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Politique - Page 54

  • NON au vol de nos retraites

     

    NON

    au vol de nos retraites


    et des rentes d’invalides et survivants LPP

     

     

    Votation du 7 mars 2010


     

     

     

    Ne travaillons pas pour enrichir les assureurs privés !


     

    VOTONS NON AU VOL DE NOS RETRAITES LE 7 MARS 2010


     

    La Constitution fédérale garantit la protection de nos revenus

    de retraité-e-s, pas les profits des assureurs privés !


     

    VOTONS NON AU VOL DE NOS RETRAITES LE 7 MARS 2010


     

    Ces derniers et leurs amis politiques nous disent qu’ils manquent

    600 millions par an à nos caisses de pensions. MAIS,sans compter les frais de gestions du capital, les frais administratifsdes assureurs privés s’élèvent à plus de640 millions par année, soit environ 400 francs par anet par assuré!

     

     

    Or une grande partie de ceux-là sont inutiles (publicité et commissions versées aux intermédiaires). Ainsi, les frais administratifs des institutions de prévoyance sans but lucratif ou des caisses autonomes, ou professionnelles gérées partiairement, sont de l’ordre de 60 à 120 francs par an et par

    assuré...

     

    VOTONS NON AU VOL DE NOS RETRAITES LE 7 MARS 2010


    La plupart des femmes savent qu'elles ne toucheront que de petites rentes du deuxième pilier, celui-ci reste le privilège d'hommes gagnant généralement bien leur vie. Ainsi plus de 50% des femmes âgées ont pour unique revenu l'AVS, alors que cette proportion s'élève à 15,3% chez les hommes. La baisse des rentes accentue encore plus les inégalités entre les hommes et les femmes...

     

    Journée nationale samedi 13 février

    Carrefour de Rive 15h

     

    Comité unitaire référendum LPP :

    Communauté genevoise d’action syndicale CGAS, SEV, SIT, SSP/VPOD, SYNA, Syndicom, UNIA,Les Verts, Parti socialiste genevois, Mouvement pour le socialisme, solidaritéS, Association de défense et de détente de tous les retraités et futurs retraités AVIVO, Cartel intersyndical du personnel de l’Etat et du secteur subventionné, DAL (Défense des Aîné-e-s, des Locataires, de l'Emploi et du Social)

     

    www.vol-des-rentes.ch

     

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    Maison populaire de Genève

    www.assmp.org















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  • UBS Rendez-nous nos 66.000.000.000 fr.


    Il nous les faut pour nos assurances sociales et pour stopper la débâcle écologique

    Comme chaque année au mois de janvier le monde de l’économie se rencontre dans le cadre du Forum économique de Davos pour faire le point sur les stratégies préservant le mieux les intérêts des plus riches de la planète. Il y a une année, en 2009, ce petit monde venait de vivre une grande frayeur : l’affaire des subprimes aux Etats-Unis s’était muée en crise économique majeure, la plus grande depuis celle de 1929. Il y a une année toutes les manifestations de rue s’opposant aux stratégies voulant sauver les profits au prix d’un appauvrissement brutal des populations ont été soit interdites, soit entravées par des mesures bureaucratiques et policières.

     

    Rendez-nous nos 66.000.000.000,- !

    Il nous les faut pour nos assurances sociales et pour stopper la débâcle écologique

     

    photo : © Ezzedine Haykel

    Comme chaque année au mois de janvier le monde de l’économie se rencontre dans le cadre du Forum économique de Davos pour faire le point sur les stratégies préservant le mieux les intérêts des plus riches de la planète. Il y a une année, en 2009, ce petit monde venait de vivre une grande frayeur : l’affaire des subprimes aux Etats-Unis s’était muée en crise économique majeure, la plus grande depuis celle de 1929. Il y a une année toutes les manifestations de rue s’opposant aux stratégies voulant sauver les profits au prix d’un appauvrissement brutal des populations ont été soit interdites, soit entravées par des mesures bureaucratiques et policières.

