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Politique - Page 48

  • Protestation à l’ouverture de l’OIT


    Régime islamique hors de l'OIT

    3 06 2010

    Mercredi 2 juin 2010, malgré un renforcement des dispositifs de sécurité, un groupe de militant(e)s du Parti Communiste-Ouvrier d’Iran (PCOI) ont pu protester lors de l’ouverture de la 99ème session de la conférence internationale de l’Organisation Internationale du Travail à Genève (Suisse). En ce qui concerne les mesures de sécurité visant à empêcher toute protestation dans l’enceinte de la conférence, on peut noter qu’un camarade s’est vu refuser une carte de visiteur sous prétexte qu’il serait membre du PCOI, et d’autres camarades, qui avaient pourtant une carte de visiteur, n’ont pas pu entrer.

    Pourtant, lors de l’ouverture de la conférence, un groupe de militant(e)s du PCOI s’est dirigé vers la tribune en brandissant des portaits de Farzad Kamangar et de militants ouvriers emprisonnés aux cris de “ "Islamic regim out of ILO !” " (“ "Régime islamique hors de l’OIT !” "). De nombreux délégués ont applaudis l’action (des délégués italiens par exemple, se sont même levés pour applaudir), alors que les forces de sécurité du BIT et de l’ONU intervenaient pour faire sortir les militant(e)s.

     

     

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    Que font ces bourreaux à l’OIT ?

    Farzad Kamangar, enseignant dissident et militant des droits humains, a été brutalement exécuté début mai par le régime en Iran avec quatre autres prisonniers politiques. Les syndicats du monde entier avaient organisé des campagnes pour sa libération et ont condamné les exécutions avec véhémence.

    Les gens veulent savoir : que font ces bourreaux à l’OIT ? Pourquoi l’OIT continue de les inviter chaque année à ses conférences annuelles ?

    Il est temps de mettre fin à cette complicité tacite avec le régime en Iran. La conférence de l’OIT n’est pas un lieu pour les bourreaux ! Ce régime doit être chassé de l’OIT et de la communauté internationale.

    Montrez votre solidarité avec les travailleurs et le peuple d’Iran .

    • Boycottez la délégation du régime d’Iran à la conférence de l’OIT !

    • Aidez à chasser ce régime de l’OIT !

     

    http://iranenlutte.wordpress.com/

     

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  • Etat iranien, hors de l’OIT !!

    Solidarité avec les syndicalistes et les travailleurs iraniens

     

    Etat iranien, hors de l’OIT !!

     

     

    Mercredi 2 juin 2010, à 13 heures,

    devant le centre de conférence de

    l’OIT, Palais des Nations, Genève

    (Suisse).

    Liberté pour tous les ouvriers

    emprisonnés et les prisonniers

    politiques !

    Régime Islamique d’Iran, hors

    de l’OIT !

    Parti Communiste-Ouvrier d’Iran, Organisation à

    l’Etranger, 25 mai 2010

     


    Depuis bientôt un an, les travailleurs et la majorité du peuple iranien se battent contre le régime dictatorial. Des milliers de manifestants et de militants ont été arrêtés et bien souvent torturés. Ils luttent pour la chute du régime mais aussi pour obtenir des droits syndicaux. Cet élan donne naissance à des syndicats clandestins ou semi-légaux comme celui des Transports Publics de Téhéran.


    Les autorités veulent donc briser cet élan démocratique


    Le dimanche 9 mai, les autorités islamiques en Iran ont exécuté 5 militants : Ali Heydarian, Farhad Vakili, Shirin Alam-Houli et Mehdi Eslamian mais aussi Farzad Kamangar ancien porte parole du syndicat des enseignants du technique du Kurdistan, membre de la Ligue de Défense des Droits de l’Homme.


    Ces militants ont subi la torture la plus sauvage et ont été jugés dans des conditions caricaturales.


    Leur exécution est utilisée par leur régime comme un exemple. Pour autant cette stratégie sanguinaire n’a pas fonctionné.


    Le 13 mai plusieurs organisations ouvrières clandestines ont appelé à la grève au Kurdistan iranien pour protester contre ces exécutions et empêcher l’assassinat d’une vingtaine d’autres militants menacés.


    Cet appel à la grève a remporté un large succès dans les villes de la province, malgré l’état de siège instauré par les autorités. Les forces de l’ordre de la dictature ont essayé d’empêcher les manifestations, d’où des affrontements de plusieurs heures dans certaines villes. De nombreuses entreprises, écoles et universités étaient fermées dans la province. La majorité des commerçants se sont joints à cet appel

     

    Cette mobilisation démontre que les travailleurs et la majorité du peuple iranien contestent la légitimité et la violence du régime en place.

     

    Solidarité internationale


    Mais la bataille pour la respect des libertés démocratiques et syndicales ne doit pas uniquement reposer sur nos camarades iraniens. Nous estimons que les organisations syndicales françaises et internationales doivent se joindre à ce combat et montrer ainsi une véritable démarche internationaliste.


