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  • 24 heures pour sauver Sakineh

     

    24 heures pour sauver Sakineh

     

     

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    Savez-vous que l'Iran pourrait exécuter Sakineh Ashtiani aujourd'hui?

     

    Je viens d'envoyer un message urgent aux alliés de l'Iran et aux principaux pays influents à l'ONU les appelant à intervenir pour sauver la vie de Sakineh.

     

    Découvrez plus d'informations ci-dessous et envoyez un message à votre tour:


    http://www.avaaz.org/fr/24h_to_save_sakineh/98.php?CLICKTF

     

    Chers amis,


    Aujourd'hui, l'Iran pourrait exécuter Sakineh Ashtiani.


    Notre mobilisation mondiale a stoppé la terrible sentence de lapidation en juillet dernier. A présent, nous avons 24 heures pour lui sauver la vie.


    Les alliés de l'Iran et les principaux membres de l'ONU sont notre meilleur espoir -- ils pourraient persuader l'Iran de renoncer à une exécution très suivie et au coût politique important. Cliquez ci-dessous pour leur envoyer un appel urgent à l'action et faites suivre le message à tous -- cela ne vous prendra que 3 minutes et nous sommes sa dernière chance:

     

    http://www.avaaz.org/fr/24h_to_save_sakineh/98.php?CLICKTF

     

    Le cas d'adultère impliquant Sakineh est une affaire honteuse et tragique reposant sur de nombreuses violations des droits humains. Elle a d'abord été condamnée à la lapidation. Mais le gouvernement iranien a révoqué cette sentence après la mobilisation mondiale lancée par ses enfants et dénonçant une farce de procès -- Sakineh ne parlait pas la langue utilisée par le tribunal, et les actes d'adultère dont on l'a accusée seraient survenus après la mort de son mari.

     

    Puis son avocat a été contraint à l'exil, et l'accusation a imaginé de nouvelles poursuites pour lesquelles elle serait exécutée: le meurtre de son mari. Bien qu'il s'agisse d'une double poursuite, puisqu'elle croupie déjà en prison pour complicité présumée dans ce crime, Sakineh a été torturée, a "avoué" lors d'une confession mise en scène à la télévision nationale, et a finalement été reconnue coupable. Depuis, le régime a arrêté deux journalistes allemands, ainsi que son avocat et son fils, qui a mené avec courage la campagne internationale pour sauver sa mère. Ils sont tous emprisonnés et le fils et l'avocat de Sakineh ont eux aussi été torturés et n'ont accès à aucun avocat.

     

    A présent, les militants iraniens des droits humains affirment que Téhéran vient de donner l'ordre d'exécuter immédiatement la peine de mort visant Sakineh. Elle figure sur la liste des exécutions et les prochaines ont lieu demain.

     

    Notre campagne tenace a conduit l'Iran à renoncer à la mise à mort de Sakineh par lapidation et a attiré l'attention des dirigeants des pays ayant une influence sur l'Iran, comme la Turquie et le Brésil. Nous devons aujourd'hui faire entendre nos voix au plus vite pour empêcher son exécution et tout traitement inhumain, et pour la libérer ainsi que son fils, son avocat et les journalistes allemands emprisonnés. Envoyez un message et diffusez cet appel urgent à vos amis et vos proches:

     

    http://www.avaaz.org/fr/24h_to_save_sakineh/98.php?CLICKTF

     

    Un gigantesque appel de l'opinion publique a l'autorité morale nécessaire pour empêcher les crimes les plus odieux. Utilisons ces 24 heures pour envoyer un message clair -- le monde est attentif et nous unissons nos voix aujourd'hui pour sauver la vie de Sakineh et dénoncer partout l'injustice dans le monde.

     

    Avec espoir et détermination,

     

    Alice, Stephanie, Pascal, Giulia, Benjamin et toute l'équipe d'Avaaz

     

    Sources:

     

    Sakineh pourrait être exécutée en Iran mercredi, NouvelObs:

    http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20101102.OBS2195/sakineh-pourrait-etre-executee-en-iran-mercredi.html

     

    Communiqué du Comité international contre la lapidation (en anglais):

    http://stopstonningnow.com/wpress/4194

     

    Iran: les comités de soutien à Sakineh redoutent une exécution imminente, AFP:

    http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gLkSHuZ8nmtuGN-FF63qMt4YEDMw?docId=CNG.9a39f47e52f9072d76bbc16bfadabde8.501

     

    Iran : Sakineh pourrait être exécutée mercredi, Le Parisien:

    http://www.leparisien.fr/international/iran-sakineh-pourrait-etre-executee-mercredi-02-11-2010-1133070.php

     

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  • Grâce à votre soutien, M. Onur YÜRÜKLÜ a été libéré !

