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  • l'OSEO Genève fête dix ans d'intégration et de solidarité

    Ce soir le bâtiment Sicli a accueilli pour son dixième anniversaire

    l’OeuvreSuisse d’Entraide Ouvrière de Genève en présence de Madame

    Isabel Rochat, Conseillère d’Etat, Monsieur Thierry Apothéloz, Conseiller

    administratif Ville de Vernier et président l’OSEO Genève, Jean-Charles

    Rielle, président du Conseil municipal de la Ville de Genève, Madame

    Sandrine Salerno, vice-présidente du Conseil administratif de la Ville de

    Genève, Tony Erb du Secrétariat à l’Economie (Berne), Paolo Coelho,

    célèbre écrivain, Christian Lopez Quirland, Directeur l’OSEO, Monsieur

    Laurent MOUTINOT, ancien président du Conseil d'Etat et puis plus de

    600 activistes de l’intégration et de la solidarité internationale.

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    Madame la Conseillère d’Etat,

    Monsieur l’ancien président du Conseil d’Etat,

    Monsieur le Conseiller national,

    Mesdames et Messieurs les députés,

    Madame la Chancelière d’Etat,

    Madame la Conseillère administrative, chère Collègue,

    Mesdames les Conseillères administratives, Maires et adjointes,

    Messieurs les Conseillers administratifs, Maires et adjoints,

    Mesdames les Conseillères municipales,

    Messieurs les Conseillers municipaux,

    Monsieur le représentant du Secrétariat à l’Economie (SECO) de la Confédération,

    Mesdames et Messieurs les représentants de l’administration et des associations,

    Chères collaboratrices et chers collaborateurs de l’OSEO Genève,

    Mesdames et Messieurs les invités,

    Chères et chers Ami,

    Je suis particulièrement honoré de présider cette cérémonie officielle en ma qualité de président de l’association OSEO Genève.

    Vous êtes nombreuses et nombreux ce soir à avoir répondu à notre invitation. Votre présence montre à quel point le partenariat et la collaboration sont nécessaire.

    Permettez-moi en premier lieu d’adresser quelques remerciements.

    Le premier sera adressé à l’équipe d’organisation, les jeunes comme les adultes, de notre belle manifestation. Marquer les 10 ans de l’OSEO avec un budget restreint c’était de l’audace, vous avez su relever le défi. Le résultat est magnifique. Bravo !

    Présider l’OSEO Genève, c’est une chose. Je ne suis heureusement pas seul : un comité composé de bénévoles m’accompagne chaque mois pour la gestion de notre association. Anciens ou actuels, qu’ils et qu’elles en soient chaleureusement remerciéEs.

    Ensuite, je voudrai saluer le Département de la Solidarité et de l’Emploi, l’Office cantonal de l’emploi et le SECO et les remercier de leur constante confiance. La confiance est inscrite dans une seule volonté : offrir le meilleur !

    Un mot, encore, tout particulier à Albert RODRIK, notre premier président. Au moment où l’OSEO Suisse décida de créer des entités cantonales en 2005, Albert Rodrik a relevé le défi et présidé six ans durant les destinées de notre vénérable association. Un immense merci à Albert.

    Enfin, il y aurait tant de chose à dire sur notre directeur, Christian Lopez Quirland. Politologue de formation, il est passionné dès le début de son activité à l’OSEO Genève, Christian suit les affaires avec un engagement sans faille. Mais surtout : les idées ne manquent pas pour faire progresser notre structure, l’adapter à nos usagers, répondre aux besoins de nos partenaires. Là aussi, Christian n’est pas seul. Il s’est entouré d’une équipe de direction dynamique, dont Anne Humbert-Droz, sa directrice adjointe.

    Notre organisation compte aujourd’hui plus de 60 collaboratrices et collaborateurs. Elles et ils incarnent les valeurs de l’OSEO Genève, au quotidien, auprès des usagères et des usagers. Je vous adresse à toutes et à tous mes chaleureux remerciements.

    L’OSEO Genève a donc 10 ans d’existence, cela paraît peu.

    Et pourtant, en seulement 10 ans, l’OSEO Genève a mis en œuvre un grand nombre de projets efficaces dans le domaine de l’intégration, l’apprentissage du français, l’insertion et de la formation professionnelle.

    Aujourd’hui, dans notre canton, l’OSEO est devenu un acteur social incontournable dans son secteur d’activité. Avec ses projets innovants et efficaces. Avec sa vision originale, souvent en avance, de la réalité du marché du travail.

    L’OSEO Genève, il y a dix ans, c’était un projet. Aujourd’hui, c’est une institution. Un partenaire crédible qui met son expertise à la disposition de toutes les collectivités publiques qui se battent pour une meilleure intégration des plus fragilisés d’entre nous sur le marché de l’emploi.

