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Demir SÖNMEZ - Page 233

  • Un livre pour les parcs Genève

    Aujourd’hui entrer 12h et 14h à eu lieu à l'Espace Ville de Genève la distribution de 200 exemplaire du livre intitulé “Genève dans ses parcs” offert à la population pour le 150ième anniversaires des espaces verts par Guillaume Barazonne, Conseiller administratif et Nic Ulmi,journaliste et Magali Girardin,photographe les ont dédicacé pour tous, "Leur travail démontre toute l'importance de la nature en ville et nous incite à adapter nos espaces verts aux attentes du public, tout en préservant la flore"

     

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  • Mobilisation contre le "libre" échange

    Manifestation ce soir contre les traités internationaux de libre échange. Près de 1000 personnes ont défilé entre la zone piétonne du Mont-Blanc et l'OMC. Ils dénonçaient des négociation secrètes à l'OMC qui marquent une nouvelle escalade du pouvoir des multinationales au détriment de la démocratie. L'Accord sur le Commerce des Services (ACS ou TiSA en anglais), qui est un nouveau projet de libéralisation des services auquel participe 22 pays dont la Suisse. L'Accord de Partenariat Transatlantique (APT) ainsi que l'Accord de partenariat Transpacifique (TTP). Les participants ont écouté diverses prises de paroles : les syndicats, le FSL, Attac, des délégués d'Amérique latine, Uniterre, la Coordination Climat et Justice Sociale, le Mouvement vers une Révolution citoyenne, solidaritéS, le PdT, les Verts, le PS genevois, La Gauche ainsi que La Gauche Anticapitaliste.

     

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    Services publics, environnement et souveraineté populaire en danger!
    
Le « libre » échange menace la démocratie

    OMC, TiSA, APT...


    CONTRE de nouveaux traités négociés dans le dos des peuples!

    Le « libre » échange menace la démocratie

    Quinze ans après l'Accord multilatéral sur l'investissement (AMI), accord bloqué par une vague mondiale de protestations, des négociations secrètes en marge de l'OMC tentent à nouveau un véritable coup d'état mondial. Négociés en secret, de nouveaux traités permettraient aux multinationales d'attaquer en justice tout Etat dont les décisions pourraient nuire à leurs profits. Des amendes se chiffrant par milliards – imposées par des tribunaux extrajudiciaires composés d'avocats d'affaires – obligeraient les Etats à privatiser leurs services publics, puniraient un droit du travail trop contraignant ou encore une législation environnementale trop cohérente.

    OMC, TiSA, APT... Un traité peut en cacher un autre !
     

    Le 3 décembre, l'Organisation mondiale du commerce (OMC) se réunit à Bali. Les prétentions exorbitantes des multinationales ont bloqué les négociations depuis une douzaine d'années, d'où le recours à ces négociations parallèles et secrètes pour imposer un fait accompli :

    •    L'Accord sur le Commerce des Services (TiSA) actuellement négocié à Genève entre 27 pays dont les Etats-Unis, l'EU et la Suisse, imposerait la dérégulation de tous les services (notamment financiers !) et la privatisation des services publics. En effet, les Etats devraient subventionner autant les écoles et les hôpitaux privés que ceux du public, au nom d'une soi-disant « neutralité concurrentielle » ! Nos impôts financeraient leurs bénéfices !

    •    L'Accord de Partenariat Transatlantique (APT) entre l'Amérique du Nord et l'EU (et qui s'imposerait à la Suisse via les bilatérales) attaquerait la souveraineté des Etats et des citoyens dans tous les domaines, notamment l'agriculture et l'alimentation . Ceux-ci ne pourraient plus interdire les OGM (ni même les étiqueter!) ou les additifs alimentaires toxiques, ni garantir la protection des données sur Internet, ni réglementer la finance. Même une municipalité n'aurait plus le droit de choisir le type d'aliments pour ses cantines scolaires, car les Etats devraient veiller à la « mise en conformité de leurs lois, de leurs règlements et de leurs procédures » avec le traité.

    Sous couvert de stimuler une économie en crise, il s'agit en réalité d'éliminer toute règle pouvant limiter les bénéfices des transnationales et de livrer au capital financier des biens communs fruits de tant de luttes et sacrifices. Il s'agit des immenses « marchés » mondiaux des services publics, tels que la santé ($ 6460 milliards) ou l'éducation ($ 2500 milliards).

    De la politique fiction ? NON !

    Déjà, une multinationale réclame des milliards à l'Allemagne pour sa sortie du nucléaire ; une autre 1 milliard à la France pour le retrait d'un permis pour les gaz de schiste ; une troisième attaque un Etat qui a relevé son salaire minimum ! L'OMC a même condamné les Etats-Unis pour des boîtes de thon labellisées « sans danger pour les dauphins » ! Les traités bilatéraux récemment signés entre la Suisse et la Chine, comme avec la Colombie, font fi des aspects sanitaires et environnementaux de production, comme des libertés syndicales...

    Une fois adoptés, ces traités seraient imperméables aux alternances politiques et aux mobilisations populaires, car ils ne pourraient être amendés qu'avec le consentement unanime des pays signataires.

    C'est la souveraineté populaire, le principe même d'un contrôle du politique (et des tribunaux) sur l'économie et la société qui est en jeu!

    On comprend alors le secret qui entoure ces négociations. Alors que des centaines de multinationales y participent, rien ne doit filtrer aux journalistes et citoyens. Ils seront informés lorsqu'il sera trop tard.


