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Les jeunes candidats démocrates-chrétiens, Delphine Bachmann, Claudio Marques, Florian Odin, Adriano Piccoli et Stéphanie Riehle ont invité les Genevoises et les Genevois à un moment de partage lors de leur soirée de campagne au Théâtre Pitoëff, ce lundi 23 septembre. Près d'une cinquantaine de personnes ont pu échanger dans une ambiance conviviale et sympathique. Ils se réjouissent de vous retrouver nombreux ce jeudi 26 septembre lors de la Vox Night organisée par le PDC Ville de Genève.
Hier matin à 10h, près de 800 manifestant-e-s se sont rassemblés à la place des 22 cantons pour se rendre à Berne en train spécial, pour manifester contre le vol des rentes et le dumping salarial.
À Berne, plus de 15'000 travailleurs et travailleuses sont participé à la manifestation de l'Union syndicale suisse (USS) pour dénoncer le dumping salarial et le vol des rentes et pour exiger des retraites justes et des salaires minimaux d'au moins 4'000 francs.
Communique de Presse
Les salaires des personnes avec un apprentissage ont fait du surplace ces dernières années. Le loyer et la caisse-maladie mangent toujours plus le budget des ménages. Et les gouvernements de droite imposent maintenant des programmes d’austérité à leurs citoyennes et citoyens, ainsi que des baisses des salaires et des rentes.
Mais la résistance s’étend, car celles et ceux qui ont créé le bien-être ne doivent pas en être privés.
Halte au vol des rentes !
Partout dans le pays, les rentes du 2e pilier sont sous pression. Les CFF veulent introduire une rente variable. Et le Conseil fédéral propose même la plus grande baisse de rentes de tous les temps : il veut baisser de 12 % les rentes du 2e pilier. Il met aussi en jeu la compensation du renchérissement dans l’AVS et veut relever à 65 ans l’âge de la retraite des femmes. Ce sont les assurances qui en profiteront, parce qu’elles veulent faire encore plus de profits avec la prévoyance vieillesse.
Mais la résistance s’étend, contre la baisse des rentes du 2e pilier, contre la suppression de la compensation du renchérissement, contre le relèvement de l’âge de la retraite des femmes, contre la diminution de la contribution de la Confédération à l’AVS, contre le financement antisocial de la prévoyance vieillesse...
Halte au dumping salarial !
Nombre de personnes avec un apprentissage ne gagnent en termes réels pas plus aujourd’hui qu’il y a dix ans, alors que le coût de la vie a augmenté. Certains gagnent même moins que 4000 francs en travaillant à plein temps. Et la pression sur les salaires s’accentue, aussi pour les salarié(e)s ordinaires. Des patrons sans scrupules font pression sur les salaires de leur personnel. Et au lieu de mettre fin à leurs agissements avec des salaires minimums, des conventions collectives de travail et des contrôles, le Conseil fédéral, les gouvernements cantonaux et les partis de droite font obstacle à une vraie protection des salaires. On a promis à la population que les salaires seraient protégés. Cette promesse doit être tenue.
Mais la résistance s’étend, nous nous battons pour un automne salarial équitable, contre les profiteurs, pour la protection de nos salaires au moyen de mesures d’accompagnement efficaces, pour l’inscription d’un salaire minimum dans la Constitution et pour que l’égalité salariale entre femmes et hommes avance.
Non à la journée de travail de 24 heures !
Les conditions de travail aussi sont menacées. Le Parlement veut banaliser le travail de nuit et du dimanche. Certains veulent pouvoir faire des achats 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Ce qui va commencer avec les magasins des stations-service sera bientôt possible dans tout le pays : la journée de travail de 24 heures.
Mais la résistance s’étend, nous combattons dans les urnes pour que les travailleurs et travailleuses n’aient pas à être disponibles 24 heures sur 24.
Un appel urgent aux USA et à l’ONU, en particulier au Haut commissariat des droits humain à agir de toute urgence pour sauver les 7 Achrafiens pris en otages qui risquent d’être livrés au régime iranien
Le 20 septembre, lors d’une grande conférence internationale à Genève, Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, tout en condamnant les 20 jours de silence et d’inaction face à la situation effroyable des sept demandeurs d’asile Achrafiens, dont six femmes, pris en otages par les tueurs de Maliki, et depuis près de trois semaines sous la torture et des interrogatoires, a appelé les USA, l’ONU et Navi Pillay, la Haut commissaire au droits de l’homme, à respecter leurs engagements légaux et moraux, pour faire libérer sans délai les otages. Elle a ajouté que selon des informations précises et exactes venant de sources diverses, les otages sont aux mains du gouvernement irakien. Ces détails ont été fournis aux autorités américaines, au HCR, au Haut commissariat aux droits de l’homme et à l’Union européenne.