    Depuis dix ans, les programmes sont variés. En 2003, nous avons lancé « ParcourS » premier programme d’insertion professionnelle destiné aux demandeurs d’emploi non-francophones. Plus récemment, le dispositif « PRIMA », pour les personnes qualifiées, lancé l’année dernière sur demande du SECO. Citons encore le « SEMO » (semestre de motivation) en 2007, ou la création d’« Onex Solidaire » en 2008 et de CapEmploi dans les communes de la Champagne, les réalisations de l’OSEO sont nombreuses.

    Et, toutes, ont prouvé leur efficacité.

    L’existence de l’OSEO Genève et la pertinence des programmes qu’elle met en œuvre sont la preuve, si besoin était, que la lutte pour l’insertion professionnelle dans notre canton est un combat qui doit faire intervenir une multitude d’acteurs différents, avec chacun, ses spécificités.

    Le marché du travail est un domaine complexe. Les changements sont rapides. Il arrive parfois que les pouvoirs publics n’ont, au final, qu’une prise limitée. L’OSEO Genève – comme tant d’autres institutions actives dans le secteur – n’entend évidemment pas se substituer à l’Etat. L’OSEO agit de manière complémentaire, et non subsidiaire. La différence peut sembler infime, elle est pourtant fondamentale.

    Une structure comme la nôtre possède la réactivité, la capacité créatrice et l’énergie. C’est ce qui fait sa force. Et, en ce jour, ma fierté.

    Car je suis fier de présider à la destinée d’une institution qui, en une petite décennie, est parvenue à imposer sa griffe dans ce secteur si difficile qu’est l’insertion professionnelle. Parce qu’elle a su faire preuve d’une vitalité et d’un dynamisme à toute épreuve.

    L’OSEO Genève est à l’image de l’OSEO Suisse : une organisation parfaitement en phase avec son temps, capable d’apporter des solutions nouvelles à la précarité.

    Souvenez-vous, déjà, qu’en 1936, lors de sa création, dans une Suisse qui, comme aujourd’hui, était frappée par la crise, l’œuvre Suisse d’entraide ouvrière avait été créée par les syndicats et le parti socialiste suisse pour répondre à la montée de la pauvreté dans notre pays.

    Les mots choisis parlent d’eux-mêmes : « œuvre suisse d’entraide ouvrière ».

    Aujourd’hui, cette terminologie – qui a 75 ans – peut faire sourire certains. Pourtant, à mes yeux, elle n’a jamais été aussi actuelle.

    « Entraide » est le pendant de « solidarité », cette valeur qui, de nos jours, revient à la charge. Nous avons besoin d’une société qui inclue au lieu d’exclure.

    L’OSEO, en 1936, a montré l’exemple d’une organisation qui se crée pour apporter l’aide, le soutien et le réconfort à celles et ceux d’entre nous qui vivent dans la précarité et l’exclusion.

    Et puis, dans OSEO, il y a aussi le terme « ouvrière ».

    Chez certains, de nos jours, on utilise plus ce terme, jugé rétrograde, et rappelant une terminologie passéiste. Pourtant, comment appelle-t-on aujourd’hui ces familles qui travaillent à la chaîne et qui n’arrivent pas joindre les deux bouts ? Comment doit-on appeler ces personnes qui passent des heures sur des chantiers, dans la restauration, dans les grands commerces, en s’y usant la santé et le moral ?

    L’OSEO Genève, aujourd’hui, même si beaucoup de choses ont changé, doit être fière – et elle l’est – de ses origines syndicales et populaires. Car elle se bat, tous les jours, pour améliorer, durablement, le quotidien de celles et ceux d’entre nous qui sont le plus durement frappés par la crise économique.

    Notre invité prestigieux M. Paolo COEHLO a tant écrit qu’il m’a été difficile de ne prendre qu’une citation. J’ai choisi celle-ci : Le futur a été créé pour être changé.

    Cette phrase résume bien à mes yeux le destin d’une institution telle que l’OSEO : à elle seule, elle ne peut gagner la bataille contre le chômage. Mais clairement, elle contribue à la victoire.

    10 ans seulement, et déjà tant de résultats.

    Longue vie à l’OSEO Genève.

    Je vous souhaite une excellente soirée.

    Thierry APOTHELOZ, président

     

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    Photos: Demir SÖNMEZ

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  • Le Prix de la Fondation pour Genève: Professeur Charles BONNET

    Se soir, le Victoria Hall à été témoin d’une soirée historique. Tous les Genevois ont renommé Monsieur Charles bonnet à qui a été décerné le prix “Fondation pour Genève” pour ses découverte archéologique.

