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  • CEVA: Le chantier du siècle

    Depuis longtemps je pense à photographier le CEVA. J’ai demandé une autorisation. Aujourd’hui je suis allé à mon rendez-vous avec monsieur Anet qui m’a accompagné sur le chantier pour ma sécurité. C’est avec un casque, un gilet de sécurité et des bottes que nous avons visité le chantier de la future gare de Genève-Eaux-Vives. Monsieur Anet m’a expliqué comment le tunnel se creusera. Entre 500 et 1000 employés travaillent sur les chantiers du CEVA depuis le Bachet jusqu’au Foron, le chantier du CEVA est le chantier du siècle. Après la visite du chantier, je suis monté pour photographier la vue d’une grue. Tous les partis politiques et syndicats devraient aller visiter ce chantier, ils pourront en parler plus à propos. S’il me le permette je continuerai à photographier les autres chantiers pour vous.

     

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  • Marche Noire: « Une meilleure justice pour tous »

    Une cinquantaine de personnes se sont présentées au rendez-vous du 12 avril 2014 pour cette Marche Noire, organisée par l'Association « Main dans la Main, pour Eux ». Le point de départ était fixé au Tribunal d'Arrondissement de Montbenon à Lausanne.


    Les manifestants se sont arrêtés à la Place de la Rippone pour une minute de silence, puis l'Association  a présenté le livre «  Je te salue Marie, ma fille » écrit par Antoine Schluchter, le père de la victime assassinée en mai 2013.
     
    La Marche a repris sa procession pour se diriger au Tribunal Fédéral.
     
    A l’arrivée, les participants sont montés sur les Marches, pour scander « Une meilleure justice pour tous ».

    Conscient du fait que manifester sur les marches d'un bâtiment vide un samedi après-midi est symbolique, les participants ont été invités a signer une lettre adressée à la magistrature du Tribunal Fédéral.
     
    Une chanson chantée par l'entourage d'une des victimes a été diffusée lors de la récoltes des signatures.
     
    Cette manifestation c'est déroulée dans le calme et le silence en respect des victimes.

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    La  lettre adressée au Tribunal Fédéral.

    L'Association Main dans la Main, pour Eux a organisé:

     

    Une "Marche Noire" à Lausanne
    le samedi 12 avril 2014
     

    Par cette Marche Noire, nous demandons une meilleure protection et sécurité de la population ainsi qu'une meilleure application des lois et des peines.

    Que le bien-être des délinquants ne passe plus avant la sécurité des citoyens car, cela fait gravement ressentir la faiblesse du système juridique suisse actuel qui nous donne trop cette impression, à nous habitants, d'être laissés pour compte.

    En conséquence, nous réclamons fermement une reconnaissance du statut de victime par la justice.
     
    Que cette même justice admette aussi que son fonctionnement n'est plus adapté, ni adéquat en regard de la société actuelle. Enfin, que cette même justice reconnaisse que son devoir est de rendre la priorité à ses citoyens contribuables, qui sont trop souvent des victimes oubliées et, réclament une sécurité adaptée et digne de ce nom.
     
    Au nom de l'Association « Main dans la Main, pour Eux »
    Amandine Lambercy, Présidente
     
      
    Signatures des participants de la «Marche Noire» :


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  • Policiers en colère contre le proje SCORE!

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    Discours  de Monsieur Davide De Filippo, secrétaire général adjoint SIT 


    La mobilisation qui débute aujourd'hui dans les services publics pour défendre les principes d'une politique salariale juste égalitaire n'est pas la lutte de quelques privilégié-e-s qui ne font que défendre leurs acquis: c'est une lutte que nous avons en commun avec l'ensemble des salarié-e-s du secteur privé, une lutte pour une meilleure répartition des richesses que les salarié-e-s produisent par leur travail, pour que chacune et chacun puisse vivre d'un salaire décent.

    Le 18 mai prochain, le peuple votera sur l'initiative fédérale pour l'instauration d'un salaire minimum légal en Suisse. A Genève, ce sont 35'000 salarié-e-s qui pour un équivalent plein temps travaillent pour moins  de 4000.-.

