Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politique - Page 59

  • 34 membres d’un "groupe de paix" sont entrés en Turquie !

    34 membres d’un "groupe de paix" sont entrés en Turquie !


    Les autorités turques ont libéré mardi 34 civils et rebelles kurdes qui 34 membres du "groupe de paix" se sont présentés lundi au poste frontière de Habur pour soutenir le projet de réformes d’Ankara et ont été libérés après des interrogatoires par des procureurs.


    34 membres d’un "groupe de paix" sont entrés en Turquie

    Les autorités turques ont libéré mardi 34 civils et rebelles kurdes qui 34 membres du "groupe de paix" se sont présentés lundi au poste frontière de Habur pour soutenir le projet de réformes d’Ankara et ont été libérés après des interrogatoires par des procureurs.

    Huit rebelles venant d’une base du PKK dans les monts Kandil (nord de l’Irak), se sont présentés, sans armes, .

    Ils étaient accompagnés d’un second "groupe de paix" composé de 26 civils, dont femmes et enfants, en provenance du camp de réfugiés kurde de Makhmour (nord de l’Irak), où résident depuis les années 1990 quelque 12.000 kurdes exilés de Turquie sous la supervision du PKK.

    Dès leur arrivée en territoire turc, les 34 personnes ont été interrogées à Silopi, ville du sud-est anatolien proche de la frontière irakienne, par des procureurs pour déterminer s’ils ont commis des crimes afin éventuellement de les incarcérer.

    Plus de 40 avocats devaient assister aux interrogatoires, dans une caserne de l’armée.

    Les responsables turcs ont affirmé que les membres du groupe étaient les bienvenus s’ils venaient en Turquie pour se rendre, mais Murat Karayilan, un des principaux dirigeants du PKK, a affirmé à l’agence de presse Firat News que leur geste ne constituait pas une reddition.

    Des manifestation de soutien à l’initiative du PKK ont eu lieu dans plusieurs villes, à l’appel du principal parti prokurde de Turquie, le Parti pour une société démocratique (DTP). A Diyarbakir, la principale ville du sud-est anatolien, peuplé en majorité de Kurdes, quelque 5.000 personnes ont manifesté sur une place du centre-ville aux cris de "les émissaires de paix sont notre honneur" et "main dans la main pour une paix honorable" et ont scandé des slogans favorables à Abdullah Öcalan, le chef emprisonné du PKK.

    Des manifestations ont eu lieu dans plusieurs autres villes de la région : Mus, Batman, Mardin, Tunceli et Van. A Istanbul, métropole de l’ouest du pays accueillant une importante communauté kurde, entre 2.000 et 2.500 manifestants, selon la police, ont défilé sur l’avenue Istiklal, une artère commerciale du centre-ville.

    Rassemblés derrière une banderole affirmant "ouvrez la voie à la paix", les manifestants, qui faisaient avec la main le "V" de la victoire, ont scandé des slogans tels que "bravo au PKK, le peuple est avec toi" ou "l’ambassadeur de la paix est à Imrali", faisant référence à l’île prison d’Imrali, où est écroué Öcalan.

    Le PKK a annoncé la semaine dernière qu’il allait envoyer en Turquie des "groupes de paix" provenant d’Irak et d’Europe à l’appel de son chef emprisonné Abdullah Öcalan, pour soutenir les efforts menés par le gouvernement turc en direction d’une résolution du conflit kurde.

    Firat News a rapporté que les groupes étaient porteurs d’une liste de demandes à remettre aux autorités turques, comprenant la fin des opérations de l’armée kurde contre les rebelles, des négociations, une reconnaissance constitutionnelle de l’identité kurde et d’avantage de droits culturels pour les membres de cette minorité. (AFP, 20 oct 2009)

     

    http://www.info-turk.be/374.htm#34

     

    mardi 20 octobre 2009, par Maison du Peuple de Genève et Maison Populaire de Genève

     

     

    Lien permanent Catégories : Politique
  • ÖZDEN Melik, candidat au Grand Conseil (liste n° 3, Les socialistes)

      

    ÖZDEN Melik, candidat au Grand Conseil


    (liste n° 3, Les socialistes)

     

    ÖZDEN Melik-400×600.jpg

      

     

    ÖZDEN Melik, candidat au Grand Conseil

     

    (liste n° 3, Les socialistes)

     

    Madame, Monsieur,

    Cher-e-s ami-e-s,

    Nous nous permettons vous adresser le présent message afin de solliciter votre soutien à la candidature de ÖZDEN Melik au Grand Conseil genevois le 11 octobre 2009. Militant socialiste et de solidarité international, défenseur des droits des plus démunis (jeunes, personnes âgées, migrants, sans-emplois, « sans-papiers »...) et porte-voix des peuples opprimés auprès du Conseil des droits de l'homme de l'ONU, nous sommes témoins (depuis plus de 20 ans) de l'engagement de ÖZDEN Melik dans ces luttes.