    A cette occasion, se sont présentés : Monsieur Charles Beer président de la république de Genève,Monsieur  François Longchamp conseil d’Etat,  Monsieur Rémy Pagani au nom du conseil administratif de la Ville de Genève et Maire de Genève, Les député-e-s, les conseiller-ère-s municipaux-ales, Monsieur Jeau-Dominique Vassali de l’université de Genève, Lauditio par Monsieur Pascal Couchepin ancien président de la confédération suisse, Monsieur Ivan Pictet président de la fondation pour Genève, La directrice générale Madame Tatjana Darany, au musiciens Michel Bastet, Stéphane Fisch, Jérôme Gautschi, Jean rochet et puis plus de 1500 personnalités.

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    Communiqué de presse 


    Le Conseil de la Fondation pour Genève, à laquelle s’associent les autorités genevoises et l’Université de Genève, désigne le professeur CHARLES BONNET lauréat 2013 du « Prix de la Fondation pour Genève ». Elle se réjouit d’honorer cette personnalité pour son engagement et son action au plan international et national en faveur de l’archéologie. Charles Bonnet figure parmi les meilleurs spécialistes dans le domaine de l’archéologie médiévale chrétienne. Ses brillantes recherches menées en Egypte et au Soudan, en particulier sur le site de Kerma, l’ont imposé comme une référence obligée de l’archéologie de la Vallée du Nil.

    Associé étranger de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, membre de plusieurs conseils scientifiques en Suisse, Charles Bonnet joue un rôle majeur dans l’archéologie européenne en qualité d’expert, en France, Italie, Espagne, Belgique pour les périodes paléochrétiennes et médiévales. Professeur honoraire de l’Université de Genève, il est docteur honoris causa des universités de Khartoum, Dongola, Louvain et la Sorbonne.

    Outre le dynamisme qu’il a insufflé à sa discipline, Charles Bonnet a beaucoup contribué à la mise en valeur du patrimoine archéologique, comme en témoignent le site aménagé sous la cathédrale Saint-Pierre, récemment couronné du prix Europa Nostra, ainsi que le Musée de Kerma.

    Depuis 1976, le Prix de la Fondation pour Genève honore des Genevois de souche ou d’adoption ou des institutions qui participent au rayonnement de Genève en Suisse et dans le monde dans les domaines scientifique, politique, économique, culturel ou humanitaire. Qu’il s’agisse des professeurs Denis Duboule, Jean Starobinski ou Olivier Fatio, de l’ancien secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan ou de l’ancienne conseillère fédérale Ruth Dreifuss, pour ne citer qu’eux, tous ont œuvré en sorte que leurs découvertes ou leurs actions soient tournées vers l’humanité. Désignés par le Conseil de Fondation, les lauréats sont distingués depuis 3 ans au Victoria Hall à Genève lors d’une cérémonie publique à laquelle participent les autorités ainsi que des personnalités genevoises.

    En choisissant Charles Bonnet pour sa cuvée 2013, le Conseil de la Fondation pour Genève a décidé de distinguer du Prix de la Fondation pour Genève un homme d’exception.

    Charles Bonnet est né en 1933 au sein d’une famille établie dans le Mandement depuis six générations. Inscrit à l’Ecole d’agriculture de Marcellin, il est déjà un familier des conférences de Louis Blondel. Il le suit sur le site d’Avully en ne perdant pas une miette de ses propos sur les fortifications de Jules César. Dans les années 1960, il prend en charge la responsabilité d’un grand domaine de fruits tropicaux au Chili, travaille dans une agence de voyage et part huit en Amérique du Sud où il visite la plupart des sites archéologiques avant de reprendre le domaine de la famille.

    En 1965, il obtient un diplôme en sciences orientales. Dix ans plus tard, il achève un doctorat en archéologie médiévale à l’Université de Lyon. Charles Bonnet a déjà une expérience du terrain. Il a entamé des fouilles importantes au Soudan mais aussi à Genève, dans le quartier de Saint-Jean, où il sauve une église du onzième siècle menacée de destruction.

    En 1972, il est nommé chargé d’enseignement et archéologue cantonal adjoint. En 1976, il est promu expert auprès de la Commission fédérale des monuments historiques suisses. Dès 1977, il sera chef de la mission archéologique de l’Université de Genève au Soudan, à Kerma. Plusieurs centaines de milliers de visiteurs auront par la suite eu la chance de connaître les Kerma au Musée d’art et d’histoire en 1991. Charles Bonnet travaille depuis une quarantaine d’années en Egypte et au Soudan.

    En tant qu’archéologue cantonal (fonction qu’il assumera de 1980 à 1998), il a mis au jour non seulement des sites paléochrétiens exceptionnels tels que Saint-Jean, la cathédrale Saint-Pierre ou ceux de Saint-Gervais, la Madeleine et de nombreuses églises, mais il a mis au point des techniques permettant d’effectuer des fouilles dans les murs des immeubles anciens.