    35'000, c'est à peu près le même nombre de salarié-e-s qui travaillent dans les services publics cantonaux, qu'ils soient fonctionnaires ou travaillant dans le secteur privé subventionné. Cela signifie que pour chaque agent-e du service public, il y a un ou une travailleuses qui travaille dans la précarité.

    Nous avons donc la responsabilité de témoigner notre solidarité à l'égard des ces travailleuses et travailleurs, dans les urnes et dans la rue.

    Le défilé du 1er mai ne sera donc pas qu'une promenade traditionnelle de printemps, ce sera une manifestation de lutte pour le salaire minimum, l'expression d'une mobilisation des salarié-e-s pour ce combat. Contrairement à de nombreux secteurs privés où le 1er mai est un jour de travail normal, les membres des services publics ont obtenu il y a bien longtemps que ce jour soit un jour chômé. Nous avons donc la responsabilité d'y être, et d'y être massivement pour témoigner de notre solidarité dans notre lutte commune.
    Alors, le 1er mai, tous et toutes dans la rue!

    Davide De Filippo, secrétaire général adjoint SIT

     

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    Discours de Monsieur Patrick Flury Président du Cartel

    Contrairement à la manchette de la Tribune de Genève d'hier qui affichait l'hésitation des fonctionnaires à manifester.

    Votre présence, notre présence, ici prouve le contraire et prouve notre détermination.

    Si le Cartel est aujourd'hui présent à vos côtés, c'est qu'il l’a décidé, en toute liberté, sans dogmatisme, dans l'intérêt d'une fonction publique unifiée et forte au service de Genève.

    L’Assemblée des délégué-e-s du Cartel du 18 mars a appelé à la manifestation unitaire de ce jour, à l'unité syndicale dans le soutien des luttes sectorielles liées à Score.

    Si certains fonctionnaires, préfèrent découvrir les impacts de Score à la lecture de leurs feuilles de salaire ! Nous, nous sommes ici !. Nous avons décidé de ne pas attendre, car c'est aujourd'hui et dans l'unité, que ce construit un rapport de force, et non demain, chacun isolé dans un coin.

    Sur une zone de conflit syndical, devant un champ de mines nommé SCORE, il y a deux possibilités :

    • Soit refuser de le traverser,
    • Soit prendre le risque de l’explorer et de désamorcer les mines.
    • Le Cartel intersyndical du personnel de l'Etat et du Secteur subventionné, a fait son choix : il explorera ce terrain, pour vous permettre de le connaître, et si nécessaire de le traverser, pour défendre la cause de l’ensemble de la fonction publique, pour que toutes et tous, nous portions la lutte au bon endroit avec des éléments concrets et factuels, pour nos salaires, pour nos conditions de travail. Mais jamais, je dis bien jamais, nous n’accepterons de nous soumettre à une quelconque clause de confidentialité. Car nous avons tous le droit de savoir,
    • sans attendre la fiche de salaire de 2016.
    • Dans son discours d’investiture, le Conseil d’Etat dresse les louanges du partenariat social, il dit qu’être suisse, c’est « négocier avant de décider ». Eh bien Madame et Messieurs les Conseilllers d’Etat, transformez ces belles paroles en actes !
    • La soupe à la grimace n'est pas une fatalité, la soupe doit être la meilleure pour la fonction publique !


    Patrick Flury Président du Cartel

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    Discours de  Monsieur Albert Anor ( membre du comité directeur du SSP-GE)

    Chers collègues bonjour à tous, nous sommes au moins 4'000 manifestants !
     
    Cette manifestation n’est pas le début de la mobilisation, une première pétition de la fédération des enseignants genevois avec plus de 2'000 signatures à déjà été remise au conseil d’Etat (CE).

    Notre mobilisation a déjà donné des résultats, elle a fait reculer le CE sur la séparation entre le CO et le PO, le CE a retiré ce point de SCORE.

    Reste encore à clarifier le problème des salaires, tous les enseignants du secondaire en niveau 12 de SCORE c’est 1, 4% en moins pour les salaires ! Et que deviennent les 6, 3% du niveau 13 attribués au seuls enseignants du collège ? Seront-ils versés pour les basses classes ou simplement économisés ?
     