    Petit retour sur 2009

    Mais ce petit monde qui avait pourtant mené à la crise se frottait déjà les mains, la quasi-totalité des Etats dits « riches » de ce monde volait à son secours à coups de milliers de milliards de dollars détournés des fonds publics. Il fallait d’une part « sauver le système financier » et « relancer les économies ». Ce petit monde savait pertinemment que ces mesures ne résorberaient pas la crise, mais qu’elles la transfèreraient sur le dos des travailleurs et des travailleuses, des sans emplois, des invalides, des retraités, des étudiants, cela dans le monde entier, et que la crise financière deviendrait une crise sociale majeure : augmentation massive du chômage, augmentation des déficits des institutions chargées de la gestion du filet de sécurité sociale, etc. Tout le monde savait aussi que cet argent ne serait désormais plus disponible pour lutter contre le délabrement écologique de la planète, le sommet écologique de Copenhague n’a été qu’une mascarade.

    Où sont nos 66 milliards bradés à l’UBS ?

    Jamais les Etats ne s’étaient montrés aussi serviles et peu soucieux des intérêts communs. Et jamais les Etats n’ont aussi unilatéralement pris en charge les dettes de particuliers. Les 66 milliards engloutis pour acheter à prix fort − au nom du peuple ! − les actifs pourris de l’UBS illustrent on ne peut mieux la devise capitalo-bourgeoise : socialiser les dettes, privatiser les profits. Maintenant, Madame Doris Leuthard crie victoire, elle a revendu avec profit des actions UBS qui recommençaient à rapporter, mais elle ne dit plus rien des 66 milliards d’actifs pourris qui creusent les déficits et plombent les comptes de la Confédération. Comme désinformation on ne fait pas mieux !

    Pourquoi sommes-nous ici ?

    Nous voulons la vérité… et nous voulons que l’argent public serve les intérêts de la majorité des citoyens et pas ceux d’une poignée d’actionnaires. Nous voulons que les 66 milliards bradés à l’UBS servent à renforcer le filet des sécurités (AVS, caisse de chômage, AI, assurance maladie, assurance maternité) ; nous voulons qu’ils servent à développer des crèches pour nos enfants, à mettre en œuvre des programmes de lutte contre le délabrement écologique ; nous voulons des mesures permettant d’éradiquer la pauvreté.

    Avant de se proclamer « rentables » et d’engraisser ses actionnaires, l’UBS doit rembourser l’argent public

    La Confédération doit exiger un plan de remboursement des 66 milliards bradés à l’UBS. A défaut, celle-ci doit saisir les profits réalisés, cela jusqu’à remboursement complet des 66 milliards. La Confédération doit rendre ce plan public et chaque année faire rapport sur son application.

    A Davos ou à Genève, manifester, c’est notre droit !

    Notre but c’est d’informer, et de dire au peuple que ses édiles ne peuvent et ne pourront plus brader ses intérêts. Nous dirons cela par tous les moyens possibles et imaginables. Nous ne voulons plus que certaines vérités soient tues ou cachées derrière des négociations de plus en plus oiseuses sur le droit de manifester. Ce droit, nous le prendrons, il n’est pas négociable.

    Genève, le 27 janvier 2010

    Coordination des anticapitalistes.

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  • A L’ATTENTION DE L’OPINION PUBLIQUE INTERNATIONALE

     

     

     

    Appel du BDP

    LE PARTI POUR LA PAIX ET LA DEMOCRATIE


    A L’ATTENTION DE L’OPINION PUBLIQUE INTERNATIONALE

     

    A l’aube du jeudi 24 septembre 2009, une opération contre le Parti pour la Paix et la Démocratie (BDP) a été réalisée par les forces de sécurité : plus de 80 personnes parmi lesquelles se trouvent des anciens députés et des maires ont été mis en garde à vue.

     

     

    L'opération s'est déroulée en dépit des règles de droit : des appartements ont été endommagés, des portes défoncées et les personnes ont été mises en garde à vue de façon tout à fait arbitraire.


    Rappelons qu'après la dissolution du Parti pour une Société Démocratique, en date du 11 décembre 2009, par la Cour Constitutionnelle de Turquie, 94 Maires, les membres des Conseils Généraux des Régions et les membres des Conseils Municipaux avaient adhéré, le 23 décembre 2009, au Parti pour la Paix et la Démocratie (BDP) ; c'est donc en moins de 24 heures que la décision de mener cette opération policière a été prise, ce qui en dit long sur les motivations des commanditaires.