    ATTAC Genève, Vaud, Pays de Gex, Haute Savoie · Communauté Genevoise d'Action Syndicale · SIT · SSP-vpod · UNIA · CETIM · Coordination Climat et Justice Sociale · La Gauche · Gauche Anticapitaliste · Forum Social Lémanique · Mouvement Vers une Révolution Citoyenne · Parti Socialiste genevois · Parti du Travail · Présence latino-américaine · Solidarité Bosnie GE · solidaritéS · Uniterre · Les Verts · www.acidus.ch.

     

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  • SIGNEZ CETTE PÉTITION " NON A L’EXTRADITION DE SUISSE DES OPPOSANT-E-S POLITIQUES KURDES ET TURCS "

    SIGNEZ CETTE PÉTITION " NON A L’EXTRADITION DE SUISSE DES OPPOSANT-E-S POLITIQUES KURDES ET TURCS "

     

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    Le lien pour signer la pétition:


    http://www.assmp.org/spip.php?article784

     

    Le gouvernement turc a accentué ces derniers mois la répression et l’intimidation vis-à-vis des opposant-e-s au régime. Désormais, les requérant-e-s d’asile et les réfugié-e-s en Suisse sont également en danger. En effet, des dossiers en vue de leur extradition sont déposés auprès de l’Office fédéral de la justice et de police (OFJ ci-après).


    Aujourd’hui, l’OFJ fait sienne, sans la moindre critique, la position du gouvernement turc qualifiant les opposant-e-s politiques de terroristes. De son côté, l’Office fédéral des migrations (ODM ci-après) tend à changer sa pratique en matière d’asile en acceptant que les condamnations politiques fondées sur la loi anti-terreur en Turquie sont le résultat de procès équitables et justes dans un Etat de droit. Or, toutes les organisations de défense des droits humains, notamment Human Rights Watch, condamnent les pratiques actuelles de répression de la justice turque qui poursuit les manifestant-e-s et les militant-e-s politiques les qualifiant, par principe, comme ayant agi dans l’intérêt d’organisations illégales.

    C’est ainsi que depuis 2009, plus de 10’000 cadres politiques kurdes ont été arrêté-e-s et poursuivi-e-s sur cette base. Récemment, de nombreux-ses avocat-e-s défendant les prisonnier-ère-s politiques ont été arrêté-e-s avant d’être accusé-e-s du même crime que leurs client-e-s.

    Dans ce contexte, M. Özcan DUTAGACI, âgé de 27 ans, fait actuellement l’objet d’une demande d’extradition. C’est un opposant politique très actif dans la société civile, entre les années 2003 et 2007, dans sa ville natale de Tunceli. Il était membre du comité de l’Association des droits humains pour la Liberté dont les activités ont été farouchement réprimées. L’engagement de M. DUTAGACI au sein de cette association lui a valu des condamnations pour avoir lu un texte publiquement dénonçant l’usage des armes chimiques par l’armée turque contre les opposant-e-s kurdes, pour avoir publiquement dénoncé l’exécution sommaire d’un chauffeur de taxi par les forces de l’ordre et pour participation à des manifestations légales. M. DUTAGACI a été fallacieusement condamné pour appartenance à une organisation illégale à une peine ferme de 6 ans et 3 mois. Les chefs d’accusation étaient fondés sur les seules déclarations d’un agent délateur mettant en cause au total 20 personnes. Celui-ci avait, en échange de ses propos accusatoires à la police, pu négocier la nature et la quotité de sa peine. M. DUTAGACI a été accusé à tort d’avoir fourni des armes à une organisation interdite. Au procès, l’agent délateur n’a pas manqué de se contredire sur toutes ses déclarations. Quant au deuxième témoin entendu par le tribunal, il a mis hors cause M. DUTAGACI.

    Sur la base de ce jugement inique, les autorités turques ont demandé en juin 2011 l’extradition de M. DUTAGACI pour participation à une organisation illégale. L’OFJ a soutenu cette demande et a décidé de donner suite à la requête d’extradition, considérant comme équitable le procès dont il a été l’objet. Cette position de l’OFJ est extrêmement inquiétante. Elle est contraire au fondement même du droit d’asile. Il se trouve en Suisse plusieurs milliers de réfugié-e-s politiques provenant de la Turquie dont une grande majorité ont été condamné-e-s au même titre que M. DUTAGACI. Toutes ces personnes peuvent désormais, avec la nouvelle pratique de l’OFJ, être qualifiées de terroristes et risquent des procédures d’extradition.

    Les soussigné-e-s demandent à l’OFJ de refuser, hormis les crimes énumérés dans les conventions internationales, de cautionner les procédures judiciaires arbitraires amenant à des condamnations politiques en Turquie et de s’opposer sur cette base aux demandes d’extradition concernant les opposant-e-s politiques, en particulier celle de M. DUTAGACI.

    Contact : non.extradition.dutagaci@gmail.com

    Premier-ères signataires : Luc RECORDON, Conseiller aux Etats, Vaud, Carlo SOMMARUGA, Conseiller national, Genève, Liliane MAURY PASQUIER, Conseillère aux Etats, Genève, Eric VORUZ, Conseiller national, Vaud, Jacques NEIRYNCK, Conseiller national, Vaud, Josef ZISYADIS, ancien Conseiller national, Vaud, Jean-Michel DOLIVO, avocat, Sebastien GUEX, Professeur, Université de Lausanne, Marlene CARVALHOSA BARBOSA, doctorante, Université de Lausanne, Jean BATOU, Professeur, Université de Lausanne,