    Madame, Monsieur,

    Chère amie, cher ami,

    Nous avons l’immense joie de vous annoncer que M. Onur YÜRÜKLÜ a été libéré en ce jour du 29 octobre 2010.

    Grâce à votre soutien et à l’action d’élus cantonaux et fédéraux (Mme Bolay Loly, Mme Arx-Vernon von Anne-Marie, Mme Moyard Marie Salima, Mme Mahrer Anne, M.René Longet, M.Jean Charles Rielle, M.Carlos Sommaruga, M.Josef Zisyadis, Christian Dandrès,) ou de responsables syndicaux, écrivains, défenseurs des droits de l’homme, organisations humanitaires...

    Ainsi notre camarade échappe à la prison et à la torture qui l’attendait en Turquie.

    Nous adressons nos plus vifs remerciements à tous ceux et toutes celles qui se sont mobilisées par solidarité.

     

    M.Onur YÜRÜKLÜ

    M.Onur YÜRÜKLÜ

     

    Demir SÖNMEZ et M.Onur YÜRÜKLÜ

     

    Comité de Soutien à M.Onur YÜRÜKLÜ

    Claude REYMOND     Demir SÖNMEZ

     

     

    Maison Populaire de Genève

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    23ème jour la grève de la faim à la prison de Frambois à Genève Silence ne sauvera pas la vie de M. Yürüklü. Réagissez !

    20ème jour la grève de la faim à la prison de Frambois à Genève

    Silence ne sauvera pas la vie

    de M. Yürüklü. Réagissez !

    M. Yürüklü poursuit une grève  de la faim depuis le 7 octobre 2010 à Frambois (Genève)

    pour protester contre son renvoi de Suisse.

     

    AUX AUTORITÉS GENEVOIS, SUISSES, AUX DÉPUTES-ES DU PARLEMENT EUROPÉEN, DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES, DES DÉFENSEURS DES DROITS DE L’HOMME ET AUX MÉDIAS.


    Arrêt immédiat de l’expulsion forcée !

    SIGNEZ LA PETITION POUR LIBERTE Monsieur ONUR YÜRÜKLÜ

    http://www.assmp.org/spip.php?article521

     

    Il y a une nouvelle expulsion forcée à l’ordre du jour.

    Passé par la Grèce pour arriver en Suisse il y a 7 mois, Onur Yürüklü a été arrêté dans son centre d’accueil le 7 octobre pour être placé dans une prison destinée aux expulsions forcées. Les autorités helvétiques veulent renvoyer en Grèce Onur Yürüklü, condamné à 3 ans de prison ferme en Turquie pour des raisons politiques et en attente d’un jugement pour 20 ans supplémentaires pour d’autres dossiers.

    Actuellement détenu en prison à Genève et en grève de la faim, Onur Yürüklü est en train de se faire expulsé en contradiction du droit international. Alors que récemment un demandeur d’asile nigérian à été assassiné par la police à Zurich lors de son expulsion par la force, de nouveau un demandeur d’asile est expulsé par la même méthode. Ce comportement contre les droits humains doit immédiatement cesser.

    Onur Yürüklü a subi des pressions lors de son passage par la Grèce, il a été insulté par les autorités locales malgré le fait qu’il a affirmé qu’il ne voulait pas faire une demande d’asile et qu’il voulait partir vers la Suisse. Malgré les déclarations faites par les autorités helvétiques, son expulsion vers la Grèce la Grèce est illégale. C’est une violation des droits humains.

    Le refoulement vers la Grèce de Onur Yürüklü, uniquement enregistré en Suisse, est contraire aux Conventions de Genève. La Suisse doit cesser immédiatement ces pratiques. Onur Yürüklü doit être libéré immédiatement et sa situation doit être garantie par la loi.

    Nous les signataires, privés et publics, demandons la libération de Onur Yürüklü. Son processus de demande d’asile doit se poursuivre et nous voulons que ce droit lui soit accordé.