    Déjà, à la suite du grand succès du DTP aux élections locales du 29 mars 2009, 53 principaux cadres du parti parmi lesquels les adjoints aux Co-présidents, avaient été mis en garde à vue et emprisonnés dès le14 avril 2009. Huit mois se sont écoulés, depuis, et ces détenus n’ont toujours pas comparu devant la Cour au motif que le dossier est classé secret, et ne connaissent toujours pas les chefs d'accusation. Depuis le début des opérations en date du 14 avril 2009, plus de 500 personnalités politiques kurdes, dont les 53 cadres, sont toujours détenus.


    Cette situation injuste et arbitraire se prolonge aujourd'hui avec, sur directive des procureurs, les gardes à vue concernant plus de 80 personnalités politiques kurdes et de représentants d’ONG parmi lesquels se trouvent Hatip Dicle, ancien député du DEP et Co-président du Congrès pour une Société Démocratique (DTK), Abdullah Demirbaş, Maire de la Municipalité de Surici (arrondissement de Diyarbakir), Zülküf Karatekin, Maire de la Municipalité de Kayapınar (arrondissement de Diyarbakir), Selim Sadak, ancien député du DEP et Maire de la Municipalité de Siirt, Necdet Atalay, Maire de la Municipalité de Batman, Leyla Güven, Maire de la Municipalité de Viranşehir et membre de la Commission des Gouvernements Locaux du Conseil Européen, Ferhan Türk, Maire de la Municipalité de Kızıltepe, Muharrem Erbey, Vice-président de l’Association des Droits de l’Homme.



    Le gouvernement (AKP) qui, dans ses discours, prône "l'ouverture démocratique", tente ainsi de tromper l’opinion publique turque et l'opinion internationale, pour mieux intensifier ses attaques contre la volonté politique du peuple kurde. Le Parti pour une Société Démocratique (DTP) qui a obtenu près de deux millions et demi de votes aux dernières élections municipales a été dissout et les mandats de député de notre Co-président Ahmet Türk et de la députée élue de Diyarbakır, Aysel Tuğluk, ont été annulés ; en réponse, les députés du DTP qui avaient initialement voulu démissionner de la Grande Assemblée de Turquie (le Parlement), ont pris en considération la demande de l’opinion publique et décidé de continuer, dans le cadre parlementaire, la lutte démocratique pour la solution démocratique et pacifique de la question kurde sous le "toit" du BDP. Cette présente opération policière qui n'a pas pu être décidée sans l'aval gouvernemental (AKP) est donc une véritable provocation.


    Après l'opération du 14 avril et suite de la dissolution du DTP, nos appels à l’opinion publique de Turquie et à l'opinion internationale n’ont malheureusement pas été entendus, ce qui a encouragé les agresseurs à continuer leur politique négativiste à l'égard des Kurdes. En tant que BDP, nous souhaitons une fois encore vous faire part de notre inquiétude : Il est de notre responsabilité d’avertir l’opinion publique de Turquie et l'opinion internationale que cette politique d'agression ne peut qu’intensifier la crise, décupler la violence déjà forte en Turquie et créer le chaos. La solution n’est pas de mettre en garde à vue et d’emprisonner la volonté politique du peuple kurde mais de reconnaitre cette volonté kurde en vue de la considérer comme interlocutrice ; résoudre la question kurde sans les Kurdes, telle est l’approche du gouvernement AKP qui ne peut déboucher que sur la guerre. La tension qui règnera en Turquie aura une influence néfaste sur le monde entier et principalement sur le Moyen-Orient. Dans ce contexte, nous souhaitons vivement que l’opinion publique internationale prenne position pour la démocratie et la liberté d’expression, et dénonce ces actes illégaux et injustes. Nous en appelons à l’opinion publique démocratique et à sa solidarité, et nous lui demandons d'élever la voix pour que cessent immédiatement ces opérations contre le BDP et les ONG.

     

    LE PARTI POUR LA PAIX ET LA DEMOCRATIE

     

     

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