    D’autre part, le CE à annoncé plus de souplesse dans le délais, nous ne sommes plus confrontés à la menace d’un projet de loi qui serait déposé fin juin, nous avons donc du temps pour amplifier la mobilisation et les obliger à négocier
     
    Il y a un mot qui brûle les lèvres des conseillers d’Etat et c’est celui de « négociations », ils sont pour des échanges, des consultations, mais pas de négociation ! Pour notre part, nous sommes pour l’ouverture de négociations sur les conditions de travail pour des réévaluations des fonctions qui tiennent compte de la réalité du terrain, sur la base des revendications concrètes.
     
    Derrière les discours rassurants et technocratiques des responsables du projet SCORE, il y a de la politique !
    L’amélioration des services publics, des conditions de travail, des salaires et des emplois, des emplois surtout pour la jeunesse, a toujours été le résultat de luttes.
     
    Nous assistons à un tournant dans la situation.
     
    Les comptes 2013 affichent un excédent de 56 millions.
    Les annuités seront versées…
     
    Le CE déclare : « les charges de personnel et les dépenses sont maîtrisées » !
    Pourtant l’élite du patronat, représentée par la Chambre de commerce et de l’industrie elle se déclare pour la poursuite de la baisse des impôts des grandes fortunes avec d’autres recettes libérales.
    Le CE  répond de son côté : « Des choix courageux devront être faits » « nous examinerons toutes les pistes », en générale on sait où conduisent les pistes explorée par le gouvernement, directement à la fonction publique !
     
    Les pistes étudiées portent sur la hausse du temps de travail (vers une annualisation généralisée), vers des « économies » dans les prestations et dans une baisse des salaires.
     
    SCORE s’inscrit dans cette logique, le CE a expliqué lui-même qu’il fallait rapprocher les salaires de la fonction publique des salaires du privé. Qu’est-ce que cela veut dire lorsque l’on voit la nécessité d’augmenter les bas salaires, d’aller vers un salaire minimum de 4'000 francs, combien de salariés qui touchent moins de 4'000.- ? C’est inacceptable !
     
    Et on voit le résultat avec SCORE, c’est la compression des bas salaires et la hausse des salaires des cadres dès là classe 27.
    Et attention, ceux qui se croient « gagnants », ceux qui se croient être revalorisés par SCORE, c’est un leurre.
    Sur les 110 millions environ d’indemnités et de primes, 44 millions au moins seront supprimés !
    Les indemnités inhérantes à la fonction = 19 millions
    la prime de gériatrie (inconvénient de service)= 4,7 millions
    la prime EPM dans les HUG = 10 millions
     
    D’autres indemnités seront partiellement conservées (quel pourcentage ?) :

    Les indemnités de travail de nuit, du week-end, des jours fériés, des contraintes horaires…

    Quelle diminution du salaire, lorsqu’on sait que ces indemnités, qui ne sont pas des cadeaux, sont partie intégrante des modestes salaires des soignantes et des aides soignantes ?

    C’est inacceptable, ces primes ont été obtenues par le combat, elle découlent de négociations et aujourd’hui le CE prend la liberté de les supprimer, comme ça !
     
    Chers collègues, pour conclure, je voudrais dire encore deux choses :

    La mobilisation doit se poursuivre sur la durée. Aujourd’hui nous sommes 4'000, demain nous devrons être le double pour remettre au CE les milliers de signatures sur la pétition conjointe du SSP et des associations de police, plus de 4'000 signatures collectées à ce jour Nous convoquerons un nouveau rassemblement.
     
    Enfin, nous devons veiller à maintenir notre unité et notre indépendance vis-à-vis de l’employeur, nous devrons éviter les pièges de la division que le CE n’évitera pas de dresser sur notre chemin.

    Nous devons aussi donner la parole à la base pour décider de la suite et des modalités d’action à entreprendre, faudra-t-il faire grève ? c’est à vous de décider, il faudra donc convoquer des AG de secteurs et une AG de l’ensemble de la fonction publique pour prendre les décisions qui s’imposent.
     
    Merci.
    Albert Anor
    Membre du comité directeur du SSP-GE

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