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  • Soirée citoyenne 2014: au carrefour des générations

    Comme chaque année, toutes et tous les jeunes franchissant la barre des 18 ans sont convié-e-s à une grande fête en l'honneur de leur passage à l'âge adulte. Lors de cette soirée, ils-elles auront pu entendre des adultes, comme le directeur de la croix-rouge Yves Daccord, le sélectionneur adjoint de l'équipe suisse de football Michel Pont, le conseiller d'état Luc Barthassat ou encore la conseillère administrative en ville de Genève Madame Esther Alder, Monsieur Antonio Droin, Président du Grand Conseil,  Madame Liliane Maury Pasquier. Conseillère aux Etats, Madame Mahrer Anne, Conseillère nationale, Monsieur Nidegge Yves, Conseil national et Monsieur Pascal RUBELI, président du conseil municipal de la ville de Genève, mais aussi des jeunes, comme le journaliste en devenir Gaëtan Corthay, ainsi que plusieurs représentants d'associations de jeunesse: le Parlement des Jeunes Genevois, STOP Suicide, ou encore easyvote.ch. Le Vicent Kessi music band et les animateurs de l'émission radio 120 secondes ont assuré l'animation de cette soirée, qui a lancé officiellement et en beauté des centaines de nouveaux et de nouvelles citoyen-ne-s dans le monde des adultes.

     

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  • 6ème Gratiferia aux Grottes : donnez, prenez, tout est gratuit!

    Plus de 100 participants étaient au rendez-vous de la sixième Gratiferia de Genève


    Sous un soleil généreux a eu lieu, ce dimanche 23 février 2014, entre 14h et 16h30, cette sixième édition. C'est un nouveau genre de rassemblement: une foire aux dons ou vide-grenier insolite où tout est gratuit. Avec une fréquence d'un dimanche par mois, cet événement est annoncé via les réseaux sociaux et la presse locale.

    Sarah et Cynthia, les deux organisatrices bénévoles, avaient réservé la Maison Verte et demandé une autorisation à la ville pour utiliser également la Place des Grottes.

    « Amenez ce que vous voulez, ou rien du tout! Repartez avec ce qu'il vous plaît ou rien! » Voilà le slogan de cet événement qui a été lancé en Argentine il y a quelques années. C'est une occasion pour les habitants du quartier et de fidèles habitués de se retrouver et de contribuer concrètement à une alternative au gaspillage et au consumérisme qui sévissent de façon effrénée dans nos sociétés.

    La plupart des dons concernent des biens, des objets tels que des vêtements, des livres, des DVD ou de la vaisselle etc qui sont déposés sur les tables mises à disposition ou de grands tissus au sol mais d'autres dons sont possibles. Aujourd'hui une participante proposait des massages assis et une autre de faire découvrir une technique de développement personnel, l'AMO (actualisation par le mouvement oculaire). Les organisatrices souhaitent mettre en avant ce partage de connaissances et de savoirs pour les prochaines éditions. Un goûter était également offert et contribuait à une ambiance générale conviviale.

    A un certain moment du marché, un pic de 200 participants a été atteint. Les organisatrices ont été un peu débordées par cette forte affluence et n'ont pas pu échanger avec tout le monde comme elles en ont l’habitude. Elles travaillent déjà sur des pistes d'amélioration: une saynète de théâtre en guise d'ouverture du marché pour sensibiliser à l'esprit de solidarité, de partage et de bonne humeur qui définit les gratiferias et une petite équipe bénévole pour accueillir chaque nouveau participant et pour encadrer les échanges qui se faisaient parfois trop hâtivement aujourd'hui.

    Le but de cette foire est avant tout militant : il s'agit de changer les mentalités, d'amener plus de conscience dans les modes de vie et de fédérer autour de l’expérience du don, faisant de ce rendez-vous collectif un moment positif et joyeux grâce à la participation et la créativité de chacun. 

    Cynthia COCHET, Gratiferia

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  • Manifestation pour la liberté de parole au Venezuela

    Manifestation pour la liberté de parole au Venezuela

    Ce samedi 22 février, un rassemblement pacifique a réuni près de 300 personnes sur la place des Nations à Genève.

    Cette action s'inscrit dans le cadre du mouvement citoyen "SOS Venezuela" dans le cadre du quel plus de 300 rassemblements s'organisent ce weekend à travers toute la planète.

    Cette Manifestations contre la violence déchainée au Venezuela. Les manifestants  font  une appel au gouvernent Suisse et tous les organismes internationaux  pour qu’ils exigent au président Nicolas Maduro la cessation de la répression et de la violence d' état.

     

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE 

    Vénézuéliens en Suisse: "On craint pour la vie de nos familles"

    Berne/Genève/Bâle - 20 février.- La communauté vénézuélienne qui réside en suisse organisera des concentrations à Berne, Basel et Genève ce weekend pour manifester contre la violence déchainée au Venezuela. Les vénézuéliens font un appel au gouvernement suisse et à tous les organismes internationaux pour qu'ils exigent au président Nicolas Maduro la cessation de la répression et de la violence d'état.

    "Nous craignons pour la vie de nos familles au Venezuela. Ma mère m'informe que dans la ville de Maracaibo s'entendent des tires par tout et qu'elle a du se réfugier sous son lit" nous informe Katherine Portmann qu'est suisse et vénézuélienne résidente en Suisse. Hier, le prêtre José Palmar, qui milite pour les droits des peuples indigènes, fut victime d'une brutale agression de la part de policiers.

    Les morts dans les manifestations continuent à se produire dans tout le pays, le nombre de blesses et d'arrêtés augmente et des dénonciations de citoyens torturés ne cessent d'être faites. Le nombre exact de victimes est inconnu. L'information n'est pas divulguée par les médias. La réalité dans la rue se voit reflétée via Facebook, Twitter et d'autres réseaux sociaux car les médias officiels taisent les événements. Les étudiants utilisent des applications de type Zello pour échanger des alertes sur la localisation des militaires et des bandes armées du gouvernement nommées "collectifs". Nombreuses vidéos circulent sur le web où l'on peut clairement voir la répression et la violence perpétrées au grand jour ou la nuit par les autorités et leurs collectifs en moto.

    "Nos jeunes protestent parce qu'ils ne voient pas de futur pour le pays qu'ils aiment," déclare Margareth Messerli-Medina, organisatrice de la manifestation à Berne.

    Des observateurs et acteurs de la société civile vénézuélienne ont priés le gouvernement pour qu'il accepte un dialogue honnête avec l'opposition. La réponse matérielle du président Maduro fut de réprimer les manifestations pacifiques et d'émettre un ordre d'arrêt contre le leadeur d'opposition Leopoldo Lopez. Celui-ci est en prison, accusé de terrorisme et d'incitation à la violence. Lopez s'est livré de son gré à la police dans un acte publique le 18 février.

    Selon des chiffres officiels de la Banque Centrale du Venezuela, l'inflation se situe autour de 56%, un des taux les plus élevés du monde. La politique gouvernementale de nationalisation d'entreprises, de restriction d’accès au marché des devises étrangères et de manque d'incitation à l'investissement privée a eu comme conséquence une situation critique de manque de produits de nécessité basique. Le bolivar a déjà été dévalué deux fois en 2014. Le malaise causé par une délinquance effrénée, la répression, manque de nourriture et censure médiatique se ressentent dans les rues de toutes les villes du Venezuela. 

     

     

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