    Nous vous remercions d'avance de votre soutien à sa candidature.

     

    Maison Populaire de Genève

    Demir SÖNMEZ

    www.assmp.org

     

     

     

     

    Melik Özden, candidat au Grand Conseil (liste n° 3, Les socialistes)

     

    Membre du Parti socialiste genevois et engagé depuis 25 ans dans le milieu associatif (membre fondateur de la Maison des associations entre autres), je milite activement pour des relations pacifiques, respectueuses et solidaires entre les pays ; le respect et la promotion des droits humains, en particulier des droits économiques, sociaux et culturels (droits à l’alimentation, au logement, à l’éducation, etc.) ; la justice sociale et pour un développement harmonieux et durable.

     

    J'estime que l'engagement politique est indispensable pour contribuer à la construction d'un monde

    meilleur. A part mes engagements associatifs, je suis conseiller municipal dans la commune de

    Confignon.

     

    Election du Grand Conseil de Genève

     

    Le 11 octobre 2009, les genevois éliront les membres de leur Grand Conseil. Dans un contexte de crises multiples (économique, financière, environnementale, sociale...) et de mutation, Genève est confronté à de nombreux défis. Si les problèmes posés paraissent complexes à certains égards, les attentes principales des citoyens et citoyennes sont simples et légitimes: une éducation et formation de qualité, un logement adéquat, un emploi offrant des conditions respectueuse de la dignité humaine, un accès aux soins de santé et aux prestations sociales de qualité.

     

    Pourtant, les orientations politiques suivies ces dernières années ont exacerbé les inégalités et les discriminations. Elles ont en même temps permis l'envahissement de l'espace politique par des discours populistes prônant l'exclusion, la discrimination et la répression comme seule réponse à une population aux abois.

     

    Les citoyens et citoyennes d'une cité disposant d'un héritage culturel remarquable, d'une société multiculturelle pleine de richesse et de moyens non négligeables (à tous les niveaux) ne peuvent pas céder aux sirènes des marchands du temple. C'est pourquoi, il est temps de choisir un Grand Conseil de gauche le 11 octobre prochain.

     

    En effet, il est impératif qu'une majorité de gauche reconquière le parlement genevois qui est capable d'élaborer et de surveiller la mise en oeuvre des lois en faveur de la justice sociale et d'une société solidaire.

     

    Votez et faites voter pour la liste no 3 et les candidat-e-s de gauche !

     

     

     

     

    Lien permanent Catégories : Politique
  • ELECTION DU GRAND CONSEIL GENEVOIS

    ELECTION DU GRAND CONSEIL

     

    GENEVOIS

     

    DU 11 OCTOBRE 2009

     

     

    VOTEZ POUR

     

    UNE GENEVE SOCIALE, DEMOCRATIQUE, ECOLOGIQUE,

     

    ANTINUCLEAIRE, ACCUEILLANTE ET GENEREUSE, SOLIDAIRE AVEC

     

    LE TIERS-MONDE, ANTIMILITARISTE ET OUVERTE SUR LE MONDE

     

    ET SES CULTURES…

     

     

     

    Genève le, 29 septembre 2009


     


     

     

    Ce 11 octobre, les citoyennes et citoyens Genevois seront appelés à élire leurs autorités.

    En ce début du troisième millénaire, notre cité est confrontée à des défis de tailles. Nous constatons que les riches deviennent plus riches et les pauvres plus pauvres. Dans un tel contexte, on ne peut pas parler de la justice sociale. La crise économique et financière en cours, si on ne prend pas de bonnes options, risque d'accentuer le fossé entre les riches et pauvres.

     

     

    Nous, les travailleurs, salariés, migrants, jeunes, étudiants, pauvres, retraités, handicapés et « sans-papiers », n'avons pas besoin de candidat-e-s qui se rappellent à nous uniquement en périodes électorales. Nous avons besoin de candidat-e-s qui empoignent nos problèmes et proposent des solutions, tout en étant artisans de la mise en œuvre réelle de ces propositions.

     

     

    Il n'est pas admissible, ni moralement, ni politiquement, que la facture des crises économiques soit payée sur le dos des pauvres ou que les coupes soient faites, en particulier, dans les prestations des retraités, d'handicapés ou de toutes personnes dans le besoin.