    Le 2 juin s’ouvrira à Genève une conférence de l’Organisation Internationale du Travail. Plusieurs organisations ouvrières iraniennes demandent depuis des années à l’OIT d’exclure l’Iran de la liste des Etats participants à cette institution internationale.


    Comment accepter qu’un Etat qui ne respecte aucune liberté syndicale, qui assassine, viole et torture les militants syndicaux, puisse participer aux travaux de l’OIT ?


    Nous, organisations syndicales, demandons à nos représentants syndicaux à l’OIT d’exiger l’exclusion de l’Etat dictatorial iranien de cette institution internationale

     

    Organisations syndicales signataires (sections syndicales, syndicats, UL,…) :


    Renvoyer cet appel signé à

    UL-CGT  4 rue Aristide Briand BP 397 88021 Epinal Cedex  ou ulcgtepinal@voila.fr

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    Que font ces bourreaux à l’OIT ?

    Farzad Kamangar, enseignant dissident et militant des droits humains, a été brutalement exécuté début mai par le régime en Iran avec quatre autres prisonniers politiques. Les syndicats du monde entier avaient organisé des campagnes pour sa libération et ont condamné les exécutions avec véhémence.

    Les gens veulent savoir : que font ces bourreaux à l’OIT ? Pourquoi l’OIT continue de les inviter chaque année à ses conférences annuelles ?

    Il est temps de mettre fin à cette complicité tacite avec le régime en Iran. La conférence de l’OIT n’est pas un lieu pour les bourreaux ! Ce régime doit être chassé de l’OIT et de la communauté internationale.

    Montrez votre solidarité avec les travailleurs et le peuple d’Iran .

    • Boycottez la délégation du régime d’Iran à la conférence de l’OIT !

    • Aidez à chasser ce régime de l’OIT !

    Rejoignez le rassemblement devant le centre de la conférence (Place des Nations à

     

    Genève) le mercredi 2 juin à 13 heures



    Parti Communiste-Ouvrier d’Iran (PCOI), Comité de Solidarité Ouvrière Internationale

    Quelques autres textes contre la présence de la République Islamique à l’OIT :

    - Appel de l’UL CGT d’Epinal qui peut être signé par toute organisation syndicale de France

    - Hors de l’OIT les assassins de prisonniers politiques !

    - Le régime islamique d’Iran doit être exclu de l’OIT !


    - Non à la légitimisation par l’OIT de ceux qui persécutent les travailleurs !

    - 2 juin : pour l'exclusion de la République Islamique de l'OIT !

     

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  • Un soldat turc lance une grenade sur des enfants

     

    Un soldat turc lance une grenade sur des enfants

     

    Un enfant kurd est mort et cinq autres ont été blessés

     

     

     

     

    Un enfant de 13 ans, Oğuzcan Akyürek, est mort et cinq (Nurullah Erçiçek (10), Yunus Yaman (12), Seyfullah Erçiçek (12), Doğukan Meşe (13) et Rıdvan Coşan (12) ) autres ont été blessés dans l'explosion d'une bombe pendant qu’ils jouaient à l'extérieur d'une caserne de l'armée turque, a rapporté mardi un responsable local.

     

     

    Murat Durmaz, Maire de la ville d'Özalp, située dans l'Est du pays à la frontière avec l'Iran, a précisé que les cinq blessés ont été hospitalisés dont trois dans un état critique. L'explosion a eu lieu à l'extérieur du périmètre des casernes de l'armée turque, a-t-il précisé.

     

    D’après les témoins, un soldat a pris la fuite peu après l’explosion.

     

    "Selon Monsieur Durmaz, un soldat aurait jeté la bombe parmi les enfants en train de jouer. Un témoin oculaire âgé de 29 ans a assisté à la scène et il est actuellement entendu par le procureur chargé de l’instruction. D’après ce témoin, un soldat a jeté la bombe parmi les enfants avant de prendre la fuite. Le témoin se trouve actuellement au Ministère public pour être entendu sur le déroulement des faits.

     

    L’explosion a eu lieu à une distance d’un mètre des chaînes démarquant la zone militaire. Trois heures après l’explosion, les soldats sont venus sur place, indifférents, ils sont repartis dans la caserne.


    Monsieur Durmaz a également précisé que la caserne est située au milieu du quartier de Cumhuriyet. Placée au milieu du quartier, elle ne vise pas la protection de la population, au contraire elle met les civils en péril.

     

    L’explosion s’est produite à un mètre de la zone séparant la caserne du reste du quartier. Dans la caserne, il y a également une zone de tir. Pourquoi prévoir une zone de tir au sein d’un quartier ? Les murs des maisons aux alentours de la caserne sont troués de projectiles a-t-il précisé Durmaz.

     

    Yunus Yaman, blessé lors de l’explosion, a décrit ainsi les faits à ses parents : « Nous étions assis avec des amis, soudain j’ai vu un soldat arriver depuis l’entrée principale et je l’ai entendu dire : « nous avons jeté la bonne chose ».

     

    A noter que, outre ces arrestations et condamnations inadmissibles, selon les organisations de défense des droits de l’homme en Turquie, 345 enfants kurdes ont été tués par les forces de l’ordre durant ces 20 dernières années.

     

     

     

     

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