Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • La ruée vers l'or

    La ruée vers l'or, une exposition sur histoire de la recherche de l'or dans le halle de Balexert jusqu'au 3 novembre 2012.

    DSC_9479.jpg

    DSC_9398.jpg

    DSC_9400.jpg

    DSC_9401.jpg

    DSC_9402.jpg

    DSC_9403.jpg

    DSC_9404.jpg

    DSC_9405.jpg

    DSC_9408.jpg

    DSC_9410.jpg

    DSC_9411.jpg

    DSC_9412.jpg

    DSC_9413.jpg

    DSC_9414.jpg

    DSC_9415.jpg

    DSC_9417.jpg

    DSC_9419.jpg

    DSC_9421.jpg

    DSC_9422.jpg

    DSC_9425.jpg

    DSC_9427.jpg

    DSC_9428.jpg

    DSC_9431.jpg

    DSC_9432.jpg

    DSC_9433.jpg

    DSC_9435.jpg

    DSC_9439.jpg

    DSC_9441.jpg

    DSC_9443.jpg

    DSC_9444.jpg

    DSC_9450.jpg

    DSC_9455.jpg

    DSC_9457.jpg

    DSC_9461.jpg

    DSC_9465.jpg

    DSC_9466.jpg

    DSC_9469.jpg

    DSC_9472.jpg

    DSC_9474.jpg

    DSC_9475.jpg

    DSC_9482.jpg

    DSC_9491.jpg


  • Le bus « Liberté pour OCALAN » est arrivé à Genève

    Le bus qui a pris son départ après le 20ème festival culturel qui a eu lieu à Mannheim, le 8 septembre, parcourra 69 villes centrales à travers 8 pays d’Europe. La tournée a pour but de sensibiliser et de promouvoir activement le soutien public pour la liberté du Leader Kurde, Abdullah OCALAN.

    Aujourd’hui, le bus est arrivé à Genève, où une centaine de personnes a pris part à une manifestation pour demander la liberté d’Abdullah OCALAN. Le rassemblement a été suivi de discours et danses folkloriques sur la place des Nations.  Les manifestants ont promis de travailler activement pour la campagne de signatures (LIBERTE POUR OCALAN) en faveur du leader kurde actuellement en prison en Turquie.

    Les activistes Kurdes ont également tenu une réunion au centre culturel kurde de Genève durant la soirée.

    La prochaine destination du bus sera Rome en Italie, une ville historique pour le peuple kurde dont le leader a été arrêté dans la capitale italienne le 13 novembre 1998. Demain, également à Rome, les kurdes demanderont la liberté pour OCALAN. Le combat continue!

    DSC_9267.jpg

    Qui est Abdullah Öcalan ?

    Des millions de Kurdes considèrent Abdullah Öcalan comme leur représentant. Environ trois millions et demi d'entre eux l'ont affirmé en signant la pétition menée en ce sens en 2006. Il est leur  leader dans la lutte pour les droits culturels et démocratiques, et il est devenu le symbole de la liberté pour les Kurdes. Öcalan, qui s'oppose à la séparation et à la sécession, milite pour un Moyen-Orient démocratique avec des droits égaux pour tous les peuples : voilà les propositions qu'il fait et les perspectives qu'il propose.

    Son engagement pour la paix

    Depuis 1993, avec ses efforts infatigables pour la paix, Öcalan essaie de créer les conditions pour une solution pacifique au conflit. Enlevé illégalement et emprisonné depuis 1999, Öcalan n'a pas pour autant renoncé à son engagement pour une résolution pacifique de la question kurde et, à sa demande, la guérilla maintient la suspension de ses actions, décrétée unilatéralement malgré les attaques de l’armée turque depuis le mois d'août 2010.

    Isolation

    A maintes reprises et depuis 1999, le Conseil de l'Europe et le Comité européen pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants (CPT) ont critiqué l'isolement inhumain dans lequel était maintenu Öcalan. Il était le seul prisonnier sur l’île – surveillé par 1000 soldats et totalement isolé du monde extérieur. Depuis la fin de l’année 2009 il n’y a désormais plus qu’un prisonnier isolé mais six – Öcalan ne peut que très rarement voir les 5 autres prisonniers, on l’a toujours privé de ses droits fondamentaux.

    Ainsi les conditions à Imrali restent les pires de toutes les prisons turques. Le seul responsable est le gouvernement, car les militaires n’ont plus le contrôle de la prison

    Escalade de la violence

    Le gouvernement simule les reformes démocratiques, mais les maires kurdes démocratiquement élus et des centaines de politiciens ont été emprisonnés, des députés traînés devant la justice et leur organisation politique, le Parti pour une Société Démocratique, banni; de lourdes peines sont prononcées même à l'encontre des enfants. L’utilisation de la langue kurde est toujours limitée par des interdictions.


    Il n’y a toujours aucune école publique où le kurde est enseigné. Le commandement militaire continue de bombarder à sa guise, jusque sur le territoire irakien. La soi-disant « initiative kurde » du gouvernement n'a eu presque aucun résultat. La menace d'une nouvelle escalade de la violence est imminente, provoquée par la politique irresponsable du gouvernement de l'AKP.

    Erdogan se défile pour ne pas négocier

    Le gouvernement AKP essaie, une fois de plus, de tromper la communauté internationale. Au lieu de saisir la main tendue pour la paix et de s'engager dans la voie d'une résolution de la question kurde, Erdoğan et ses ministres provoquent les Kurdes et tentent de briser leur volonté. Ils encouragent les pogroms antikurdes et donnent carte blanche à l'armée pour mener ses opérations, le tout sous couvert de la mascarade d'une « politique démocratique ». En août 2009, Abdullah Öcalan a proposé une « feuille de route pour la paix »


    contenant des propositions concrètes pour une solution pacifique. Depuis, le gouvernement essaye d’empêcher que l’opinion publique ne voie ce texte. Ceci dit il est connu que le gouvernement « dialogue » depuis longtemps avec Öcalan. Or, le prochain pas devrait suivre : des négociations sérieuses sur la résolution de conflit.

