NASA: Le trait d’union entre la terre et l’univers
Kennedy Space Centre de Floride
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Washington demande à Ankara de faire pression sur la Syrie
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a demandé dimanche au ministre turc des Affaires étrangères de demander à la Syrie de "renvoyer ses soldats dans leurs casernes".
Au cours d'un entretien téléphonique avec Ahmet Davutoglu, Mme Clinton a évoqué la situation en Syrie et les appels de la communauté internationale pour que cesse la répression militaire contre les opposants.
"La secrétaire Clinton a discuté de la position américaine selon laquelle la Syrie doit immédiatement renvoyer ses soldats dans leurs casernes et libérer tous les prisonniers", a déclaré le porte-parole du departement d'Etat Mark Toner.
"Elle a demandé au ministre des Affaires étrangères de répercuter ces messages au gouvernement syrien. Elle a également réitéré le soutien américain en faveur d'une transition démocratique en Syrie", a-t-il précisé.
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan avait annoncé samedi que le chef de la diplomatie Ahmet Davutoglu se rendrait mardi en Syrie pour transmettre "avec détermination" au régime de Damas les "messages" d'Ankara, "à bout de patience" face à la violence de la répression dans ce pays.
"Nous sommes arrivés à bout de patience et c'est pourquoi j'envoie mardi le ministre des Affaires étrangères en Syrie", a déclaré lors d'un repas de rupture de jeûne du ramadan M. Erdogan, cité par l'agence de presse Anatolie.
"Il aura des entretiens là-bas au cours desquels il transmettra nos messages avec détermination", a-t-il poursuivi.
Le Premier ministre a estimé que la Turquie "ne peut pas rester spectatrice" face à des événements survenant dans un pays avec lequel elle partage "une frontière de 850 km, des liens historiques, culturels et familiaux".
"Nous ne considérons pas les problèmes en Syrie comme une question de politique étrangère mais comme une affaire intérieure", a-t-il estimé. "Nous devons écouter les voix qui viennent de là-bas, nous les écoutons et nous faisons le nécessaire".
Ankara, dont les liens avec la Syrie se sont resserrés ces dernières années, a appelé le président syrien Bachar al-Assad à entamer des réformes, sans aller toutefois pour l'instant jusqu'à réclamer sa démission.
En juin, M. Erdogan, a accusé Damas d'avoir commis des "atrocités" à l'encontre des manifestants. Un terme dont la Turquie n'avait jamais usé auparavant pour critiquer la répression en Syrie.
Depuis le début le 15 mars de la contestation en Syrie, plus de 1.600 civils ont été tués et au moins 12.000 arrêtés, selon des organisations de défense des droits de l'Homme. (AFP, 7 août 2011)