En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le samedi, 1er juin 1907 à 20h30 a eu lieu à la salle du Conservatoire de Genève un concert d’échange entre le conservatoire de musique de Genève et l’école spéciale de musique Tchaïkovski d’Erevan organisé par la Société des étudiants Arméniens de Genève au profit des victimes de la famine en Arménie (à Van) sous la direction du R.P. Komitas et sous le patronage de M. LÈOPOLD FAVRE.
Le samedi, 21 avril 2018, à 20h30 après plus d’un siècle a eu lieu au Conservatoire de Genève un autre concert donné par des jeunes talents arméniens et suisses du conservatoire de musique de Genève et de l’école spéciale de musique Tchaïkovski d’Erevan.
Ce spectacle musical est un échange entre le conservatoire de musique de Genève et l’école spéciale de musique Tchaïkovski d’Erevan en l’honneur des dix ans de la filière Musimax.
Ce concert a été organisé sous le haut patronage des parlements arménien et suisse dont Monsieur Dominique de Buman, Président du Conseil national de la Suisse et M. Ara Babloyan, Président de l’Assemblée nationale d’Arménie.
Parmi les invités nous avons noté la présence de Madame Hasmik Tolmajyan, représentante adjointe à la mission de la République d’Arménie, Monsieur Martin Kostandyan, directeur de l’école Tchaïkovski d’Erevan et M. Philippe Canon, directeur adjoint du Conservatoire de Musique de Genève.
Plus une bonne nouvelle pour peuple arménien
Diana Adamyan, 18 ans, originaire d'Arménie, vient d'obtenir le 1er prix de la division senior du Concours Menuhin 2018 à Genève en Suisse.
Aucune image ne peut être reproduite ou transmise, même partiellement, sous aucune forme, y compris l’illustration de pages web, sans avoir eu préalablement l’autorisation écrite de l’auteur. Toute violation pourra être poursuivie. Pour toute demande, merci de me contacter.
Aucune image ne peut être reproduite ou transmise, même partiellement, sous aucune forme, y compris l’illustration de pages web, sans avoir eu préalablement l’autorisation écrite de l’auteur. Toute violation pourra être poursuivie. Pour toute demande, merci de me contacter.
Vendredi le journée historique pour Genève internationale et communauté d’arménien, après une saga de 10 ans, « Les Réverbères de la Mémoire », mémorial du génocide arménien, ont désormais pris place dans le parc Trembley.
Cette oeuvre de l’artiste français Melik Ohanian est constituée de neuf réverbères de huit mètres de haut, sur lesquels sont gravés des textes portant sur les notions de trauma tandis que des larmes chromées s’illuminent à la tombée de la nuit.
L'oeuvre a été souhaitée par la communauté arménienne, acceptée par la Ville de Genève et mise en oeuvre par le Fonds municipal d’art contemporain (FMAC) en partenariat avec la communauté arménienne.
Cette œuvre rend hommage aux liens privilégiés des Genevois et des Arméniens ainsi qu’aux fragments de leur histoire partagée depuis la fin du 19e siècle. Le génocide de 1915-1917, perpétré par le pouvoir ottoman, a suscité une émotion particulière et des actions de solidarité de la population genevoise, plaçant Genève et sa région comme foyer principal de la Communauté arménienne de Suisse
En mai 2008, la Ville de Genève votait en faveur de l’édification d’un monument à la mémoire commune arménienne et genevoise, une contribution, dans un esprit d’ouverture et de dialogue, au droit à la mémoire des peuples blessés. Le Fonds municipal d’art contemporain (FMAC) s’est vu alors confier le mandat d’organisation d’un concours: huit artistes internationaux de renom ont été invités à participer.
Melik Ohanian, artiste français d’origine arménienne, l’a remporté à l’unanimité avec son projet «Les Réverbères de la Mémoire». Magnifié par l’artiste, dépouillé de toute fonctionnalité, cet objet de mobilier urbain est ici transformé en un ensemble de neuf éléments de bronze. Les fûts deviennent le support de textes gravés, choisis pour leur portée universelle. Une larme chromée, dans laquelle le passant peut voir son reflet et celui de son entourage, remplace l’ampoule. Poétique et sensible, l’œuvre porte un regard sur le passé, tout en se tournant vers l’avenir; elle propose une réflexion sur la mémoire et les violences collectives, s’offrant au partage avec d’autres communautés porteuses d’une mémoire blessée et avec la population genevoise.
Aucune image ne peut être reproduite ou transmise, même partiellement, sous aucune forme, y compris l’illustration de pages web, sans avoir eu préalablement l’autorisation écrite de l’auteur. Toute violation pourra être poursuivie. Pour toute demande, merci de me contacter.