    Ses méthodes ont fait école. En 1982, il est nommé conseiller à la recherche au FNRS. En 1985, professeur au Collège de France et en 1988 professeur associé à l’Université de Genève. Dès 1972, il sera appelé à donner des conférences sous toutes les latitudes. 

    Genève, le 6 mars 2013 

    Fondation pour Genève

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    Le Prix de la Fondation pour Genève: Depuis 1976, le Prix de la Fondation pour Genève, honore des Genevois de souche ou d’adoption ou des institutions qui participent au rayonnement de Genève en Suisse et dans le monde dans les domaines scientifique, politique, économique, culturel ou humanitaire. Désignés par le Conseil de Fondation, les lauréats sont distingués dans des lieux symboliques de Genève lors d’une cérémonie à laquelle participent les autorités ainsi que des personnalités genevoises.

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    Photos: Demir SÖNMEZ

  • Hugo Chavez n’est pas mort, il a semé l’espoir, nous sommes tous Chavez !

    Le président du Venezuela, Hugo Chavez, est décédé ce mardi 5 mars 2013 des suites d’un cancer. Il avait redonné confiance à tout un peuple, émancipé des millions de Vénézuéliens, repris en main l’économie du pays, oeuvré pour la paix en s’opposant ouvertement aux Etats-Unis et à leurs guerres coloniales... Ceux qui, grâce à lui, ont appris à lire, recouvré la vue, été pour la première fois chez le médecin ou trouvé un emploi se souviendront de son passage sur terre, malgré toutes les calomnies dont il fait l’objet en Occident. Sa mort est une grande perte pour tous les progressistes du monde.


    De tous les dirigeants politiques que j'ai rencontrés, c'est Hugo Chavez qui m'a le plus marqué.

    Bien sûr par sa vision très forte et son engagement pour son peuple et pour l'Amérique latine. Bien sûr par sa solidarité exemplaire avec tous les peuples en lutte (notamment les Palestiniens), par sa volonté de construire un front international pour que l'humanité échappe enfin à la pauvreté.

    Mais aussi par ses qualités humaines. Quand on lui parlait, il écoutait avec une attention très forte, le temps qu'il fallait, sans interrompre, sans chercher à abréger malgré son emploi du temps hyper-chargé. Aucune prétention, mais au contraire une grande humilité, la volonté très forte d'apprendre de chacun, quel que soit son éducation et son rang, et la volonté de faire participer, de donner un rôle important à tous. C'est grâce à cela qu'il a réussi à mobiliser tout un peuple et à mettre l'Empire en échec.

    Chavez n’est pas mort, il a semé l’espoir, il a rendu l’espoir à toute l’Amérique latine, et son oeuvre est inspirante aussi pour l’Afrique, le monde arabe et l’Europe.

    « A ceux qui me souhaitent la mort, je leur souhaite une très longue vie pour qu'ils continuent à voir la Révolution Bolivarienne avancer de bataille en bataille, de victoire en victoire.» - Hugo Rafael Chavez Frias (1954-2013)

     

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    « Laissez les chiens de l’empire aboyer, c’est leur travail. Le nôtre, c’est de se battre pour achever la véritable libération de notre peuple »

    Ce dossier Chavez, je l'avais préparé avec Meriem Laribi et Vincent Lapierre. Il vous permettra de comprendre pourquoi ce dirigeant est un des plus importants du siècle, pourquoi les médias le diabolisent, pourquoi les Etats-Unis vont essayer de renverser la révolution, mais aussi la force de celle-ci.

    Chavez est un pilier de l'identité vénézuélienne contemporaine - Meriem Laribi
    Interview de Romain Migus, sociologue français vivant à Caracas.

    « ?L'amour est le combustible de la révolution? » - Meriem Laribi
    Violence, dictature, populisme ? Entretien avec Vincent, le sous-titreur des vidéos de Chavez.

    Chavez et la bataille planétaire - Charles Giuseppi
    Pourquoi l'Amérique latine s'est embrasée.

    Les athées prient pour Chavez - John Brown
    Ni un professionnel de la politique, ni un expert, un homme du peuple.

    « Tous sont Chavez même sans Chavez » - Fernando Morais
    Pourquoi la révolution lui survivra.

    La révolution, les femmes et la santé - Jean Araud
    A présent, tous les Vénézuéliens ont droit à des soins de qualité et gratuits.

    De la pauvreté extrême à la richesse humaine : les femmes au Venezuela - Jean Araud
    Récit d'une rencontre de Michel Collon avec des Vénézuéliennes.

    http://www.michelcollon.info/

    Maison du Peuple de Genève et Maison Populaire de Genève