En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Deuxième dimanche du marché d’Onex. Chaque dimanche 08h00 – 14h00 ouverture du marché. Autorités onusiennes et autorités de la commune discutent ensemble de leur problèmes. Le marché d’Onex c’est un marché mais aussi un espace sociale, culturel, politique.
Deux Candidats Conseil d’Etat Mme Anne Emery Torracinta (Parti socialiste Genève), M. Eric Stauffer (MCG) candidats étais présent au marché d' Onex pour leur campagne électorale et Mme Carole-Anne Kast, Maire d’Onex soutien sa camarade Mme Anne Emery Torracinta.
Photos : Demir SÖNMEZ
Mme Carole-Anne Kast (Maire d’Onex)
et
Candidat Conseil d’Etat Mme Anne Emery Torracinta (Parti socialiste Genève)
Aujourd’hui à la place du Molard, GenevAnimaliste a organiser une action “Le lait tue” je fait une interview avec un militant de Genevanimaliste (Jérome DUMARTY)
POURQUOI LE LAIT TUE ?
Photos : Demir SÖNMEZ
Communiqué de presse Mobilisation dans toute la Suisse pour l'abolition de la production et de la consommation de lait
En réaction à la "Journée du lait" proclamée par Swissmilk, et
Parce qu'il n'y a pas de lait sans veau tué, Parce que les vaches laitières subissent une vie de souffrance continue, Parce que les produits laitiers ne sont ni nécessaires ni bénéfiques à la santé humaine,
Nous demandons l'arrêt des subventions à l'industrie laitière, et visons l'abolition de la production et de la consommation de produits laitiers.
Des stands d'informations et de dégustation de laits végétaux seront tenus à Berne, Zürich, Bâle, Lausanne et Genève, une initiative conjointe des groupes Tier-im-fokus.ch <http://Tier-im-fokus.ch/> , Vegane Gesellschaft Schweiz <http://www.vegan.ch/> , LausAnimaliste <http://www.lausanimaliste.org/> et GenevAnimaliste
La production laitière: un concentré de souffrance insoupçonné
Pour produire du lait, une vache doit d'abord avoir un petit. De nos jours, elle est généralement inséminée artificiellement et la grossesse dure 9 mois. A quelques exceptions près, le petit veau est séparé de sa mère immédiatement après la mise bas, ce qui procure angoisse et désarroi à la vache autant qu'au petit. Le veau est placé dans un box et totalement isolé durant de longues semaines. Un mois après la mise bas, la mère est à nouveau inséminée afin qu'elle donne naissance à un autre petit et puisse ainsi continuer à produire de lait. Entre 5 et 6 ans, la vache devient moins productive, et n'est donc plus rentable pour l'éleveur, qui l'envoie donc à l'abattoir. Une vache en liberté vit jusqu'à 20 ans. Si le petit veau est un mâle, inutile à la production laitière, il sera engraissé, abattu et vendu sous forme de viande. Si c'est une femelle, elle vivra en général le même destin cauchemardesque que sa mère, et sera soumise à des grossesses continuelles jusqu'à sa mort. Les vaches ont été sélectionnées génétiquement depuis des décennies dans le but de créer des "races à lait". Elle peuvent aujourd'hui produire entre 6'000 et 12'000 litres de lait par an (20 à 40 litres par jour), soit 10 fois plus de lait que leurs "ancêtres" des années 1950, avec les conséquences que cela implique sur leur santé (bassins et pis hypertrophiés, mastites...) et les souffrances ininterrompues qui en résultent. Les vaches sont ainsi devenues de véritablesmachines à produire du lait au service des humains. Ceci est totalement incompatible avec le concept de dignité animale tel qu'il est explicité par la Loi fédérale sur la protection des animaux (Art. 3 <http://www.admin.ch/ch/f/rs/4/455.fr.pdf> ). Propagande du lobby laitier: un grand verre de mensonges? Le lobby laitier tente de convaincre les consommateurs que le lait est un produit indispensable au développement du corps humain, notamment sous prétexte qu'il est riche en calcium. Cependant, non seulement a-t-il été établi que la capacité d'assimilation du calcium provenant de sources animales est sérieusement limitée, mais les prétendues vertus des produits laitiers sont de plus en plus contestées. Plusieurs études récentes ont en effet établi un lien entre la consommation de lait certaines maladies comme, paradoxalement, l'ostéoporose, certaines formes de cancers (prostate et sein), les maladies cardio-vasculaires, le diabète, l'obésité, l'hypertension, les allergies, la polyarthrite, l'asthme, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, etc. Voir à ce sujet l'ouvrage de Thierry Souccar, "Lait Mensonges et Propagande <http://www.thierrysouccar.com/les_livres/nutrition/lait_mensonges_et_propagande> " et "Toute la vérité sur le calcium<http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/ArticleInteret.aspx?doc=calcium_briere_j_2002_ps> " de PasseportSanté.net <http://xn--passeportsant-nhb.net/> .
