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  • Egypte : un dictateur en remplace un autre!

    Cette après midi, face au palais wilson plus de deux cent égyptiens se sont rassemblé pour protester la politique du gouvernement après la révolution.

    Il ont dis que rien n’a changé après la chute de Mubarak, juste un nouveau dictateur, la démocratie, liberté et les droits de l’homme ne sont pas respecter par le gouvernement. Les manifestant demandent le président Morsi et sont gouvernement.

    Les manifestants on apporté des drapeau de leur pays et des banderole “Dégage Morsi”

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    Photos: Demir SÖNMEZ

     

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  • Commémoration du génocide de Srebrenica, plus jamais ça!

    Ce matin sous la pluie à la place des nations  et autour de la pierre "Kamen Spavac" une centaines de bosniaques se sont rassemblé pour une journée de commémoration du génocide de Srebrenica 1995. Madame Anne Emery Torracinta (Députe du  Grand Conseil et candidat conseil d' état du PSG), Monsieur Rémy Pagani (Conseil administratif ville de Genève et candidat conseil d' état d’Ensemble de Gauche) et  Madame Martine Sumi (conseil municaple ville de Genève), ils ont partageaient la douleur de la communauté bosniaque. Ce rassemblement est Organisé par l’Association culturelle des Bosniaques de Genève.

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    Que s'est -il passé à Srebrenica le 11 juillet 1995 ?

    Ce jour fut le premier d'un massacre de plus de 8000 hommes, reconnu comme un génocide par le Tribunal Pénal International pour l'Ex-Yougoslavie (TPIY) et la Cour internationale de justice.

    Srebrenica, une ville du Nord-Est de la Bosnie Herzégovine, non loin de la Drina qui marque la frontière avec la Serbie, était habitée comme la plupart des villes du pays par des Musulmans de Bosnie, ou Bosniaques1 et des Serbes. Dès les débuts de la guerre, en 1992, les troupes des nationalistes serbes de Bosnie avaient occupé la région. La ville et la zone qui l'entoure, qui résistaient, furent proclamées 'Zone de sécurité' par les Nations Unies le 16 avril 1993 suite à une initiative du général Morillon, qui, retenu par les habitants, s'engagea à les protéger. La 'zone de sécurité' étant donc théoriquement protégée par la présence de casques bleus, les habitants et les militaires bosniaques qui assuraient sa défense furent désarmés. En 1995, un bataillon de casques bleus néerlandais était installé dans une usine désaffectée à Potočari, à six kilomètres au nord de la ville. Dès le 6 juillet 1995, les Serbes commencèrent à pilonner l'enclave et les postes des Nations Unies. Le bataillon hollandais demanda un soutien aérien aux autorités de l'ONU, qui le refusèrent. Le 11 juillet 1995, agissant sous l'autorité de Radovan Karadžić, président de la 'Republika srpska'2 proclamée en 1992, et commandant suprême de ses forces armées, le général Ratko Mladić, chef de l'état major de l'armée des Serbes de Bosnie, et Radislav Krstić, alors commandant et chef d'état major du "Corps de la Drina" entrèrent dans la ville. La population civile tenta de chercher refuge auprès des casques bleus de la FORPRONU et se dirigea vers Potočari. De là, les hommes du 'Corps de la Drina' furent autorisés par les soldats hollandais à faire monter dans des autobus 25 000 femmes, enfants et personnes âgées, tous Musulmans de Bosnie, qui furent emmenés à Kladanj, près de Tuzla, en territoire contrôlé par le gouvernement de Bosnie. Les hommes furent exécutés, les uns sur place, par petits groupes, ou emmenés sur différents sites, près de Bratunac, puis jusqu'à Zvornik à 70 km au nord de la ville, où eurent lieu des exécutions par centaines ou milliers d'hommes. Le soir du 11 juillet, une colonne de 15 000 personnes composée pour moins d'un cinquième de "soldats" équipés de fusils de chasse et armes de fortune, et pour le reste de civils, hommes, femmes et enfants, tenta de rejoindre à pied à travers la forêt un territoire non contrôlé par les Serbes, à une centaine de kilomètres de là. La colonne était harcelée par les bombardements, et suivait un chemin miné. Seuls les premiers partis purent arriver. Les Serbes ne tardèrent pas à couper la route et capturèrent un grand nombre d'hommes auxquels ils firent croire, grâce a des uniformes volés aux casques bleus, qu'ils étaient accompagnés par des soldats des Nations Unies qui allaient les protéger. Mais ces hommes connurent le même sort que ceux de Potočari. Informés du fait qu'ils allaient être échangés contre des prisonniers serbes, ils ne protestèrent pas quand on leur lia les mains dans le dos avec des fils métalliques. Les meurtres continuèrent jusqu'au 17 juillet, sous le commandement et le contrôle de Radovan Karadžić et Ratko Mladić, accomplis par le Corps de la Drina et d'autres milices paramilitaires, dont les "Scorpions", venus de Serbie. Les victimes furent d'abord enterrées sur place dans des fosses communes, puis déplacées en petit nombre vers des charniers dits 'secondaires', parfois à plusieurs reprises, afin de dissimuler le caractère massif des exécutions. Le nombre de victimes de ces sept journées s'élève à plus de 8 0003.