     

    SIGNEZ LA PETITION POUR LIBERTE Monsieur ONUR YÜRÜKLÜ

    http://www.assmp.org/spip.php?article521

     

    Les signataires : IGIF, MAISON POPULAIRE GENEVE et BERNE, CCA(Centre Culture Anatolienne), BEKSAM, ZEKM

     

    Maıson Populaire de Genève

    Demir SÖNMEZ

    assmp@assmp.org

    www.assmp.org


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  • FEJ: La prison pour faire taire les Kurdes

    FEJ: La prison pour faire taire les Kurdes

     

    Joignez-vous à la FEJ et à son organisation affiliée, le Syndicat des journalistes de Turquie (TGS), pour demander la remise en liberté immédiate et inconditionnelle des journalistes prisonniers. Signez et envoyez une carte postale électronique au Premier ministre Erdogan à :

    http://www.ifj.org/en/pages/set-turkish-journalists-free

     

    En dépit de l’intérêt renouvelé du Premier ministre de la Turquie pour une paix permanente avec la population kurde du pays, quiconque se prononce au nom de la minorité ethnique risque toujours d’incroyables peines de prison, selon ce que rapportent la Fondation de Communication IPS (BIANET) et d’autres sources d’informations.

     

    Par exemple, le populaire chanteur kurde Ferhat Tunc risque jusqu’à quinze ans de prison pour avoir diffusé de la propagande en faveur du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK), interdit, dans un discours qu’il a prononcé l’an dernier lors d’un festival culturel qui s’est tenu dans la province de Siirt, au sud-est du pays, rapporte BIANET. Dans son discours, Tunc s’était dit enthousiasmé à la perspective de paix avec la Turquie après 25 ans d’un conflit sanglant. Plus de 1 000 personnes ont signé une pétition pour exiger l’abandon des accusations portées contre lui.

     

    Par ailleurs, si le procureur public a gain de cause, Gurbet Cakar, directrice de la rédaction du seul et unique magazine de Turquie pour les femmes, « Renge Heviya Jine », devra passer les vingt prochaines années derrière les barreaux parce qu’elle aurait répandu « de la propagande organisationnelle, comme si le magazine était un organe de publication du PKK ».

     

    Dans une autre affaire, plus de 50 politiciens de la Société Démocratique (DTP), pro-kurde, ont vu le mois dernier leur sentence être confirmée pour avoir protesté contre la fermeture de la station kurde « Roj TV », une chaîne diffusant par satellite des émissions en provenance du Danemark. En avril 2008, ils ont été reconnus coupables « d’avoir louangé un crime et un criminel » et doivent donc acquitter chacun une amende de près de 600 $US.

     

    Et dans une autre affaire encore, Aziz Ozer, directeur de la rédaction du magazine « Guney », est passible de sept ans et demi de prison pour avoir publié un compte rendu d’un membre du PKK et une caricature jugée sympathique à la violence du PKK.

     

    Selon les dépêches, les peines de prison infligées surviennent au moment où le gouvernement du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan tente de se gagner la faveur des Kurdes de Turquie - qui représentent 20 pour 100 de la population du pays - en leur accordant davantage de droits culturels. Apparemment, les officiels turcs auraient tenu des pourparlers secrets avec un chef rebelle kurde emprisonné afin de tenter de mettre fin au sanglant conflit qui oppose le pays à ses rebelles en quête d’autonomie.

     

    D’après les observateurs britanniques qui assistent au procès, la meilleure explication de l’appui du gouvernement turc aux poursuites, c’est qu’un grand nombre des défendeurs appartiennent à l’opposition - et que l’année prochaine est une année d’élection.

    Au pire, ces procès sont entièrement politiques « et visent à détruire ou à restreindre toutes les activités et les initiatives mises en oeuvre au sein de la population kurde, et à démolir ses principales institutions et les organisations vitales de la société civile », a déclaré la délégation britannique, composée de députés, d’avocats et de défenseurs des droits de la personne.

    Le groupe rebelle kurde a proclamé récemment un cessez-le-feu unilatéral dans l’espoir d’entamer un dialogue, mais la Turquie n’en a tenu aucun compte.

    Quarante journalistes turcs sont actuellement en prison en attente de procès pour des accusations d’avoir violé le code pénal turc ou les lois antiterroristes dans le cadre de leur travail de journalistes, indiquent la Fédération européenne des journalistes (FEJ), la section européenne de la Fédération internationale des journalistes (FIJ). Plus de 700 journalistes turcs sont susceptibles de poursuites judiciaires et de congédiement, en plus de la menace d’emprisonnement.


    Joignez-vous à la FEJ et à son organisation affiliée, le Syndicat des journalistes de Turquie (TGS), pour demander la remise en liberté

    immédiate et inconditionnelle des journalistes prisonniers. Signez et envoyez une carte postale électronique au Premier ministre

    Erdogan à :

    http://www.ifj.org/en/pages/set-turkish-journalists-free

     

     

     

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