Des subventions en masse pour un produit inutile et cruel La Confédération dépense chaque année des centaines de millions de francs pour subventionner l'industrie laitière (aides à l'exportation, à la transformation, etc.). En 2010, les contribuables ont contribué à hauteur de 291millions
<http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/07/03/blank/data/01/05.html> à encourager la production de lait. A cela s'ajoutent les primes directes que reçoivent les éleveurs chaque année, qui se calculent en milliards. Alors que nous prenons de plus en plus conscience de la gravité des conséquences environnementales de l'élevage, ainsi que de que de l'influence néfaste de la consommation de produits animaux sur notre santé, sans parler des souffrances atroces inhérentes à l'exploitation des animaux, il semble aberrant que 80.6% des aides gouvernementales aillent aux producteurs des secteurs viande / oeufs / lait, alors que les productions de fruits, légumes, céréales & pommes de terres totalisées reçoivent moins de 6%!
GenevAnimaliste est un collectif genevois créé en janvier 2011, militant pour l'abolition de toutes les formes d'exploitation animale.
Cette revendication se base sur le refus du spécisme, idéologie actuellement prédominante dans notre société, selon laquelle il est acceptable d'exploiter, de faire souffrir et de mettre à mort les animaux, pour la simple raison qu'ils sont d'une autre espèce que la nôtre. En d'autres termes, les besoins et intérêts des animaux "comptent" systématiquement moins que ceux des humains, quels qu'ils soient. Ainsi, il est considéré justifié de priver les animaux de liberté, de les élever dans des conditions qui ne satisfont pas leurs besoins et de les abattre, l'intérêt humain (gustatif, récréatif, vestimentaire ...) sous-jacent à ces pratiques primant toujours sur celui de l'animal.
Le spécisme constitue ainsi une forme de discrimination arbitraire, au même titre que le sont le racisme et le sexisme respectivement pour la race et le sexe. Militer pour l'égalité animale ne revient pas à affirmer que les animaux sont identiques aux humains, tout comme le mouvement pour l'égalité des sexes ne soutient pas que les femmes sont identiques aux hommes. L'objectif de ces luttes est que les intérêts de chaque individu, aussi variés qu'ils soient, soient pris en compte de manière égale. Il serait absurde d'accorder le droit de vote à un cochon, tout autant que d'inscrire dans la constitution le droit à chaque humain de disposer d'une mare de boue en été pour s'y rouler par temps chaud.
Les individus humains et non-humains ont néanmoins un certain nombre d'intérêts communs, découlant de sensations communes comme la douleur, le plaisir, la peur, la faim, la soif, etc. L'importance accordé à ces intérêts ne devrait logiquement pas dépendre de l'identité de l'individu concerné, de son espèce, de sa race, de son sexe ou d'autres caractéristiques arbitraires (intelligence, conscience, etc.) mais de la qualité et de l'intensité de l'intérêt en question.
Elever des animaux et les tuer pour notre plaisir gustatif, les priver de liberté pour nous distraire au zoo ou au cirque, les chasser et les pêcher par plaisir sportif, leur inoculer des maladies et leur administrer des produits toxiques pour nos intérêts scientifiques et nos soins cosmétiques, revient à considérer que leurs intérêts fondamentaux, notamment de vivre, de jouir de leur liberté, et de ne pas souffrir, ne valent rien comparés à nos préférences gustatives, récréatives et esthétiques, nos intérêts scientifiques et économiques.
GenevAnimaliste vise à lutter contre toutes ces pratiques et contre l'idéologie spéciste qui les sous-tend, en informant, mobilisant et provoquant le débat, et en démontrant qu'un mode de vie respectueux des intérêts de tous, humains et non-humains, est possible.
Ce soir à 18h00 près de 200 personnes se sont rassemblées à la place Neuve pour le 26ème anniversaire de la CATASTROPHE DE TCHERNOBYL. Les manifestants demandent la fermeture immédiate des centrales de Mühleberg et de Beznau et au plus vite la fermeture des autres centrales suisses.