    Le génocide de Srebrenica n'appartient pas encore au passé.

    En Bosnie-Herzégovine, la Commission fédérale pour les personnes disparues dirigée par Amor Masović s'attache à la recherche des disparus. Une première liste de 8106 disparus a été publiée par ses soins, puis complétée ensuite4. C'est le nombre de 8372 victimes qui a été gravé sur le mémorial de Potočari. A l'heure actuelle moins de 6 000 corps seulement ont été retrouvés, mais ce nombre n'autorise pas à minimiser les faits. Chaque année voit la découverte de nouveaux charniers dans la région de Srebrenica : on découvrait par exemple les restes de 616 personnes à Kamenica en octobre 2007, puis encore de 24 victimes en octobre 2008, de 20 à Mrsici en mai 2009, de 19 dans le village de Bisina en octobre 2009... Les restes sont identifiés grâce à des analyses ADN ou des objets retrouvés à leurs côtés, avec l'aide des familles. Une des femmes de Srebrenica décrit dans ces termes la souffrance renouvelée de celles à qui l'on apprend la découverte des restes d'un proche : "Quand ils t'appellent pour te dire qu'ils ont identifié quelqu'un, c'est comme si la tragédie se repassait à ce moment, comme si le film repassait..."5. Depuis 2003, chaque 11 juillet, 400 à 600 victimes nouvellement identifiées sont inhumées au cimetière de Potočari, où a été construit un mémorial6.

    De très nombreuses familles sont, aujourd'hui encore, dans l'ignorance du sort d'un fils, d'un époux ou d'un père. Les femmes de Srebrenica se sont constituées en plusieurs associations pour la mémoire, pour la recherche des disparus, le retour des réfugiés, et, bien sûr, pour l'arrestation des criminels, ce qui, quinze ans après les faits, est toujours scandaleusement une question d'actualité7.

    http://www.mrap.fr/international/europe-russie-cei/federation-de-seine-saint-denis-commemoration-du-genocide-de-srebrenica

     

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    Photos: Demir SÖNMEZ

     

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  • La situation dramatique des handicapés à Genève!

     

    Aujourd’hui, les personnes handicapées et leurs proches, insatisfaits et mécontents, sont descendus dans la rue…

    Les personnes handicapées doivent avoir leur place !  Entre 16h et 17h, entre 150 et 200 personnes étaient présentes pour demander à nos autorités des lieux de prise en charge adaptés ainsi qu’une place en institution pour les personnes qui en ont besoin.

     

    La FéGAPH (Fédération genevoise des associations de personnes handicapées et de leurs proches), faîtière genevoise réunissant 14 organisations représentant quelque 2'000 personnes handicapées et proches, tout handicap confondu, s’est engagée par solidarité avec ses associations membres pour informer le Conseil d’Etat et les députés au sujet de la gravité de la situation concernant le manque de places pour les personnes handicapées dans les institutions genevoises.

     

    La pétition « des places en institution pour les personnes handicapées qui en ont besoin » a été signée en l’espace de 3 semaines par plus de 3'100 personnes, et a été remise pendant la manifestation par le président et le vice-président de la FéGAPH au président du Grand Conseil, M. Gabriel Barrillier, en présence de plusieurs familles.

     

    Les autorités genevoises doivent maintenant assumer leurs engagements en appliquant les lois en vigueur et en mettant à disposition les moyens nécessaires pour que les personnes handicapées qui en ont besoin puissent poursuivre leur évolution et trouver leur place dans une institution et dans notre société.

     

    Il est, en effet, inacceptable, pour les familles et les proches de voir leur fils, fille, ami, membre de la famille, attendre à l’hôpital psychiatrique des mois voire des années qu’une place se libère dans une institution socio-éducative. Il arrive que la prise en charge au quotidien de la personne au sein de sa famille ne soit pas envisageable. Dans ces situations, il est donc essentiel pour ces personnes de pouvoir bénéficier d’une prise en charge adaptée à leurs besoins.

     

    Communiqué de presse

    Jeudi 27 juin 2013 manifestation à la Rue de l’Hôtel-de-Ville

    Cyril Mizrahi, président de la FéGAPH  

     

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    Photos: Demir SÖNMEZ

     

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