     

     

    Il n'est pas admissible non plus, ni moralement, ni politiquement, que l'Etat fasse la sous-enchère salariales au moment où la disparité sociale se creuse de plus en plus dans notre canton. Le système dit des « emplois de solidarité » s'inscrit dans cette catégorie. Quelque soit l'intention, le résultat de ce système inique est la sous-enchère salariale au grand bonheur du patronat, étant donné qu’une personne au chômage doit accepter  l’équivalent de  prés de 50% de son dernier salaire (3.000 à 3.500.- brut  par mois) ! A n’en pas douter cela revient à condamner les chômeurs en fin de doit à l’assistance. Par ailleurs, il est évident que ce système n’est pas une réponse au chômage. Il faut créer de vraies places de travail.

     

     

     

    L'Histoire récente nous démontre que les gouvernements successifs dans notre canton n'ont pas apporté de réelles solutions aux problèmes sociaux. Au contraire, ils les ont exacerbés.

     

     

    C'est pourquoi, nous attendons que les partis politiques respectent et relayent les revendications des citoyens qu'ils sont sensés représentés.

     

     

    Nous souhaitons voir les partis politiques au service de la société et des citoyens.

     

     

    Les genevois doivent choisir des candidat-e-s qui sont capables de s'attaquer à des problèmes de fonds.

     

     

    Si l'on veut que Genève retrouve sa réputation et sa vocation  de «  Ville de Paix »;

     

     

    Si l'on veut une Genève qui refuse non seulement la guerre, mais aussi la misère, la haine et la destruction de l’environnement;

     

     

    Si l'on veut que Genève s’engage pour le respect de l’Autre, de sa culture, ses opinions;

     

     

    Si l'on veut que Genève continue à accueillir les opprimés du monde entier, qu’elle s’engage contre la torture, les disparitions et contre toute pratique arbitraire;

     

     

    Si l'on veut que Genève soit une ville de progrès social où chacun-es, quel que soit son âge, son sexe ou sa nationalité, ait réellement droit au logement, aux prestations sociales et au respect;

     

     

    Si l'on veut que Genève redoivent une ville internationale qui lutte pour un avenir de l’Humanité autre que celui de la misère, la famine, les épidémies et la guerre : un avenir pour nos enfants;

     

     

    Votez pour les candidat-e-s qui défendent ces valeurs.

     

     

    Cette Genève-là, ce sont TOUS les partis de gauche qui la représentent. En effet, d’expérience, nous savons que de la droite et de la gauche ce sont les militant-es de cette dernière qui défendent le mieux les intérêts des travailleuses et travailleurs, des chômeurs et retraités, mais aussi les droits des étrangers et immigrés.

     

     

    D'expérience, nous savons aussi que ce n’est que lorsque la gauche a été majoritaire que nos valeurs de justice ont été les mieux défendues, que les droits, prestations sociales et la culture ont progressé.

     

     

    C'est pourquoi, l’association Maison populaire de Genève vous invite à voter pour les candidat-es des listes de la gauche genevoise, dont elle a pu mesurer la valeur durant ces dernières années.



    Ce sont des militant-e-s associatifs et politiques engagé-e-s. La défense des droits humains, ceux de la population immigrée et de l’environnement guident leur action.

     


    Genève a besoin de gens comme ceux et celles-là.

     

     

     

    Pour une Genève sociale, démocratique, écologique, antinucléaire, accueillante et généreuse, solidaire avec le Tiers-monde, antimilitariste et ouverte sur le monde et ses cultures, votez pour les listes :


     


     

     

     

    LES SOCIALISTES                                                                        Liste       3

     

     

    LISTE 3 GENEVE.jpg

     

    SOLIDARITÉS – PARTI DU TRAVAIL                                         Liste       4

     

    aff_liste4.jpg

     

    LES VERTS                                                                                    Liste       5

     

    affiche_2_20090827_2009759242.jpg

     

    DÉFENSE DES AÎNÉS, DES LOCATAIRES, DES L’EMPLOI

    ET DU SOCIAL                                                                              Liste       8

     

     
     
    affiche_liste_8.jpg
     
     
     

    Pour la Maison populaire de Genève

     

    Demir Sönmez,

     

    www.assmp.org

    assmp@assmp.org

     

      

    L’Association Maison Populaire de Genève lutte pour l’intégration des communautés turques et kurdes dans la société genevoise, pour la défense des

     

    droits de l’Homme, pour l’environnement, pour la paix et la diversité culturelle.

     

     

     

     
    Lien permanent Catégories : Politique