Mme Radjavi a ajouté : le massacre du 1er septembre à Achraf fait de l’insécurité de Liberty un cas d’urgence absolue. La malveillance du gouvernement irakien apparait dans le fait que malgré les conseils et les requêtes du Secrétaire d’Etat américain et de ses autres responsables, il fait toujours obstacle au transfert des équipements de protection personnel et médicaux d’Achraf à Liberty, et ne donne pas l’autorisation du retour au camp des 17.500 murs de protection des baraquements.
Mme Radjavi a déclaré : comme le gouvernement irakien n’a aucune compétence pour protéger les habitants et qu’il est leur meurtrier, une équipe d’observateurs de l’ONU et des casques bleus doivent s’installer en permanence dans l’enceinte du camp Liberty. Parce que sans la présence d’une troisième force à Liberty, on ne peut imaginer de sécurité.
Dans cette conférence, figuraient au nombre des intervenants, outre Mme Radjavi, José-Luis Rodriguez Zapatero, ancien premier ministre espagnol, Giulio Terzi, ancien ministre italien des Affaires étrangères (2011, 2013), Horst Telchik, président de la conférence sur la sécurité de Munich (1999-2008), Sid Ahmed Ghozali, ancien premier ministre algérien, Philip Crowley, ancien porte-parole du Département d’Etat américain (2009-2011), Ingrid Betancourt, le députés suisses Eric Voruz, le député italien Alessandro Pagano, les sénateurs espagnols Margarita Duran et Ripol, la députée belge Els Demol, Tahar Boumedra, ancien directeur du bureau des droits de l’homme de la MANUI en Irak et responsable du dossier d’Achraf, Mark Grinsberg, ancien ambassadeur américain au Maroc, l’ancien sénateur américain Robert Torricelli, le colonel Mesghal Al-Batich, général d’état-major de l’Armée syrienne libre, le Dr Ferechteh Bolourchi, représentante du CNRI en Allemagne et mère de Rahman Mannani, tués dans le massacre d’Achraf le 1er septembre, le colonel Wesley Martin, commandant du dispositif américain de protection d’Achraf, et Nils De Dardel, avocat et président du Comité suisse de défense d’Achraf.
Mme Radjavi a ajouté : en ce qui concerne les partisans de la complaisance avec les mollahs ce massacre les couvre à jamais de honte et de scandale, car la Résistance iranienne et ses partisans dans le monde ont lancé à maintes reprises des avertissements comme quoi le gouvernement irakien inféodé aux mollahs se préparait à commettre une nouvelle tragédie contre l’Ompi. Mais nous n’avons reçu pour toute réponse que le silence et l’inaction.
Les participants se sont déclaré scandalisés par les USA et l’ONU qui ferment les yeux sur la tragédie humaine à Achraf et liberty et s’abstiennent de mener toute enquête sur ces massacres dans lesquels jusqu’à présent une centaine de réfugiés sans défense ont trouvé la mort. Ils leur ont demandé de mettre fin à cette inaction et à ce silence qui encouragent les bourreaux et les tueurs du régime iranien et de son gouvernement vassal en Irak. Ils les ont exhortés à tenir les engagements qu’ils ont pris vis-à-vis des habitants de Liberty qui sont aujourd’hui à tout moment en danger d’être massacrés.
La conférence n’a souligné que les USA et l’ONU sont directement, sur le plan légal et moral, responsables de la sécurité et de la santé de ces demandeurs d’asile au statut de personnes protégées par la 4e convention de Genève et qu’ils doivent répondre de tous les dangers qui les menacent.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne Le 20 septembre 2013
Depuis Vingtième jour de la grève de la faim au camp Liberty et des Iraniens à Genève pour la libération des sept otages et le déploiement des casques bleus de l'ONU à Achraf et Liberty
La grève de la faim des habitants de Liberty, entamée pour protester contre le massacre du 1er septembre à Achraf par les forces irakiennes aux ordres de Maliki, en est à son vingtième jour. Dans ce massacre perpétré sur les ordres de Khamenei en personne par les forces de Maliki en coordination totale avec la force terroriste Qods, 52 membres de l'organisation des Moudjahidines du peuple d'Iran ont été exécutés par les forces irakiennes et sept autres prises en otage.
Les grévistes de la faim ont annoncé qu'ils continueront jusqu'à la libération des otages à savoir six femmes et un homme membres l'Ompi, et le déploiement des casques bleus des Nations unies dans les camps d’Achraf et de Liberty.