    Pourquoi sommes-nous ici ?

    Une fois de plus, nous venons manifester contre le complot international qui a conduit à l'enlèvement d'Abdullah Öcalan, le 15 février 1999, il y a de cela presque 11 ans. Nous voulons la paix et une solution démocratique pour le Kurdistan et la Turquie. Nous croyons qu'Abdullah Öcalan, avec ses concepts pour une autonomie démocratique dans une république démocratique, est l'architecte et le garant d'une telle solution. La torture inhumaine et l'isolement pratiqués à son encontre doivent cesser, et il doit être reconnu comme partenaire pour une solution politique.

    C'est pourquoi, nous exigeons :

    ● La fin de la torture et de l'isolement, et la fermeture définitive de la prison d'Imrali !

    ● Reprise immédiate des négociations pour une résolution politique des conflits !


    ● Le dialogue, pas la violence : Liberté pour Abdullah Öcalan - Paix au Kurdistan !

    Paix au Kurdistan

    Initiative Internationale « Liberté pour Abdullah Öcalan – Paix au Kurdistan »

    www.freedom-for-ocalan.com
    DSC_9250.jpg

    DSC_9252.jpg

    DSC_9258.jpg

    DSC_9269.jpg

    DSC_9276.jpg

    DSC_9278.jpg

    DSC_9283.jpg

    DSC_9284.jpg

    DSC_9286.jpg

    DSC_9291.jpg

    DSC_9298.jpg

    DSC_9303.jpg

    DSC_9316.jpg

    DSC_9319.jpg

    DSC_9319.jpg

    DSC_9333.jpg

    DSC_9345.jpg

    Maison Populaire de Genève

    www.assmp.org

  • Pétition : Soutenir les grévistes de la faim kurdes, 46 jours grève de la faim!

    Des prisonniers politiques kurdes mènent une grève de la faim 

    collective dans les prisons turques depuis maintenant 46 jours

     

    à Monsieur Thorbjørn Jagland

    Secrétaire Général du Conseil de l’Europe

    Avenue de l’Europe 67 075 Strasbourg

    PETITION

    Objet : prendre en considération le cri des Kurdes de Turquie

    Monsieur le Secrétaire Général,

    Depuis 2009, piétinant sans aucune retenue la démocratie et les libertés, le gouvernement de Turquie a emprisonné près de 9 000 Kurdes, notamment 6 députés, 31 maires, 96 journalistes, 36 avocats, 183 dirigeants du BDP ( Parti pour la Paix et la Démocratie), des syndicalistes, des défenseurs des Droits de l’Homme, des étudiants, … et près de 2 000 enfants, connus sous le nom « d’enfants lanceurs de pierres », sont actuellement en prison.


    Par ailleurs, l’armée turque a conduit des opérations militaires au-delà des frontières avec l’Irak, en violation du droit international. 41 civils ont été assassinés dans ces opérations et l’arme chimique a été utilisée.

    Pour couronner le tout, les autorités turques, qui avaient entamé des négociations avec le leader incontesté des Kurdes, monsieur Abdulah Oçalan (emprisonné depuis 1999 sur l’Ile d’Imrali), les ont interrompues et ont placé ce dernier à un isolement total sans précédent depuis le 27 juillet 2011, en violation de toutes les lois internationales.

    De telles atteintes aux Droits de l’Homme, aussi nombreuses et aussi graves de la part du gouvernement turc, sont injustifiables.

    Afin de demander leurs cessations, 900 prisonniers politiques kurdes sont en grève de la faim illimitée en Turquie depuis le 15 février 2012, au péril de leur vie.

    Pour la même raison, 15 Kurdes d’Europe ont entamé une grève de la faim illimitée à Strasbourg depuis le mars.

    Ils demandent la justice, la libération d’Abdulah Oçalan et de tous les prisonniers politiques ainsi qu’une résolution équitable et démocratique de la question kurde.

    Monsieur le Secrétaire Général, nous vous demandons d’écouter le cri de ces hommes et de ces femmes et de répondre favorablement à leurs revendications. En conséquence, il vous faut exiger du gouvernement turc qu’il cesse ses atteintes répétées aux Droits de l’homme et l’inciter à s’engager dans la voie de la négociation pacifique avec monsieur Oçalan, pour la résolution de la question kurde.

    Sans cela, la pertinence de la Turquie à être membre du Conseil de l’Europe serait posée.

    Pour notre part, nous considérons que le problème kurde n’est pas simplement celui de la Turquie, mais également celui du Conseil de l’Europe, d’autant plus que des états-membres, la France et l’Allemagne en particulier, ne se gênent pas pour vendre des armes au gouvernement turc.

    En conséquence, nous vous demandons de bien vouloir mettre à l’ordre du jour de l’Assemblée Parlementaire la résolution du problème kurde ; se refuser à le faire revient, ni plus ni moins, à cautionner l’ensemble des pratiques anti- démocratiques et attentatoires aux libertés ci-dessus évoquées.

    Soyez assuré, Monsieur le Secrétaire Général, de notre vigilance active pour le respect des Droits de

    l’Homme partout dans le monde en général, et sur le territoire relevant du champ d’action du Conseil de l’Europe en particulier.

     

    Pour signer cette pétition :

     

    http://www.petitions24.net/soutenir_les_grevistes_de_la_faim_kurdes