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  • Don't Forget The 6-7 Sept 1955 Pogrom

    Don't Forget The 6-7 Sept 1955 Pogrom

    Today is the 55th anniversary of the beginning of the 6-7 September 1955 Pogrom in Turkey against Greeks and other Non-Muslim minorities. As the propaganda campaign related to the referendum on the new modification of the 1980 Constitution is being turned into a ridiculous circus show, either by the partisans or the opponents of this cosmetic changes, nobody among political leaders reminds this tragedy of the Republican period of Turkey. The Sept. 6-7, 1955 pogrom resulted in many deaths, huge property damage in Istanbul and Izmir, and precipitated the exodus of thousands of Istanbul’s ethnic Greek minority. Below is the extract of an article reported by Yorgo Kirbaki in Athens and  published on September 5, 2010, by the daily Radikal in Turkey:



    On this occasion, one of the Greece's best-selling newspapers, Ta Nea, has marked the date with the distribution of a movie on the events,
    “Pains of Autumn,” made by Turkish film director Tomris Giritlioğlu.

    “We – filmmakers – should work more for the two peoples’ wounds to be healed. For this [to be achieved], four films were made in the scope of Turkish cinema, of which two are mine. Unfortunately we do not see such examples from Greek Cinema. I expect similar works from Greek colleagues who share my artist sensitivity,” said Tomris Giritlioğlu.


    Ta Nea devoted four pages to covering the pogrom, in which it featured memories from Greece’s top-selling crime fiction novelist and screenwriter, Petros Markaris.

    Markaris, who was 18 at the time, spoke about the events at Heybeliada Island, where he was on holiday.

    “The commander of the Marine School on Heybeliada convinced the police chief not to let demonstrators set foot on the island. The police chief pulled his gun and halted the demonstrators when they arrived. I faced total devastation the following day when I went to the Beyoğlu, Fener and Kurtuluş [neighborhoods of Istanbul]. Wherever Greeks lived, that neighborhood’s school and church had been destroyed. It was impossible to walk in Beyoğlu because of the broken glass from shop windows and the rolls of fabric that had been thrown onto the street,” he said.

    “It is wrong to say that all Turks took part in or supported the events. There were Turks who helped their Greek neighbors, who protected and hid them,” he said.

    Reminiscing over some of his friends at the Austrian High School, he remembers being told, “‘Tell your complaints to Greece.’” Another student, however, said, “‘We do not approve of what has been done.’”

    Markaris said he never forgot his literature teacher telling him, “‘Petro, I want you to know, I am ashamed in the name of my people. I am apologizing to you.’ What my then 27-year-old literature teacher said, Turkey repeated 50 years later.”

    The atmosphere in Istanbul had been tense in the lead-up to the pogrom, especially because of Cyprus and demands from some for “Enosis,” or union, with Greece.

    “The word ‘Enosis’ was perceived as a curse by the Turks. The Greeks sensed they would be the scapegoats in this matter. The slogan ‘Speak Turkish, Citizen’ was becoming popular in Istanbul,” he said.

    “They blamed Adnan Menderes [first PM of Turkey in the multi-party era] for the Sep 6-7 events. However, we now understand years later that is not really an accurate reflection of what was happening. The Greek, Armenian and Jewish minorities who dominated trade in Istanbul had been living in fear since the start of World War II. There was an evil person who wanted to ‘reset’ those minorities: İsmet İnönü.”

    Markaris said President İnönü was a fan of the Germans and accused him of intending to emulate the Nazis and cleanse Istanbul of religious minorities.

    “The ‘20th Draw Safeguards’ in 1941, and the ‘Wealth Tax’ in 1942, were implemented in this scope,” Markaris said, in reference to various official policies essentially designed to economically impoverish non-Muslims.

    İnönü, however, was forced to loosen the measures after the Nazis were defeated at Stalingrad, giving religious minorities some time to recover, he said.

    As for Menderes, Markaris said he supported a liberal economy. “He let the minorities take initiative. The same Prime Minister Adnan Menderes, who the Istanbul Greeks saw as a ‘savior,’ left those people to the mercy of the mob.”

    Whether Turkey’s then-prime minister was notified of the pogrom beforehand or not, or whether the attack was a conspiracy from the secret services remains unknown.

    “The Greeks of Istanbul held Greece and Cyprus [responsible] for what happened to them. The generation that experienced those events has no sympathy for Greek Cypriots because of this,” he said.

     

    http://www.info-turk.be/385.htm#Forget

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  • Sami KANAAN soutien aux grévistes d’ISS de l’Aéroport

     

    Sami Kanaan, candidat socialiste au Conseil administratif de la Ville de Genève
    P1020666.JPG

    Dès le 10 juillet, le PSG a clairement soutenu la grève légitime des travailleuses et travailleurs d’ISS Aviation, qui, après les salariés de SWISSPORT, ont dû se mettre en grève suite à la décision de leur employeur de dénoncer la convention collective de travail (CCT) qui régissait leurs horaires et leurs conditions salariales.

