  • Silence absolu de la Genève internationale au sujet du 38 jours de la grève de la faim

    Depuis le 20 janvier 2019 Mr. M. Ali Koçak d’origine kurde a entamé une grève de la faim à Genève, respectivement sur la Place des Nations et à la maison des associations.

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    Le but principal de cette grève est de soutenir la députée du HDP, Madame Leyla Guven qui a entamé une grève de la faim afin que cesse l’isolement imposé à Monsieur Abdullah Öcalan qui est détenu sur l’Ile Prison d’Imrali depuis 1999. Cela fait déjà 142 jours que cette grève a débuté.

    Ce mouvement de la grève de lafaim s’est élargi sur l’ensemble de la Turquie et en Europe.

    Ainsi, 7000 détenues politique dans les prisons turques ont eux aussi décidé de soutenir Leyla Guven dans ses réclamations en vue de la résolution par les voies démocratiques de la question kurde.

    Interrogé sur les motivations de sa participation à cette grève de la faim, Mr. M. Ali Koçak répond : «  Leyla Guven a clairement formulé que  nous voulons la fin de l’isolement d’Abdullah Öclan et la reprise du processus du dialogue afin que la paix sociale entre les minorités ethniques et religieuses soit possible en Turquie. Il atiré l’intention sur le fait que l’arrestation d’une dizaine de député du HDP dont les co-présidents Monsieur Selhattin Demirtas et Madame Figen Yüksekdag. Il persiste sur le fait que plus d’une dizaine de villes kurdes ont était détruites avec un armement lourds par les forces militaires turques.

    Ainsi il note que tous les co-maires et maires élus dans 101 municipalités kurdes ont été délogés et des personnes non élues démocratiquement ont été nommées d’office à leur place par le gouvernement antidémocratique d’Erdogan. Il insiste sur le fait que cette politique fasciste et totalitaire a été mise en place juste après l’arrêt des pourparlers du gouvernement turc avec Monsieur Abdullah öcalan. Pour ce qui concerne notre détermination à ce sujet, nous tenons particulièrement à souligner que ni les pressions du gouvernement islamo fasciste ni la politique d’extermination ne pourra nous lasser de résister et nous faire reculer.

    Car nous ne demandons rien de plus que les droits élémentaires pour un peuple et les droits de visite de la famille et des avocats d’Öcalan et des autres prisonniers politique dans les prisons.  

    Pour finir lors de la déclaration de presse organisé communément dans les locaux du parti du travail, le 29 mars 2019 à 11 h 00, il a lancé un appel de solidarité avec le peuple kurde et à dit ne pas vraiment comprendre pourquoi la presse Genevoise restait si silencieuse sur ce sujet.

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  • Manifestation contre le président Bouteflika à Genève

    Manifestation pour protester le président Bouteflika et sa candidature annoncée à un cinquième mandat, Plus une centaines Algériens à Genève se sont rassemblées en face de la palais de Wilson contre le président Monsieur Bouteflika qui est soigné aux Hôpitaux universitaires de Genève. Un manifestant en colère crié« Bouteflika assassin ! Bouteflika criminel! Le peuple Algériens en a marre de ses pouvoir,  marre de cette dictature ! le président est finis, qu’il reste bien se faire soigner à l’hôpital en suisse, C’est tout! »

     
    Les manifestants veulent:
     
    Non à la mafiocratie, Oui pour  une  assemblée constituante, Non aux élections Truquées
     
    Oui changement radical du régime corrompu et criminel en Algérie                
     
    Oui pour une nouvelle Algérie avec une bonne gouvernance, Non à une régime militaire!

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    Nous sommes contre la dictature nous voulons la démocratie, pensez à la jeunesse, à la vie future . Le peuple est en colère nous voulons le changement intégral du système utilisé à l'heure actuelle, le système est corrompu par des hommes politiques qui en profitent pour le besoin personnel oubliant le peuple algérien. leurs comptes en banques sont remplies en Suisse on pourrait les comparer à "Ali Baba et les 40 voleurs",mais que pensent le peuple?
     
    Le peuple est l'avenir, la jeunesse est l'avenir, nous voulons une vie meilleure, pouvoir vivre dans notre pays d'origine sans vouloir constamment chercher à émigrer vers les pays Occidentaux et développés, beaucoup de jeunes algériens émigrent vers l'Europe dans de conditions très difficiles sans savoir s'ils vont survivre ou non pour pouvoir avoir une vie meilleure, un avenir assuré.
     
    Nous voulons la liberté et une Algérie démocrate.
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