    Jean-Charles Rielle, conseiller national socialiste, l’a d’ailleurs clairement rappelé lors de la dernière manifestation, tenue il y a deux semaines, et je ne ferai donc que rappeler le soutien du parti socialiste à ce combat légitime, et le réaffirmer haut et fort. C’est essentiel, alors que la grève se prolonge, avec tout qu’un mouvement représente comme charge pour vous, pour les personnes concernées et leurs familles, et que vous devez faire face à des tentatives de division et d’intimidation !

    Nous sommes fondamentalement attachés au respect des Conventions collectives de travail, leur extension et leur amélioration constantes.

    Ceci est encore plus valable dans des branches où les salaires sont bas, parfois même trop bas pour assurer un revenu décent aux travailleurs et travailleuses, à des familles modestes, avec une majorité de femmes, et souvent des familles monoparentales.

    Le fait de vouloir généraliser des salaires trop bas est inacceptable car cela reviendrait à multiplier des « working poors » dans un canton comme Genève, dont on connaît les coûts élevés de la vie ; nous ne pouvons accepter des salaires situés en-dessous du seuil de pauvreté !

    Nous devons d’autant plus le refuser que, dans ce canton, l’écart des revenus en fait qu’augmenter, accentuant ainsi les disparités sociales. Ces dernières années, le revenu des personnes les plus pauvres a diminué de 27% alors que le revenu des personnes les plus riches a augmenté de 5%, selon des données de l’Office fédéral de la statistique. Ainsi les riches deviennent encore plus riches alors que les personnes à bas revenus voient leur situation devenir plus difficile. Non, ce n’est pas une fatalité !!! C’est aussi pour cette raison que le combat des grévistes d’ISS est légitime.

    Nous exigeons que de véritables négociations aient enfin lieu, que ISS entre en matière sur les revendications des travailleurs et travailleuses et qu’une CCT digne soit rétablie !

    Nous exigeons que les régies publiques se comportent de manière exemplaire sur les sites dont elles ont la responsabilité, y compris pour les sous-traitants !

    Nous exigeons aussi que le Conseil d’Etat joue son rôle d’arbitre et de garant de conditions décentes sur le marché du travail, respectant ainsi l’engagement de combattre le dumping salarial.

     

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    Sami Kanaan, candidat socialiste au Conseil administratif de la Ville de Genève
    Genève, le 2 septembre 2010

     

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  • Sami KANAAN soutien aux grévistes d’ISS de l’Aéroport .

    Sami Kanaan, candidat socialiste au Conseil administratif de la Ville de Genève

     

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    Dès le 10 juillet, le PSG a clairement soutenu la grève légitime des travailleuses et travailleurs d’ISS Aviation, qui, après les salariés de SWISSPORT, ont dû se mettre en grève suite à la décision de leur employeur de dénoncer la convention collective de travail (CCT) qui régissait leurs horaires et leurs conditions salariales.


    Jean-Charles Rielle, conseiller national socialiste, l’a d’ailleurs clairement rappelé lors de la dernière manifestation, tenue il y a deux semaines, et je ne ferai donc que rappeler le soutien du parti socialiste à ce combat légitime, et le réaffirmer haut et fort. C’est essentiel, alors que la grève se prolonge, avec tout qu’un mouvement représente comme charge pour vous, pour les personnes concernées et leurs familles, et que vous devez faire face à des tentatives de division et d’intimidation !

    Nous sommes fondamentalement attachés au respect des Conventions collectives de travail, leur extension et leur amélioration constantes.

    Ceci est encore plus valable dans des branches où les salaires sont bas, parfois même trop bas pour assurer un revenu décent aux travailleurs et travailleuses, à des familles modestes, avec une majorité de femmes, et souvent des familles monoparentales.

    Le fait de vouloir généraliser des salaires trop bas est inacceptable car cela reviendrait à multiplier des « working poors » dans un canton comme Genève, dont on connaît les coûts élevés de la vie ; nous ne pouvons accepter des salaires situés en-dessous du seuil de pauvreté !

    Nous devons d’autant plus le refuser que, dans ce canton, l’écart des revenus en fait qu’augmenter, accentuant ainsi les disparités sociales. Ces dernières années, le revenu des personnes les plus pauvres a diminué de 27% alors que le revenu des personnes les plus riches a augmenté de 5%, selon des données de l’Office fédéral de la statistique. Ainsi les riches deviennent encore plus riches alors que les personnes à bas revenus voient leur situation devenir plus difficile. Non, ce n’est pas une fatalité !!! C’est aussi pour cette raison que le combat des grévistes d’ISS est légitime.

    Nous exigeons que de véritables négociations aient enfin lieu, que ISS entre en matière sur les revendications des travailleurs et travailleuses et qu’une CCT digne soit rétablie !

    Nous exigeons que les régies publiques se comportent de manière exemplaire sur les sites dont elles ont la responsabilité, y compris pour les sous-traitants !

    Nous exigeons aussi que le Conseil d’Etat joue son rôle d’arbitre et de garant de conditions décentes sur le marché du travail, respectant ainsi l’engagement de combattre le dumping salarial.

     

     

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    Genève, le 2 septembre 2010

    Sami Kanaan, candidat socialiste au Conseil administratif de la Ville de Genève

     

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